Comment produire des informations calibrées pour le mobile?
Crédit: Flickr/CC/leppre D’ici 2015, la majorité du trafic sur Internet pourrait se faire à partir d’un terminal mobile, et non plus d’un ordinateur fixe. En France, déjà 16,1 millions de personnes se sont connectées à Internet depuis un téléphone portable. «Le mobile n’est pas le prochain “gros truc”, déclare Ian Carrington, de Google . En plein essor, le téléphone distribue des contenus d’actualité, sous une autre forme et une autre temporalité que celle pratiquée sur les sites Web. Premières ébauches de réponses. Accompagner la mobilité Selon Jérôme Stioui, président de la société Ad4Sreen, qui donnera à la rentrée un cours sur les contenus mobiles à l’Ecole de journalisme de Sciences Po, «il faut se poser la question suivante: qu’est-ce qui fait que les utilisateurs vont éprouver le besoin de lire une information sur mobile plutôt que d’attendre d’être sur leur ordinateur?». Alpaguer des lecteurs sollicités en permanence S’adapter au tout petit écran Taille d’un écran d’iPhone?
Etude Orange et Terra fémina: comment les réseaux sociaux bousculent l’info
Le temps où l’info sur le Web était réservé aux happy few est loin. Plus de 7 Français sur 10 consultent des informations sur Internet, via les portails d’actualité (Google Actualités, Yahoo! Actualités, etc.) ou les sites des grands médias (lemonde.fr, nouvelobs.com, lefigaro.fr,…), révèle une étude réalisée sur 1.005 personnes âgées de 18 ans et plus par l’Observatoire Orange et Terra Femina et intitulée de «20h à Twitter: les réseaux sociaux bousculent l’info». Dans ce cadre, l’affaire DSK a été un cas d’école pour les médias, partant d’un tweet d’un étudiant amateur en mai et aboutissant à l’interview de l’ex-patron du FMI dans le JT de Claire Chazal en septembre. Résumé des chiffres tirés de cette étude (pour laquelle j’ai été témoin, ce mardi 11 octobre 2011, lorsque ses résultats ont été dévoilés). Crédit: Orange et Terra Femina Le besoin de temps réel La première des raisons invoquées pour consulter un site d’infos? Les accélérateurs de temps réel Le besoin de contexte
Les critères d’un contenu facebookable
Crédit: Flickr/CC/dkalo Il y a les titres «Google friendly». Maintenant, il y a les contenus «facebookables». Encore un mot anglais que j’aurais pu ajouter au jargon des journalistes en ligne. Alors que le réseau social de Mark Zuckerberg vient de lancer une page intitulée Journalists on Facebook, de la même façon que Twitter répertorie les meilleures pratiques journalistiques, il faut croire qu’il y a une audience, sur Facebook, intéressée par la consommation d’informations. «Qui vous dit d’aller voir cet article?» Sauf que, d’après les expériences menées ici et là, les contenus d’informations ne vont pas tous de pair avec Facebook. Critère numéro 1 : Le contenu doit être visible dans le newsfeed de Facebook Le newsfeed, c’est le fil d’actualités de Facebook, présent dans la colonne centrale de la page d’accueil, là où sont visibles les liens qu’aiment vos amis, les photos sur lesquelles ils figurent, les commentaires qu’ils ont posté, etc. Le edge rank repose sur trois éléments: 1.
Quel impact a le SEO sur l’écriture journalistique?
Ce dialogue n’est pas fictif. Il désigne l’impact de la titraille, comme on dit dans le jargon, sur le référencement d’un contenu journalistique dans Google – et l’agacement que, parfois, le phénomène suscite chez certains rédacteurs pour qui l’art de trouver un bon titre se situait plus du côté du jeu de mot intellectuel que de l’indexation robotique de contenus via mots-clés. Ce phénomène, en bon anglais, s’appelle le SEO, «search engine optimization». Lequel ne concerne pas que les titres, mais aussi le contenu des articles, la façon dont ils sont écrits, et comment ils sont édités. Crédit: Flickr/CC/BrunoDelzant Si les mots «Sarkozy», «Facebook», «Domenech» et «météo» sont cités comme des appâts, c’est parce que ces termes font partie des recherches les plus fréquentes en France, sur Google, depuis le début de 2010. Comprendre, d’abord, et s’adapter, ensuite Dans certaines rédactions est apparu petit à petit un nouveau métier: le spécialiste du référencement. En avant les contenus!
How Online Reading Has Evolved in 2011
This time last year I wrote a post outlining how online reading patterns had changed over 2010. The habits and products for reading on the Web have continued to evolve over 2011. This year, for example, Google+ arrived on the scene and changed the way many people find and discuss topical articles. We also saw continued innovation in mobile and tablet reading apps. In this post I identify two key trends in online reading over 2011, plus two main ways that our online reading habits have changed. Twelve months ago, when reviewing online reading over 2010, I concluded that "consuming content has become a more social, mobile experience." Remember that the iPad only launched in April 2010 and Flipboard in July. Two Key Online Reading Trends in 2011 1. Facebook and Twitter were joined this year by Google+, which has become particularly popular as a topic-based social network. 2. Apple released version 2 of the iPad in March. How Our Reading Habits Have Changed Over 2011 1. 2.