Pourquoi la fondation Gates finance Total, Coca et McDo Où les bons samaritains placent-ils leur argent ? Chez McDo, BP, Coca-Cola, Exxon Mobil et même dans une société de prisons privées. C’est ce qu’ont découvert les journalistes du magazine américain Mother Jones en épluchant la déclaration fiscale 2012 (en pdf) de la fondation Bill et Melinda Gates. Officiellement, les 36 milliards de dollars (26,24 milliards d’euros) de cet empire aussi riche que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont censés « lutter contre la faim et l’extrême pauvreté ». Sylvain Lefèvre est chercheur à la chaire de responsabilité sociale et de développement durable de l’université du Québec à Montréal (UQAM). Terra eco : Pour une fondation qui dit œuvrer pour la santé, investir 2,2 milliards de dollars (1,5 milliard d’euros) dans l’entreprise McDonald’s, c’est normal ? Sylvain Lefèvre : Ce n’est pas vraiment surprenant. Une fondation américaine a donc deux visages ? Ce système n’est-il pas schizophrène ? C’est déjà arrivé. Pour aller plus loin :
A progressive dialogue: Occupy the future -- A new generation reaches for the emergency brake When students take to the streets of Paris or London today, it is no longer to bring about a better world, but to defend what they can of the world their parents took for granted. - Dougald Hine, 'Remember the Future?', Dark Mountain II If someone has compiled an Occupy Wall Street reading list, investigative journalist Matt Taibbi's book Griftopia is surely on it. "The financial leaders of America and their political servants have seemingly reached the cynical conclusion that our society is not worth saving and have taken on a new mission that involves not creating wealth for all, but simply absconding with whatever wealth remains in our hollowed-out economy." Capitalism has always been driven by naked self-interest, of course. It's the prisoners' dilemma on a planetary scale. The nature of the beast For all that has been written about the financial crisis, there have been precious few efforts to connect it to its shadow: the planetary ecological crisis. 'Our one demand'
The Story of Stuff Project Entretien avec Olivier Berruyer : La fin d'un monde How the Rich Subverted the Legal System and Occupy Wall Street Swept the Land This article originally appeared at TomDispatch.com. To stay on top of important articles like these, sign up to receive the latest updates from TomDispatch.com. As intense protests spawned by Occupy Wall Street continue to grow, it is worth asking: Why now? About the Author Glenn Greenwald Glenn Greenwald is a former constitutional and civil rights litigator and a current contributing writer at Salon.... Income inequality has worsened over the past several years and is at its highest level since the Great Depression. During the late 1980s and the late 1990s, the United States experienced two unprecedentedly long periods of sustained economic growth—the “seven fat years” and the “long boom.” The 2008 financial crisis exacerbated the trend, but not radically: the top 1 percent of earners in America have been feeding ever more greedily at the trough for decades. Implicit in this framework was the claim that inequality was justified and legitimate. Americans understand this implicitly.
TSCG - Une playlist sur Dailymotion Dailymotion Sign in Playlist created by Mediapart | 11 videos Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (Bonus finances publiques) Create a Videozap Create a Videowall Create a Jukebox Grid List now playing Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (Bonus finances publiques) By Mediapart Le débat du TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (3/3) TSCG-Debat Trautmann Romagnan 3 TSCG-Debat Trautmann Romagnan 2 TSCG-Debat Trautmann Romagnan 1 TSCG : Cazeneuve - Joly, leurs désaccords sur le pacte budgétaire Bernard Cazeneuve sur les 3% de déficit Bernard Cazeneuve pour un "nouveau traité" européen Joly-Cazeneuve : la majorité et le TSCG Le débat du TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (2/3) Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (1/3) Added by Mediapart last year 625 views 564 views Débat entre deux socialistes en désaccord sur le TSCG : l'eurodéputée Catherine Trautmann le défend tandis que la députée nationale Barbara Romagnan s'y oppose. 355 views 361 views 887 views 554 views 250 views 224 views
Robert Reich Vandana Shiva : « Le libre-échange, c’est la dictature des entreprises » Basta ! : Les combats que vous menez sont liés à la souveraineté – alimentaire, sur les terres, l’eau, les semences. Qu’est-ce que la souveraineté ? En quoi est-ce un enjeu majeur du 21e siècle ? Vandana Shiva : La redéfinition de la notion de « souveraineté » sera le grand défi de l’ère post-globalisation. Pour garantir cette souveraineté, faut-il fermer davantage les frontières ? Aucune frontière n’est jamais totalement fermée. Nous ne disons pas « non au commerce », mais « non au commerce dérégulé ». Le protectionnisme peut-il être une solution face à cette exploitation du vivant, en empêchant les multinationales d’avoir accès à ces ressources qu’elles exploitent ? Tout comme nous devons redéfinir la notion de souveraineté, nous devons repenser la notion de protectionnisme. La protection de nos paysans est un « protectionnisme vital ». Vous écrivez que « le libre-échange est un protectionnisme pour les puissants ». Il y a deux types de biens communs. Vidéo : Nadia Djabali
Merge Left L’économie décolle sur ARTE › Temps forts Du 7 octobre au 4 novembre, ARTE explore toutes les facettes de l’économie moderne : mainmise du capitalisme financier sur la production, évolution des modèles économiques, blanchiment d’argent, alternatives à la croissance… Des patrons et des hommes « Fortunes et bijoux de famille » - Mardi 7 octobre à 20h50.Les belles années du capitalisme productiviste et glorieux. « Capitalistes sans entreprises » - Mardi 7 octobre à 22h05. Le capitalisme « Adam Smith : à l’origine du libre marché ? « La richesse des Nations, nouvel évangile ? « Ricardo et Malthus, vous avez dit liberté ? « Et si Marx avait raison ? « Keynes / Hayek, un combat truqué ? « Karl Polanyi, le facteur humain » - Mardi 28 octobre à 23h35 L’économiste hongrois Karl Polanyi était en avance sur son temps. l’économie collaborative « Echange, troc et partage, bien plus qu’une mode ? « Echange, troc et partage, un business comme les autres ? « Sacrée croissance !
New Deal 2.0 Rortybomb Corey Robin Guest Post: Corey Robin on the Deep Roots of Conservative Radicalism In New York on Thursday, October 6th, CUNY, the Roosevelt Institute, and The Nation will present “What is Conservatism?,” a conversation between Professor Corey Robin and Christopher Hayes focused on Robin’s new book, The Reactionary Mind. Click here for more details on the event. I really hope you can all make it, should be an excellent discussion. I’m still absorbing Robin’s provocative thesis — that conservatism is, and always has been, “a meditation on — and theoretical rendition of — the felt experience of having power, seeing it threatened, and trying to win it back.” In order to give readers a sense of his argument, I asked Corey to use Ronald Suskind’s famous passage about conservatism during the Bush years as an entry point into his thesis. Long before Ron Suskind tangled with the media and the White House for telling truths or tales about the Obama administration, he was the hero of liberals. They who are in possession of all they wish are languid and improvident…