Contrôler sa présence numérique Pourquoi enseigner l’identité numérique ? « Un internaute laisse beaucoup de traces de différentes natures. Nos comportements en ligne ont considérablement évolué, soit directement sur Internet, soit lors de toutes sortes de transactions qui intègrent des transferts d’informations numériques (…). Comme dans la vie réelle, il faut apprendre à repérer différents milieux, savoir comment on se comporte dans tel milieu, comprendre qui parle, d’où on parle. C’est ce que je mets dans la présence numérique. Il s’agit de développer une compétence numérique qui soit à la fois un savoir lire, un savoir écrire et un savoir être » Lire l’interview de Louise Merzeau. Descriptif de la séquence Questionnaire : Google veut vous vendre un jean, est-ce possible ? A l’heure du bilan Ainsi cette séquence sur les usages du numérique aura permis d’aborder un domaine complètement transversal illustrant les relations unissant droit et société. Cette séquence aura permis de : Bilan pour les élèves : Plus d’infos sur :
Mise en mémoire d'un exercice - mode brouillon - sur les CGU de youtube - Jadlat's experience Pourquoi sommes-nous si impudiques ? Les enquêtes sur les usages d’Internet font systématiquement apparaître deux résultats absolument contradictoires. Les usagers se montrent de plus en plus soucieux des risques de contrôle, de détournement et d’exploitation commerciale des données personnelles qu’ils laissent sur Internet. Mais par ailleurs, ils – et ce sont pourtant souvent les mêmes – se révèlent de plus en plus impudiques dans leurs pratiques d’exposition de soi, notamment sur les sites de réseaux sociaux et les blogs. Public par défaut Dans le débat sur le respect de la vie privée, il devient de plus en plus utile de distinguer clairement l’agent dont on craint la surveillance. La réussite des plateformes relationnelles du web 2.0 doit en effet beaucoup au fait que les personnes prennent des risques avec leur identité en rendant publiques des informations sur elles-mêmes. Le risque de la visibilité : méconnaissance ou opportunité Et si l’identité numérique était un signe relationnel plus qu’une information ?
Tous inégaux devant l'identité numérique ! Le web a tendance à gommer les inégalités notamment avec l'accès à l'information, les outils open source et à favoriser les échanges et les partages de contenus. Pourtant, nous sommes profondément inégaux devant un élément fondamental pour chacun d'entre nous : notre identité numérique ! Eh oui, en fonction de notre marque personnelle, c'est-à-dire notre prénom et notre nom, nous n'aurons pas à faire face au même niveau de concurrence. A ce titre, l'identité numérique va-t-elle devenir un critère discriminant dans le choix du prénom de vos enfants ? Un prénom, un nom : une identité numérique qui vous colle à la peau : Ca y est vous avez décidé d'améliorer et d'optimiser votre présence sur internet après avoir lu notre dernier article Personal branding : découvrez votre marque personnelle Bravo ! Deux cas de figure se présente : Votre prénom-nom est très commun : Vous êtes unique sur la toile : L'identité numérique des frères Dupont : Je me suis amusé à créer cette petite histoire fictive :
Un "code de la curation" pour une bonne conduite sur le web Deux journalistes américains ont lancé un passionnant débat sur internet en élaborant et en mettant en ligne un "code de la curation", espérant que ce dernier soit adopté par l’ensemble de leurs collègues ainsi que par les blogueurs. L’explosion des réseaux sociaux a en effet amené à de nouvelles pratiques. Ainsi, aujourd’hui, la surveillance des sujets les plus populaires sur Facebook et Twitter est devenue partie intégrante du travail des rédactions. Ainsi, on désigne sous le terme de curation, selon la définition de Wikipedia, "la pratique qui consiste à sélectionner, éditorialiser et partager les plus pertinents du web pour une requête ou un sujet donné". Querelles récurrentes Dans un milieu où certains liens peuvent être "RT" plusieurs centaines voir plusieurs milliers de fois sur Twitter, se pose très souvent la question de la "paternité" de la trouvaille. "Via" et "Coup de chapeau"
Les fiches "Être O'Net" pour un usage responsable et citoyen d'Internet Journée nationale de l'innovation 2014 : Appel à projets Comme chaque année la Dgesco/DRDIE organise un évènement national autour de l’innovation. La 4éme édition des journées nationales de l'innovation aura lieu à PARIS le 27 mars 2014 à la Bibliothèque Nationale de France. Cette manifestation est destinée à faire connaître, mutualiser, valoriser les actions menées dans les académies et à approfondir la réflexion sur l'évolution des pratiques pédagogique. Avec l’aide de la Cardie les équipes d’établissement peuvent librement présenter leur projet. 30 équipes seront sélectionnées et 5 Grands Prix NATIONAUX seront décernés par le jury. Pour faire acte de candidature quel que soit le degré d'enseignement. Plus d’informations sur les pages CARDIE du site académique : Pour mémoire, en 2013 l'académie d'Orléans-Tours a présenté soixante projets dont 4 ont été sélectionnés et présentés dans les laboratoires d’analyse Information proposée par Mme Rembault, IPR IA/EVS, décembre 2013
Réutilisation des données personnelles (1/4) : Rendre leurs données aux utilisateurs A l’occasion d’un voyage d’études organisé par la Fing dans le cadre de son projet MesInfos, nous avons rencontré des acteurs du projet britannique MiData. Dans le même esprit que MesInfos, le projet MiData engage plusieurs grandes organisations vers le partage des données personnelles entre les organisations et les individus que ces données concernent. La baseline de ces deux projets pourrait être la même : « Si vous savez quelque chose sur moi, alors je dois le savoir aussi et faire ce que je veux de cette information ».D’où vient exactement ce projet ambitieux ? Pourquoi s’engager ainsi sur cette voie de la réutilisation des données personnelles ? Quels en sont les grands enjeux ? Comment pense-t-on concrètement opérer ce changement ? Les données personnelles sont l’avenir des données publiques Pour David Eaves (@daeaves), les données ouvertes de prochaine génération sont les données personnelles : « Il s’agit d’un tout nouveau type de données ouvertes.
De l’identité à la présence numérique Quelles notions enseigner quand on enseigne l’identité numérique ? Comment faire pour, une fois le discours légitime des dangers d’Internet énoncé, aller au-delà et apprendre aux élèves à évoluer dans cet espace médiatique en exerçant une présence numérique assumée ? Comment conduire les élèves à l’acquisition d’une véritable culture informationnelle dont les objectifs sont de réussir à Réaliser, Réfléchir et Résister dans le contexte du numérique ? La lecture des travaux de Louise Merzeau[1] a été pour moi éclairante. Avec le numérique, l’un des bouleversements majeurs à prendre en compte dans notre enseignement est la mémoire de nos activités sur le web et leurs enjeux sociétaux. Toutes nos activités sur le web laissent des traces, on parle aussi de traçabilité de l’individu qui est devenu une collection de traces. Pour exemple, avec la géolocalisation : Autre exemple, celui d’une recherche sur Google :
Quelle protection européenne pour les données personnelles ? Question d'Europe n°250 Quelle protection européenne pour les données personnelles ? Résumé : La Commission européenne a rendu public, le 25 janvier 2012, un projet de règlement relatif à la protection des données à caractère personnel, qui refond l'ensemble du cadre juridique européen issu de la directive de 1995. La protection des données personnelles fait l'objet d'un important débat européen. I. 1. La Commission européenne, et plus particulièrement sa vice-présidente Viviane Reding, ont eu à cœur de porter un message efficace : " un continent = une règle applicable ". 2. Les principales avancées du projet de règlement portent sur deux aspects : le renforcement des droits des personnes, et les conditions dans lesquelles les entreprises peuvent traiter et échanger des données à caractère personnel. II. III. 1.
identité numérique | Sur le fil, suivre le fil… Parmi les nombreuses ressources permettant d’aborder l’identité numérique et la protection des données, certaines sont davantage susceptibles de « parler » aux adolescents en s’adaptant à leur langage, leur mode de vie et leurs centres d’intérêts. Elles constituent une excellente base de réflexion sur l’utilisation d’internet, du téléphone portable, des jeux vidéo, sans les diaboliser mais en les intégrant de façon plus raisonnée… Petite sélection qui devrait « parler » aux ados : L’association E-Enfance a conçu le film interactif « Derrière la porte », un court-métrage dont l’internaute est le héros : c’est à lui de créer l’histoire et de décider de sa fin. L’ONG Action innocence (qui agit pour une meilleure protection des enfants et des adolescents sur Internet) a publié le Netcode, un petit livret de dix bandes dessinées assorties de dix principes rappelant aux ados que, sur internet, ils ont des droits mais aussi des devoirs. Pour les enseignants (et les parents) :
L'identité numérique Je me suis engagé à écrire un texte d'introduction à l'identité numérique pour le Labo VTÉ sur les médias socionumériques. Je vais donc écrire une première version ici. Je la transposerai sur l'espace du labo VTE pour recevoir les commentaires des autres participants. En combinant les commentaires que je recevrai peut-être ici et ceux que je recevrai certainement dans l'espace de l'équipe du labo VTE, nous obtiendrons probablement un texte simple, clair et précis. Afin de comprendre l'aspect numérique de notre identité, il importe de d'abord clarifier quelques caractéristiques importantes de notre identité. Chaque petite facette de votre boule disco identitaire représente une chose que vous aimez/détestez, une activité que vous appréciez ou non, l'une de vos valeurs/croyances/habitudes/manies/peurs/passions... En 2012, avec la place prépondérante qu'Internet et les médias sociaux occupent dans nos vies, il y a inévitablement une partie de notre identité qui est numérique.
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