guerre de 1870 et la Suisse Introduction Cet article apport met en relief des évènements communs à nos Histoires nationales, française et suisse. Il amène une autre vision d’une guerre malheureusement trop peu connue, esquivée ou tout simplement tombée dans l’oubli. Souvent les historiens expliquent les situations stratégiques et tactiques, puis certains s’attardent sur le déroulement des combats. Les conjonctures du drame et son dénouement peuvent être expliqués selon ce plan chronologique : Survol de la situation générale dans le secteur frontière franco-suisse au mois de janvier 1871. L’exode en terre helvétique. L’organisation de l’internement puis celle du rapatriement. L’après guerre. Conclusions. Ne sont pas abordés les aspects stratégiques et opératifs du conflit. Survol de la situation générale dans le secteur frontière, fin janvier 1871 Les généraux allemands Von Manteuffel et Von Werder conduisent une opération en tenaille. Les routes sont encombrées de neige et la température demeure glaciale. Les Verrières
AD de Saône-et-Loire Journal des journaux de la Commune : tableau résumé de la presse... - Gallica Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Journal des journaux de la Commune : tableau résumé de la presse ... Informations détaillées Notice complète Titre : Journal des journaux de la Commune : tableau résumé de la presse quotidienne, du 19 mars au 24 mai 1871, lois, décrets, proclamations, rapports et informations militaires, séances de la Commune, etc., reproduits d'après le "Journal officiel" de Paris, extraits des autres journaux organes ou défenseurs de la Commune.... Éditeur : Garnier frères (Paris) Date d'édition : 1872 Sujet : Paris (France) -- 1871 (Commune) -- Sources Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 2 vol. Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k2557776 Source : Bibliothèque nationale de France Relation : Notice d'ensemble : Relation : Affichage
Aisne-archive.com Musée Gravelotte Un musée d'histoire racontant la guerre de 1870, ses causes et ses conséquences, un musée utilisant les techniques de la muséographie d'aujourd'hui, en particulier l’audiovisuel et le multimédia, un musée tête de pont de la découverte des champs de bataille et des nombreux monuments qui s'y trouvent ! Un musée de portée internationale, entièrement bilingue et plus ! A découvrir à partir du 18 avril 2014… Et en préambule à l'ouverture : colloque D'une guerre l'autre : que reste-t-il de 1870-1871 en 1914 ? Relations internationales, armées et sociétés. Histoire du musée Les combats autour de Metz d’août 1870 ont été certainement les plus violents de la guerre et marquèrent les esprits, tant en France qu’en Allemagne. Informations pratiques Ouverture du musée Du 16 janvier au 31 mars et du 16 novembre au 14 décembre : du mardi au dimanche de 14 h à 18 h Du 1er avril au 15 novembre : du mardi au dimanche de 14 h à 18 h et de 10 h à 12 h pour les groupes sur réservation Les collections
AD de l'Aisne Bienvenue sur l'interface de consultation de l'état civil numérisé du département de l'Aisne ! C'est l'ordonnance de Villers-Cotterêts du 25 août 1539 qui rend obligatoire la tenue des registres paroissiaux par les curés des paroisses : ceux-ci doivent dès lors enregistrer tous les baptêmes. L'ordonnance de Blois de mai 1579 impose, quant à elle, la tenue des registres des mariages et des sépultures. En avril 1667, l'ordonnance de Saint-Germain-en-Laye, appelée aussi Code Louis, prescrit une tenue obligatoire des registres en deux exemplaires : la minute est conservée par le curé, la grosse (copie) doit obligatoirement être déposée chaque année au greffe du bailliage. Toutefois, en 1736, Louis XV, dans la déclaration royale qu’il consacre à l’état civil, rappelle que non seulement les registres doivent être établis en double, mais qu’ils doivent être également signés par les parties rendant ainsi les deux exemplaires authentiques. - Mention de l’adoption par la Nation depuis 1917 ;
Monument aux morts de la guerre de 1870 en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les monuments aux morts de la guerre de 1870 constituent les premiers exemples de monuments rendant hommage aux Morts pour la Patrie citant à égalité les hommes de troupe et les officiers. Les premiers sont élevés dès les années 1870. Leur intérêt architectural et artistique réside dans leur grande diversité, réalisés par des artistes affirmés, à l'âge d'or de la sculpture de la fin XIXe siècle ou simples stèles, ils ont des formes variées : colonne, colonne tronquée, obélisque, obélisque tronqué, pyramide etc. accompagné ou non de statues avec inscription d'une dédicace et éventuellement du nom des victimes. Contrairement aux monuments de la Première Guerre mondiale produits le plus souvent en série, à une époque postérieure, ce sont, dans leur grande majorité, des œuvres uniques. L'un des premiers monuments construits fut le Monument national commémoratif de la guerre de 1870 à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle).
10 Cantaliens morts pour la France à Sens Haute-Loire et guerre de 70-71 Henri François Lefort est né à Paris le 25 septembre 1828 dans le 1er Arrondissement de Paris. Dans un courrier datant du 25 février 1865 adressé à Engels , Karl Marx écrit « Lefort est un homme de lettres, riche par-dessus le marché, donc un bourgeois, mais de la réputation de la plus pure » et en France « le véritable fondateur de notre société ». Nommé Préfet du département le 26 septembre 1870, il restera en poste jusqu’au 4 mars 1871. C’est un fidèle du nouveau régime qui traite parfois directement avec Gambetta. Dans les dépêches échangées entre les deux hommes , on observe qu’ils se connaissent bien et s’apprécient. « BOURGES, 16 décembre 1870, — Ministre intérieur à M. « 31 décembre 1810, - A préfet - . En réponse à cette dépêche, dont la fin avait été irrégulièrement transcrite. Gambetta répond le 1er janvier 1871. « 1er janvier 1871. – A préfet - Mon cher préfet, la dépêche d'hier n'est pas le fait d'une incroyable légèreté. Les secours officiels M. Les initiatives spontanées