Matinale chrétienne du 17 octobre - Les matinales chrétiennes
Revue du web Matinale chrétienne du 17 octobre Dans l'actualité religieuse de ce jour, l'Egypte toujours, avec une manifestation de chrétiens et de musulmans ensemble; et le célibat consacré qui fait débat aux Etats-Unis. EGYPTE: DISCRIMINER LES CHRETIENS DEVIENT UN DELIT Trois mois de prison et 6000 euros d'amende: tel sera le tarif dorénavant pour toute forme de ségrégation sur une base religieuse. Devant l'indignation soulevée par la répression ultra-violente de la manifestation des chrétiens dimanche dernier place Tahrir, le gouvernement a décidé d'adopter une série de mesures visant à protéger ses minorités religieuses. UN THEOLOGIEN AMERICAIN REPOND A L'APPEL A LA DESOBEISSANCE Randall Smith est professeur de théologie à l'université catholique de Houston. DES GROUPES DE PAROLES POUR PRÊTRES ET RELIGIEUX VIVANT MAL LA CHASTETE "Le célibat n'est pas une affaire d'un jour, c'est un processus. COMMENT TRADUIRE "FILS DE DIEU"? Y A-T-IL ENCORE DES BELGES DANS LES EGLISES?
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Activists campaigning against financial inequality and banking excesses look set to remain camped outside St Paul's cathedral well into next year after both the church and the Corporation of London, which jointly own the land the protesters have occupied for more than two weeks, said they were halting moves to evict them. While the corporation said it had merely "pressed the pause button" on its legal bid, St Paul's delighted the Occupy London movement with a statement that explicitly lined up the might of one of the Anglican congregation's most celebrated institutions behind their call for greater social justice. "The alarm bells are ringing all over the world. St Paul's has now heard that call," said the Bishop of London, Richard Chartres, who was called in to help the cathedral change course after its dean, the Rt Rev Graeme Knowles, resigned on Monday following heavy criticism of the decision to close St Paul's for a week and cut off all contact with the protest camp.
Social issues return to fore with ‘In God We Trust’ resolution - 2chambers
Posted at 06:10 PM ET, 10/31/2011 Oct 31, 2011 10:10 PM EDT TheWashingtonPost (Saul Loeb - AFP/Getty Images) Jobs and the national debt have dominated the action on Capitol Hill for much of the 112th Congress, but the House on Tuesday will make a brief detour from that agenda when it considers a measure “reaffirming ‘In God We Trust’ as the official motto of the United States.” The measure, H.Con.Res. 13, was sponsored by Rep. “In 2006, on the 50th anniversary of its adoption, the Senate reaffirmed ‘In God We Trust’ as the official national motto of the United States,” Forbes said in a statement announcing the vote. The “In God We Trust” resolution marks the second time this month that the House will have voted on a measure related to social issues. Passage of the “In God We Trust” measure on Tuesday is not a sure thing, as the House’s fast-track rules require a two-thirds majority for passage, and among the resolution’s 64 co-sponsors are only a handful of Democrats. Video Q&A
Théâtre : Romeo Castellucci : la pièce qui fait scandale
Considéré comme «blasphématoire» par des mouvements intégristes, le spectacle de l'Italien suscite de violentes manifestations. Mais de quoi parle la pièce ? Il contemple le public. Sur le plateau, des éléments de décor blancs. Jets d'huile de vidange, œufs, injures Des intégristes de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet protestaient, dimanche à Paris, devant le Théâtre de la Ville, place du Châtelet. À Avignon, un deuxième mouvement suivait cette scène : des enfants surgissaient, sortant de leurs cartables des grenades de plastique qu'ils envoyaient sur le tableau sans que cela fasse le moindre bruit, sans que l'image soit le moins du monde abîmée. C'est tout. Mais déjà certains sites de chrétiens radicaux appelaient à la mobilisation, certaines voix s'élevaient. À Paris, on devine qu'il y a, par-delà les déraisons des réactions, les froides raisons de la politique. Au Centquatre, du 2 au 6 novembre, Paris IXe. Parmi les manifestants, des radicaux de toutes confessions
Le Forum Catholique - 613184
Chers liseurs, Suite aux nombreuses réactions que mon témoignage a provoquées, et pour dépasser les procès d'intention ou les attaques personnelles, je vous propose ces questions ou points de réflexion, auxquelles chacun pourrait sobrement apporter ses réponses. Cela favoriserait un débat constructif. Je crois que l'enjeu et le sujet en valent la peine. 1) Peut-il y avoir débat ? Dans l'Eglise, il y a des vérités qu'on ne peut débattre. 2) On me dit : la pièce jouée à Paris est une version expurgée de la scène choquante, lors de laquelle le visage du Christ était bombardé de projectiles, voire de matière fécale. 3) Il me semble urgent que nous puissions travailler la question du blasphème. je prends l'exemple d'un film : on voit un soldat allemand qui piétine un crucifix, et crache dessus ou même urine dessus. Ceci explique une différence avec golgotha picnic, mais aussi avec PissChrist, que j'avais dénoncé à l'époque. 4)Je ne juge pas les jeunes qui ont manifesté.
Le cardinal Vingt-Trois déplore « des manifestations de violence » devant le théâtre de la Ville
Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France, a porté un jugement sévère, samedi 29 octobre, sur les manifestations qui se déroulent chaque soir depuis le 20 octobre, en marge d’une représentation théâtrale jouée au théâtre de la Ville, à Paris. Au cours de son entretien hebdomadaire accordé à Radio Notre-Dame, il a rappelé que « l’authenticité de la foi n’est pas de s’imposer par la violence ». Refusant de se prononcer sur le fond de la pièce de l’Italien Romeo Castellucci, qu’il n’a « pas vue », il a affirmé que les manifestants appartenaient à « un groupuscule rattaché au mouvement lefebvriste », et ne disposant d’« aucun mandat » pour se réclamer de l’Église catholique. « On ne fait pas un appel à la liberté en jetant des œufs pourris sur les gens ou de l’huile de vidange », a-t-il martelé, en référence aux incidents qui ont émaillé la première représentation de la pièce.