Montessori, Freinet, Steiner-Waldorf : des méthodes qui ont fait leurs preuves
Les pédagogies Montessori, Freinet et Steiner-Waldorf sont répandues dans le monde entier. Des méthodes alternatives qui abordent l'enfant avec bienveillance. La pédagogie Montessori Mise au point par Maria Montessori (1870-1952), première femme médecin d’Italie, cette méthode est la première à considérer l’enfant en tant qu’individu – « chaque enfant est unique » – et repose essentiellement sur l’éducation sensorielle. Particulièrement intéressante appliquée à la petite enfance, elle n’en concerne pas moins des enfants de tous âges : on compte aujourd’hui 22 000 écoles Montessori dans le monde (de la maternelle au lycée), dont quelque soixante-dix en France (soit environ 3 000 élèves), où cette pédagogie connaît un spectaculaire regain d’intérêt (une douzaine de nouvelles écoles créées ces derniers mois). La pédagogie Steiner-Waldorf La pédagogie Freinet Yourte et méditation « Quelle planète laisserons-nous à nos enfants, et quels enfants à notre planète ? Bon élève grâce au vélo
Pédagogie
La pédagogie (du grec παιδαγωγία / paidagôgía, direction ou éducation des enfants[1]) est l'art d'enseigner. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement requises pour transmettre un savoir (connaissances), un savoir-faire (compétences) et un savoir-être (attitudes). Plus généralement, l'expression « faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. La pédagogie implique l'ensemble des comportements de l'enseignant envers les élèves. Généralités[modifier | modifier le code] Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία / paidagôgía, de παιδός / paidόs, « enfant », et ἄγω / ágô, « conduire, mener, accompagner, élever ». Franc Morandi considère que la pédagogie signifie « étude et mise en œuvre des conditions d'apprendre »[4].
Quelle efficacité pour des pédagogies dites "alternatives" (à quoi ?)
Qu'est-ce qu'un bon prof ?
C’est au début du mois de juillet 2010, qu’une journaliste (du Pèlerin magazine) me contacte pour réaliser une interview. Sans jouer les blasés, c’est quelque chose d’assez fréquent et auquel je me plie bien volontiers bien que, à chaque fois, j’ai l’impression de ne pas avoir grand chose d’original à dire. Le sujet ? “Qu’est-ce qu’un bon prof ?”. J’essaierai donc d’abord de donner quelques idées qui me tiennent à cœur même si elles ne prétendent pas faire le tour de la question. Etre cohérent “Dire ce qu’on va faire et faire ce qu’on a dit”, cette maxime résume assez bien ce que devrait être la posture de tout éducateur (il n’y a pas que les enseignants, mais aussi les animateurs et au final, tous les adultes…). Cela veut dire aussi qu’il ne faut pas annoncer et promettre des choses qu’on ne peut pas tenir. Etre “prévisible”, cela peut aussi se traduire simplement dans la conduite du cours par une pédagogie la plus explicite possible. Etre bienveillant Faire le deuil
Pour une pédagogie ordinaire
Parmi les sujets qui n’ont pas été abordés lors de la refondation de l’école, il y en a un qui mériterait particulièrement d’être investi tant, il occasionne des « crampes mentales » : la pédagogie. La lutte, toujours explosive, entre les « républicains » anti-pédagogues et les « pédagogues » n’en finit pas de corrompre tous les débats. Wittgenstein nous offre la possibilité d’ouvrir une nouvelle voie... ...supprimant ces vieux clivages absurdes. Le double objectif de ce texte est de faire une archéologie de la querelle scolaire et de jeter les bases d’une pédagogie ordinaire. Peut-on sortir de la lutte en pédagogues et antis et à la fois refonder la pédagogie ? la querelle scolaire et Wittgenstein : pour une pédagogie ordinaire Un résumé de ce long texte (pour Internet) est disponible ici. 1) La querelle scolaire en France : Les débats sur l’école sont passionnels en France. « Mais qui sont ces anti-pédagogues, qui font de leur incompétence une vertu ?
Langues vivantes : une méthode pour apprendre à écrire sans faute
Comment développer la compétence écrite dans une langue étrangère ou seconde ? À côté de la mémorisation de formes fixes, il faut développer des réflexes d'interrogation qui permettront à l'apprenant de se poser les bonnes questions avant d'opter pour une graphie plutôt que pour une autre. Par exemple, les apprenants de français langue étrangère doivent pouvoir choisir entre "entré", "entrés", "entrée", "entrées", "entrez" et "entrer". Pour cela, ils doivent interroger les autres termes de la phrase et la fonction du mot à orthographier correctement. En anglais, les homophones parfaits sont moins nombreux qu'en français, mais une personne en cours d'apprentissage aura des difficultés à distinguer, après une seule écoute, "world" de "word" par exemple, ou même "two" de "to". La dictée, cette institution scolaire, vise précisément à habituer l'apprenant à transcrire par l'écrit ce qu'il entend, et donc à apliquer les règles de l'orthographe d'usage et gramaticale. Chartrand, Dominic.