La cohésion de groupe (sociale - opératoire) comme facteur déterminant dans les performances d’une équipe. | Amélioration continue : Comment on travaille ensemble ?! Former à la collaboration Il me semble de plus en plus important d’initier nos étudiants à la collaboration. Comment aborder cette initiation ? Par les usages, puis par une réflexion sur les outils. Une fois que ces pistes sont lancées, quelles situations simples peut-on envisager en cours pour créer un contexte collaboratif ? Je me suis posé quelques questions sur la collaboration en cherchant à formaliser comment aborder son initiation dans nos formation. En y réfléchissant un peu à partir d’un article de F.Z. l’équipe : la collaboration nécessite un certain équilibre entre tous les acteurs. Graphiquement, cela donne quelque chose comme présenté ci-dessous : Les 4 piliers de la collaboration A partir de là, il apparaît que les objectifs de nos formations en matière de collaboration portent essentiellement sur les usages. 1 – L’initiation aux usages L’objectif est de leur apprendre à prendre leur place dans une équipe ouverte, composée de membres peut-être variés, voire inconnus. 2 – L’initiation aux outils J'aime :
Coaching, entretiens, prise de parole en public, tais-toi quand tu parles ! Souvenez vous : Le repas de famille, l’hôte de maison sert son plat soigneusement préparé, les convives commencent à goûter, et là, le silence s’installe. Jusqu’au moment où l’un des invités fait remarquer : « Ah… Un ange passe ». La remarque brise le silence, les discussions repartent. Eh oui, le silence est gênant. Selon vous, au bout de combien de temps le silence est dérangeant ? Réfléchissez bien… Encore un peu… Un peu plus encore… Désagréable cet espace vide n’est-ce pas ? La réponse : 3 secondes. Vous ne me croyez pas ! Vous verrez qu’il vous faudra plusieurs essais pour obtenir les 3 secondes de silence, et qu’entre 3 et 5 secondes, un participant reprendra la main, fera un commentaire, un rire, tomber une règle… Alors comment mettre à profit cette règle des 3 secondes, comment l’interpréter ? En dessous de 3 secondes : Tout d’abord, cela veut donc dire qu’en dessous de 3 secondes, le silence n’est PAS gênant. Il en va de même dans les situations d’accompagnement individuel.
Communication professionnelle La connaissance et la maîtrise des principaux outils de communication professionnelle au sein d'une organisation du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche constituent un préalable à un management individuel et collectif efficace pour son équipe de direction. Circonscrire les différentes situations de communication, connaître les différentes techniques de communication, comprendre son style managérial, identifier et comprendre les acteurs, peser et prioriser les enjeux, former et accompagner les personnels constituent autant d'éléments qui vont permettre à l'équipe de direction d'acquérir un "savoir agir en situation". Contenus Les ressources proposées pour traiter chacune des thématiques sont les suivantes : un clip vidéo (3 à 5 minutes) mettant en scène des situations professionnelles générant des dysfonctionnements provoqués ou amplifiés par des pensées, stratégies, paroles, comportements ou actions inadaptés à la situation. Publics
M.EMERY Management Sommaire du site Dernière mise à jour : 11 Septembre 2012 300 000 visites en 9 ans ! Il y a maintenant 9 ans que j'ai décidé de mettre en ligne gratuitement mes documents de formation concernant le management et la gestion de projet dans un site personnel sans publicité. Je suis très heureux que vous soyez aussi nombreux à vous intéresser à ce site: Français, Canadiens, Suisses, Belges, Algériens, Marocains, Tunisiens et Africains francophones plus particulièrement, mais aussi étrangers de très nombreux pays. Merci à tous ceux qui m'ont écrit pour me faire part de leur satisfaction, qui m'ont fait des remarques ou des demandes d'autorisation de reproduction de mes cours. J'ai reçu à ce jour plus de 1000 messages. Je suis heureux que ces cours aient pu être utiles à de très nombreux Formateurs . Merci à tous les sites qui m'ont mentionné ( certains figurent dans ma liste de liens ) . Michel EMERY
30 idées pour enterrer un projet / 1 : - maintenant, réussissons on peut essayer autrement...les conditions ont changé ça a marché ailleurs… vous avez donc l’expérience pour aller plus loin et éviter les écueils / 2 : - soyons créatifs voilà un véritable argument pour commencer / 3 : - les hommes se sont longtemps passé de machine à laver le linge…ou d’électricité / 4 : - nous trouverons les moyens nécessaires !!! on peut négocier / 5 : - nous avons moins besoins d’hommes que d’idées on peut revoir l’organisation / 6 : - changeons la carte scolaire faites en sorte d’en bénéficier revoyons notre projet / 7 : - qui en bénéficiera ? de quels risques parlez vous ? / 9 : - le moment est venu qu’est ce <qui justifie votre attente ? / 10: - voyons votre expérience, parlons en… ton expérience servira donc à contredire la théorie / 11: - ne partons pas battus d’avance nous le convaincrons rédigeons le courrier ensemble et par rapport aux évaluations nationales ? on n’est pas dans une dynamique de compétition…
Quel type de manager ? Leadership ? Tout le monde s'étonne lorsqu'un manager, dont on disait qu'il ne réussirait jamais, change de job et arrive au sommet dans sa nouvelle entreprise... C'est qu'à chaque contexte, circonstance, genre d'équipe à encadrer, un type de manager correspond mieux qu'un autre. Hervé Bommelaer, consultant chez Leroy Dirigeants- BPI Group, en est convaincu. Seulement, au gré des changements, un certain type de manager est plus demandé que d'autres. Le contexte des entreprises dicte le style de manager à recruter pour telle ou telle, expliquent Pascale Bottela (directrice Ile-de-France) et Philippe Lesage (consultant et coach), du cabinet Alexandre Tic. L'habit fait-il le moine ? Le style "engagé" est "tout à fait adapté au monde de l'entreprise aujourd'hui", estime Hervé Bommelaer. Contre le point de vue précédent, Hervé Bommelaer pense que les managers engagés sont d'abord ceux que recherchent désormais les entreprises.
Comment une liste de tâches peut-elle nous faire perdre notre productivité De ce postula, je suis parti, il y a quelques années dans ce que nous pourrions appeler une todolistomanie frénétique m’imposant de noter toutes les choses à faire. Quoi de plus judicieux me diront certains. Et pourtant, comme tout extrême, cette façon de faire s’est révélée totalement inefficace. Aujourd’hui j’utilise une méthode bien plus fine et efficace ne s’appuyant que très peu sur des TodoLists. Mais, avant de découvrir plus en détail de quoi il en retourne, regardons ensemble les limites de la TodoList traditionnelle. Pourquoi tout noter ne marche pas Les TodoLists présentent une utilité indéniable. Cependant, au fur et à mesure du temps, nous voyons notre liste s’allonger toujours un peu plus amenant à un constat simple et sans détour : nous n’avons pas suffisamment de temps pour tout faire. Ainsi, pour palier cette difficulté vient la phase d’élimination où nous épurons notre TodoList des éléments les moins pertinents. Une méthode à base de sélection naturelle
Transformer un communauté en mouvement; la méthode Harvey Milk Ce billet est une traduction de l’article d’Alex Hillman initialement publié sur DangerouslyAwsome . Alors que le concept de communauté prend de plus en plus de place dans la vie sociale et le business, il m’a parut intéressant d’en proposer une traduction française : My Name is Harvey Milk and I’m here to recruit you Voilà son cri de guerre. Ce weekend, je me suis posé pour regarder Milk , un documentaire sur la vie d’ Harvey Milk , premier homme politique américain ouvertement gay. La première action que va entreprendre Milk est modeste; il s’agit simplement de sortir de l’ombre. Lorsque vous organisez une communauté, la première chose à faire, c’est de ne pas rester seul. Dès lors que vous avez atteint une taille critique, que vous vous êtes entourés de partenaires actifs et passionnés, ne vous reposez pas sur vos lauriers. C’est dans ce domaine qu’Harvey s’illustra tout particulièrement; lorsque ses choix devinrent tactiques, il su s’appuyer sur les relations qu’il avaient nouées.
L’économie de l’engagement « Fais-Moi Jouer ! Il ne faut pas seulement faire grossir, il faut aussi engager sa communauté. Engagement qui se manifeste par des commentaires, des Like, des contenus partagés… Cependant la notion d’engagement est plus large : on peut en parler dès qu’il est requis de l’utilisateur / spectateur / joueur qu’il fasse même un effort minime. Et bien des expériences échouent à susciter l’engagement (je pense en particulier à un certains nombre dites « transmedia »). Avant de voir ce qui pousse les gens à s’engager, intéressons-nous aux raisons pour lesquelles un producteur pourrait vouloir susciter l’engagement. Pourquoi engager une communauté ? Engager pour produire L’engagement c’est d’abord “faire”, “agir”. Sous-traiter une tâche à son audience fonctionne dans le cas d’initiatives citoyennes : journalistiques (MP’s expenses, warlogs), politiques (campagne Obama) ou sociales (The Extraordinaries). Engager pour transmettre Les enseignants le savent bien : un élève concerné est un élève qui apprend mieux.