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L'Histoire à la carte : Indépendance de l'Inde et du Pakistan

Cette carte fait partie d’un ensemble de 14 cartes animées portant sur Les décolonisations Clément Attlee, le premier ministre travailliste qui succède à Winston Churchill en juillet 1945 est rapidement convaincu que l’accession de l’Inde à l’indépendance est inévitable, mais les tractations sont rendues difficiles par les désaccords entre les leaders politiques indiens. Mosaïque d’Etats princiers et de religions, l’Inde est marquée par une forte opposition entre hindouistes et musulmans. Alors que le parti du Congrès, dominé par les hindouistes, veut la création d’un seul état, laïc et rassemblant tous les Indiens, la Ligue musulmane demande que l’indépendance s’accompagne de la partition de l’Inde en deux Etats, dont l’un sera musulman. Dès la fin de l’année 1945, une vive agitation s’empare des grandes villes du nord et débouche au cours de l’année 1946 sur des incidents sanglants opposant les deux communautés religieuses. Par contre le Portugal n’entend pas renoncer à ses possessions.

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VIDÉO - Inde : escale à Varanasi, ville sainte en sursis Les Hindous viennent à Varanasi pour se laver de leurs péchés, prier Shiva, dieu protecteur de la ville, ou encore pour y rendre leur dernier souffle, et ainsi se libérer du cycle des réincarnations. Dès le lever du jour, ils s’immergent au péril de leur vie dans les eaux du Gange, empoisonnées par quantité de rejets toxiques. Même si, depuis 2015, ses abords sont récurés tous les jours par les autorités, le fleuve reste l’un des plus pollués du monde.

Qui est Gandhi ? - Vidéo Histoire Mohandas Karamchand Gandhi naît en Inde en 1869. À l'époque, l'Inde est une colonie britannique. Le pays est occupé et dirigé par le Royaume-Uni. Les minorités tribales dans les territoires de l'Union indienne L'Union indienne reconnaît administrativement et politiquement tout un ensemble de communautés désignées comme "tribales" ou "Adivasi" ou "aborigènes" ou encore "autochtones", mais leurs contours sociologiques restent très difficiles à définir. Contrairement à d'autres minorités importantes de l'Inde, dont la reconnaissance repose sur des critères explicites d'appartenance religieuse (par exemple, les musulmans, les chrétiens) ou sociale (les ex-intouchables), il n'existe pas un seul critère spécifique pour définir les tribaux. Si certaines communautés tribales peuvent revendiquer, avec raison, leur caractère aborigène, d'autres ont migré plus récemment à travers l'Inde ou en provenance de régions voisines.

En Inde, la ville d'Allahabad débaptisée par les nationalistes hindous C'est un pas de plus dans la stratégie d'effacement de l'histoire musulmane de l'Inde. Mardi, Yogi Adityanath, le ministre en chef de l'Uttar Pradesh, le plus grand Etat de l'Inde, a annoncé que la grande ville d'Allahabad allait abandonner le nom qu'elle porte depuis cinq cents ans pour devenir «Prayagraj». Et ce avant le grand pélerinage hindou de la «Jarre sacrée», la Kumbh Mela, qui s'y tiendra en janvier. Le gouvernement de l'Uttar Pradesh, 200 millions d'habitants dont près de 20% de musulmans, justifie cette décision par «une correction d’une erreur faite par Akbar», qui aurait rebaptisé l'ancienne Prayag ou Prayagraj à la fin du XVIe siècle «Allahabad».

C'est qui les rohingyas ? - Vidéo C’est un peuple de l’Arakan, une région de Birmanie, en Asie du Sud-Est. Leurs ancêtres, originaires d’Inde, se sont installés sur ce territoire il y a environ deux siècles pour cultiver du riz. De religion musulmane dans un pays à majorité bouddhiste, les Rohingyas ont aussi une culture et une langue différentes des autres habitants de Birmanie. Condamnée à mort puis acquittée, Asia Bibi va pouvoir quitter le Pakistan Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter RMC La Cour suprême pakistanaise a ouvert la voie au départ du pays de cette chrétienne en rejetant un dernier recours contre son acquittement. La fin de près de neuf années de calvaire pour Asia Bibi. Cette Pakistanaise chrétienne d'une quarantaine d'années été accusée de "blasphème" et condamnée à mort depuis 2010, avant d'être acquittée le 31 octobre par la Cour Suprême du Pakistan. L'institution a rejeté mardi un dernier recours déposé par les islamistes radicaux contre cet acquittement: elle désormais libre de quitter le pays. Dans l'immédiat on ne sait pas si Asia Bibi entend quitter immédiatement le pays mais son avocat Saif-ul-Mulook a laissé entendre mardi que cette option était sur la table.

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