Lisle-sur-Tarn. Retenue du Testet : nouvel avis défavorable - 19/09/2013 - LaDépêche Pour la deuxième fois en six mois, la Commission nationale du patrimoine naturel (CNPN), réunie le 11 septembre à Paris, a rendu un avis défavorable au projet de retenue du Testet à Lisle-sur-Tarn. Un résultat dont «se félicite» le collectif pour la sauvegarde de la zone humide du Testet, qui a donné une conférence de presse ce mercredi matin à Albi. Les opposants au barrage envisagé sur le Tescou estiment que Philippe Martin, le ministre de l’Écologie, ne devrait dans ces conditions pas donner son autorisation au projet. «L’avis favorable de la CNPN était une des réserves expressément formulées par le commissaire enquêteur lors de l’enquête publique. Cette réserve n’est pas levée, ce qui crée une faiblesse juridique dans le dossier, qui risquerait d’être retoqué en cas de recours devant le tribunal administratif», avertissent les portes-paroles du collectif, Ben Lefetey et Françoise Blandel.
Nérac. La gestion du port de Buzet dans la continuité - 31/08/2013 - LaDépêche Mercredi dernier, le conseil communautaire du val d’Albret s’est réuni en séance publique à son siège, à la maison Aunac, à Nérac. À l’ordre du jour, le tourisme avec la clôture de la convention publique d’aménagement par le biais d’un protocole d’accord transactionnel tripartite entre la CACG, la CCVA et la commune de Nérac a été adopté à la majorité. Le dossier suivant concernait le port de Buzet avec l’attribution des délégations de service public relatives à l’exploitation et la gestion du port et de la halte fluviale. Parmi les autres sujets, l’attribution du marché pour la mise en valeur du moulin des Tours a été adoptée, après étude.
Lagardère. Le système Neste à l'étude - 19/06/2013 - LaDépêche Les randonneurs de Lagardère étaient dimanche sur les pas de Joseph-Bertrand Abadie, de Sarrancolin, créateur du canal de la Neste (1848 à 1862). Des contacts privilégiés avec la Compagnie d’aménagement des Coteaux de Gascogne ont permis de voir au plus près le barrage sur la Neste à la sortie Sud de Sarrancolin, départ du canal. Le soulèvement du Plateau de Lannemezan à l’ère tertiaire privait le Gers et toute la Gascogne des eaux pyrénéennes. Grâce à cet ouvrage, les rivières du Gers sont ainsi alimentées pour de multiples usages : salubrité, alimentation en eau potable, desserte aux industries, irrigation de 50.000 ha, aide au remplissage des lacs, navigation. Les 48 millions de m³ des réservoirs du massif du Néouvielle, le canal, ses rigoles et les 1.350 km de rivières gasconnes constituent le système Neste.
Orbessan. Travaux post crues - 09/08/2013 - LaDépêche Suite aux deux inondations de 2013, la station d’observation du Service de Prévision des Crues de Toulouse, sise dans la parcelle située près de la station de pompage de la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne, entre le Gers et le canal du moulin à Orbessan, vient de recevoir des travaux de restauration. Le DREAL Midi Pyrénées a enregistré des dégâts importants : le transformateur de puissance a été noyé à 2 reprises malgré un coffret étanche et aussi que tous ces appareils aient déjà été remontés au maximum lors de la première crue de février. Cela a entraîné des pannes d’alimentation au SPC et à la CACG et provoqué des blancs dans les enregistrements qui servent aux prévisionnistes pour calculer et informer la population des alertes crues.
Marmont-Pachas. Le réseau d'irrigation inauguré - 18/06/2013 - LaDépêche Petite est la commune mais grandes sont les idées ! En 2009, 8 agriculteurs de la commune créent une association syndicale libre (ASL) dans le but d’aménager un réseau collectif d’irrigation. En juillet 2009, la CACG remporte l’appel d’offres pour l’étude préalable à la création du réseau. Ce jour du 7 juin, c’était l’inauguration du réseau en présence du maire de la commune et ses conseillers, du maître d’ouvrage Jean-Jacques Weber et son équipe CACG , du président de l’ASA , Christophe Dalzovo, des 10 adhérents agricoles concernés, et des autres partenaires liés à cette réalisation : CA, DDT, Coteaux de Gascogne, fournisseurs et entreprises. Visite sur le terrain par les invités. Réalisation et enjeu. C’est donc un réseau de 9,5 km qui dessert 230 ha, soit un volume d’eau de 404 000 m3 par an. Enjeu. Nicolas Bagolin de la Syngenta en exposait l’intérêt à l’aide d’un diaporama détaillé «Les Cultures céréalières ont besoin d’eau».
Tarbes. Des projets qui avancent toujours - 18/06/2013 - LaDépêche Les choses ne vont pas toujours aussi vite qu’on le voudrait. Mais elles avancent, lentement parfois, mais sûrement toujours. Petite revue des dossiers en cours. Il ne faut pas se laisser bercer par l’ambiance de consensus qui règne au sein du conseil communautaire, ce n’est pas parce que les escarmouches sont rares qu’il ne se passe rien… Au contraire, les projets vont bon train, enfin au rythme imposé par les tracasseries inhérentes aux grands chantiers. Autre dossier qui avance, l’aménagement en salle multisport du bâtiment 313 de l’Arsenal. Pour finir, une satisfaction exprimée par Gérard Trémège : «Enfin !
Tarbes. Un soutien de la CACG - 16/06/2013 - LaDépêche L’association Femmes Initiatives Laubadère (FIL) s’est vue remettre, jeudi matin, par la CAG (Compagnie d’aménagement des coteaux de Gascogne) un véhicule qui facilitera la livraison de plateaux-repas proposés par le snack. Rappelons que celui-ci a été ouvert il y a 15 ans, par un comité de femmes habitant le quartier, proposant sandwichs, plats du jour avec, aujourd’hui, une carte plus étoffée. La CACG fait en effet appel aux talents des cuisinières de Laubadère lors de séminaires d’entreprises ou à l’occasion de repas de travail, souligne Alain Poncet, le directeur général. «Cela fait partie des bonnes relations, glisse-t-il. Ils nous ont fait part du besoin d’un véhicule. On le donne afin d’aider l’association dans son développement.» Quant à Andrée Doubrère, adjointe en charge des affaires sociales et présidente du GIP contrat urbain cohésion sociale, elle déclare : «Cette association rayonne au-delà du quartier.
La collaboration, premier pilier de l’entreprise de demain Quels que soient les produits et/ou les services que les nouvelles entreprises développent et proposent, elles ne peuvent plus faire l’impasse – au niveau organisation – sur la mise en oeuvre de pratiques collaboratives et d’outils ad-hoc. Au delà de l’innovation technique ou commerciale, la collaboration est un des facteurs de réussite des petites et moyennes entreprises. Nécessaire, mais pas suffisante, elle contribue à créer la performance économique et c’est pourquoi la collaboration est le premier pilier de l’entreprise de demain. Ce n’est pas un besoin, ni même une exigence nouvelle, mais tout le monde s’accorde à reconnaître que l’évolution technologique de ce début de siècle rend la pratique collaborative plus facile, donc très certainement plus efficace. La collaboration est d’abord une attitude, un état d’esprit, qui consiste à travailler ensemble sur des projets, des dossiers, des idées. Hors, il n’en est rien. En effet, pourquoi collaborer ? Voici une liste non exhaustive :
La filière viande française à l'abattoir ? - Jean-Marie TETART Mercredi, table ronde très intéressante sur la situation et l’avenir des abattoirs en France. Très intéressante mais très inquiétante. Plusieurs raisons à cette situation inquiétante. D’abord une dégradation de l’élevage en France, donc plus assez de bêtes à abattre dans nos abattoirs qui gardent cependant les mêmes charges fixes. J’ai demandé en commission qu’on puisse faire le point sur toutes les voies par lesquelles les collectivités locales peuvent soutenir la filière viande et particulièrement les abattoirs. La question de l’étiquetage indiquant le mode d’abattage, rituel ou non, a été abordée. 80 % de la viande vendue à l’exportation est d’abattage rituel. La question des abattoirs de porc est encore plus délicate. Pour donner une idée générale du secteur, l’abattoir le plus important en France traite 5 millions de porcs par an, au Danemark 20 millions. Le porc « Francilin » est élevé en Seine et Marne, à Dagny, chez M.
Le secteur la viande en difficultés PARIS (France), 12 oct 2013 (AFP) - La suppression de près de 900 emplois dans la société d'abattage et de découpe GAD, annoncée vendredi soir, est une mauvaise nouvelle de plus pour un secteur aux abois, où résonnent des noms comme Doux,Tilly-Sabco ou encore Spanghero... Ces derniers jours, les cris d'alerte se sont multipliés : des abattoirs, réunis au sein du syndicat le Sniv-SNCP puis de la Fédération des industriels et des commerçants en gros de la viande (FNICGV). Tous font le même constat : la filière manque cruellement de compétitivité. Le coût du travail est trop lourd en France et la viande française n'arrive pas à concurrencer la viande allemande, où il n'y a pas de salaire minimum. Il y a trop de contraintes administratives. Les professionnels réclament notamment la fin des tests de dépistage de l'ESB (vache folle) sur les animaux arrivant en abattoir, comme l'autorise l'Europe depuis janvier 2013. 5.000 emplois supprimés ?
Les quatre vertus cardinales de l’entreprise 2.0 On en n’est plus à se demander ce que sera l’entreprise de demain, nous sommes en train de la construire et, à ce stade, il y a des choix à faire et c’est le moment de s’exprimer. Quelque(s) soi(en)t le(s) chemin(s) que prend l’organisation pour mettre en oeuvre les méthodes et les outils qui servent son évolution, la démarche s’inscrit d’emblée dans un contexte humain (et social) qui «oblige» l’entreprise à valoriser 4 vertus cardinales, charnières. l’Humilité Durant ces dernières décennies, l’entreprise et les «gestionnaires» ont parfois perdu le sens des réalités et le contact avec le terrain, d’où une certaine arrogance. La réalité économique et sociale, cause et/ou conséquence de nouveaux comportements, oblige les entreprises à adopter un comportement plus humble. A l’instar du marketing des décennies passées, il ne suffit plus d’asséner, de faire du bruit ou de décider, il faut être LEGITIME ! la Justice la Transparence et enfin, la Force Like this: J'aime chargement…