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Les limites d’âge n’aident pas parents et enfants à comprendre les réseaux sociaux

Les limites d’âge n’aident pas parents et enfants à comprendre les réseaux sociaux
Par Hubert Guillaud le 04/11/11 | 2 commentaires | 2,575 lectures | Impression Aux Etats-Unis, l’âge légal pour rejoindre les sites sociaux est de 13 ans, selon le Children Online Privacy Protection Act (Coppa) : une mesure destinée à aider les parents à protéger leurs enfants des risques des réseaux sociaux. Ce qui n’empêche pas beaucoup d’enfants de s’inscrire sur les sites sociaux avant l’âge légal, assez souvent avec l’accord explicite de leurs parents d’ailleurs. Ce qui a donné l’idée à Eszter Hargittai, Jaso Schultz, John Palfrey et danah boyd de commettre une nouvelle étude : “Pourquoi les parents aident-ils leurs enfants à mentir à propos de leur âge sur Facebook, ou les conséquences inattendues de la Coppa”. Face à ce détournement massif, la question est de savoir si la Coppa aide à responsabiliser les parents et les enfants. Pourtant, rappellent les chercheurs, les parents souhaitent des conseils et des recommandations pour les aider à prendre des décisions éclairées.

Comprendre Facebook (3/3) : L’internet des API, le web des applications Pour les 500 millions d’utilisateurs de Facebook il semble n’y avoir qu’une manière d’accéder à Facebook : celle de se connecter sur le réseau social pour consulter son mur d’activité (le « NewsFeed »). Pourtant, via Facebook Connect, on a déjà vu qu’il y en avait une autre, distante, permettant d’interagir avec les services de Facebook depuis d’autres sites. Il y en a encore une autre, réservée aux services informatiques des sites qui utilisent Facebook. Cet autre accès passe par les API, les interfaces de programmation, c’est-à-dire des jeux de données ouverts qui permettent aux développeurs d’utiliser les services proposés par Facebook et qui sont l’une des clefs du fonctionnement du web 2.0. C’est bien en tout cas dans les interfaces de programmation que se concoctent le web d’aujourd’hui et le web de demain : dans les négociations permettant d’accéder aux services des uns et des autres, dans les mashups de services où la bonne alchimie créera le bon service. Hubert Guillaud

Internet : Un mois d’utilisation ramené à une heure Le comportement des internautes CSP++ et Hauts Revenus Le comportement des internautes Hauts Revenus Médiamétrie//NetRatings livre des résultats exclusifs issus de sa nouvelle étude « Cibles+ 2009 » destinée aux agences, régies, éditeurs et annonceurs. Elle croise les usages des internautes et leur comportement offline – leur mode de consommation, leurs équipements, leurs habitudes d’achats, leur comportement par rapport aux loisirs,…- afin de mieux connaître certaines catégories d’entre eux. A l’occasion de la sortie de cette nouvelle vague Cibles+, Médiamétrie//NetRatings propose un focus sur les internautes « Premium » (typologie du public définie par AudiPresse dans le cadre de son étude « AudiPresse Premium ») : les internautes CSP++ (cadres et dirigeants, professions libérales, artisans et indépendants)et / ou vivant au sein d’un foyer à Hauts Revenus (c’est-à-dire supérieur ou égal à 6250€ mensuels nets). Près d’un quart des internautes sont issus de catégories socioprofessionnelles élevées … Ou vivent au sein d’un foyer à hauts revenus.

Orientations d'achat et comportement multi-canal du client extension est, en effet, susceptible de provoquer la migration de certains d’entreeux (Dholakia, Zhao et Dholakia, 2005), celle-ci pouvant se révéler préjudiciableà son canal d’origine (Alba et alii, 1997). L’effet de cette modification de lafréquentation sur la performance commerciale du canal original de l’entreprisesoulève naturellement de nouvelles problématiques de gestion. La cohabitationdes canaux, dont l’objet initial était de lutter de manière plus efficace contre laconcurrence, risque d’engendrer une concurrence interne susceptible, à sontour, de provoquer une dégradation du niveau de service à la clientèle (Chevalier,2002).L’objet de cette recherche est d’étudier les comportements migratoires desclients entre canaux de distribution fédérés par un même nom d’enseigne. Face àl’engouement des distributeurs pour les stratégies Click and Mortar , cet article seconcentre, de manière plus spécifique, sur les transferts de clientèles qui ont lieulorsque de Brick and Mortar . 90.

Les trois régimes d’attention Cet article a été publié il y a 3 ans 5 mois 28 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Éclairant tableau trouvé dans ce très intéressant mémoire INTD-CNAM par Emma Bester : L’économie de l’attention pour le Libre Accès Le cas de Revues.org dans les bibliothèques universitaires. La distinction est du sociologue Dominique Boullier, en particulier dans cet article de la Revue Réseaux : Les industries de l’attention : fidélisation, alerte ou immersion (accès payant). Ce tableau permet de se rendre compte qu’au fond ce qui compte vraiment dans le web d’aujourd’hui, bien au delà du marketing et du monde marchand c’est l’ergonomie d’un site (fidélisation, interaction avec le visiteur), la dissémination (alerte, push, veille ciblée) et l’expérience utilisateur (immersion, aménagement d’une bibliothèque, réalité augmentée). Auteur : Silvae (1100 Posts) Tags:Comprendre les enjeux de demain

Les 4,74 degrés de séparation de Facebook Le développement du réseau social sur internet Facebook a conduit à réviser la théorie selon laquelle il existerait «six degrés de séparation» entre tous les individus, une étude de l'Université de Milan ayant déterminé que le site avait ramené ce chiffre à 4,74. «Le monde est encore plus petit que nous le pensions» , écrivent cinq chercheurs (Lars Backstrom, Paolo Bodli, Marco Rosa, Johan Ugander, Sebastiano Vigna) dans une étude référencée par Facebook, qui y a collaboré. Selon une hypothèse formulée pour la première fois dans les années 1920, n'importe quel individu peut être relié à n'importe quel autre par une chaîne de relations individuelles de six personnes. Cette théorie s'appuie sur les travaux de Stanley Milgram et Jeffrey Travers, qui avaient demandé dans les années 1960 à 300 personnes vivant dans le Nebraska (centre des Etats-Unis) de faire parvenir une lettre à quelqu'un à Boston (Massachusetts, nord-est) par l'intermédiaire de connaissances.

Economie de l'attention et marché de la recommandation Les enjeux économiques du web actuel (c’est à dire 2.0 et 1.0) sont, parfois faute de recul suffisant, parfois pour cause de modèles économiques en rupture, le plus souvent délicats à saisir. Il compte cependant quelques analyses qui non seulement résistent à l’usage, mais permettent en outre d’éclairer ces derniers (les usages). Parmi ces analyses, la première est celle de la "longue traîne" (long tail) qui, si il n’est pas encore démontré qu’elle puisse fonctionner sur tous les secteurs économiques, est en revanche parfaitement éclairante pour l’industrie des biens culturels. L’autre "modèle" est celui d’une économie de l’attention (voir notamment le billet de JMS). Le modèle macro-économique c’est donc celui de l’économie de l’attention (réappropriation de l’idée d’une économie de l’accès).La segmentation est celle de la longue traîne (pour les industries culturelles tout au moins). (Via Pintiniblog)

La recommandation, ressort de l'économie de l'attention - incision.over-blog.com (Marie Laforge) A l’heure où une grande part d’individus évolue, à travers le monde, dans un environnement riche, voire saturé d’informations, une denrée s’est, en contrepartie, raréfiée : il s’agit de l’attention de ces mêmes individus, qui ne peut se consacrer à l’intégralité des flux d’information, et doit donc faire un choix parmi les objets sur lesquels se concentrer, au détriment d’autres. Enoncé dès 1971 par le prix Nobel d’économie Herbert Simon, le modèle de l’économie de l’attention semble, plus que jamais, devoir se vérifier par les diverses évolutions qu’ont connues les nouvelles technologies au court des ces dernières décennies. Maître de conférence en sciences de l’information, Olivier Ertzscheid propose, sur son bloglink, d’expliquer ces deux analyses à la lumière de la notion de la recommandation. Dans une économie de l’attention, les biens matériels passent donc apparemment au second plan. En effet, comme le souligne Richard A. La segmentation de la Long Tail Références

2012, l'année du capital humain ? Si ce retour aux fondamentaux prend sa source dans la crise de 2008, il a cependant fallu passer par trois années d’incertitudes pour intégrer le fait que le capital humain constitue aujourd’hui l’unique valeur refuge du monde de l’entreprise. Ainsi en 2011, placer l’homme au cœur de sa stratégie est devenu primordial, voire vital mais également plus complexe avec la gestion des différences intergénérationnelles en terme d’attentes professionnelles, d’aspirations personnelles, d’appartenance à l’entreprise… Un besoin croissant de rencontres Et si la montée du virtuel et des réseaux sociaux a pu faire craindre un déclin de la communication événementielle, le constat pour 2011 est tout autre. Les réseaux ont joué un rôle de « starter », exacerbant à travers des rencontres virtuelles le désir de contacts réels toutes générations confondues. Ces nouveaux outils sont finalement des vecteurs qui nourrissent la communication évènementielle en créant un besoin de rencontre et de proximité.

Servicedesigning.org | By service designers, for service designers Les chiffres clés du mobile en 2011… avant le lancement de Free Mobile ! Pour tous ceux qui ne sont pas partis faire les soldes en ce 1er jour !… Et pour les autres qui essayent encore péniblement de contracter un abonnement chez Free Mobile… allez patience, vous allez y arriver ! Bref aujourd’hui je vous propose quelques chiffres sur la téléphonie et la mobilité en 2011. Voici ce qu’il faut en retenir… 74% des Français disposent à la fois d’un téléphone fixe et d’un mobile En 2011, nous sommes 85% de la population à être équipés d’un téléphone mobile, avec une progression régulière de 2 points par an. Entre 2010 et 2011, les utilisations du web mobile ont fortement progressé et 24% de la population s’en sert pour surfer, 19% pour lire ses emails et 17% télécharger des applications. Accro au net ? Revers de la médaille, Internet est tellement (omni)présent dans notre quotidien que 41% des internautes déclarent avoir du mal à s’en passer plus de trois jours ! Retrouvez l’intégralité de cette étude sur le site du Credoc.

Si la gamification était vraiment la gamification - Sur la gamification (3/4) Après avoir étudié les limites idéologiques et les enjeux socio-économiques de la gamification, nous allons essayer d'explorer une gamification v 2.0 qui oserait le game design. Si la gamification venait du game design Pour réussir la gamification, un requisitum serait de ne pas coller des pins-rustines sur des architectures préexistantes de parcours de l’information en ligne voire de progression dans l’échelle sociale. Ainsi le jeu vidéo comme un agencement spatial d’autres formes médiatiques, il dispose les médias existants pour permettre organiser une consommation ludique : créer du mystère, que la navigation soit elle-même un plaisir, que la recherche d’informations soit un défi. Ceci implique donc de ne pas intégrer le système de rétribution par points et pins pour soit, mais d’en faire un indicateur sur les évolutions du joueur par rapport au dispositif gamifié. La gamification comme reboot du système d’évaluation et de valeur

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