L’homme ne vit pas seulement de pain #2 Arts visuelsRésidenceavril 2012 à juin 2012CoproductionMarseille-Provence 2013 & Savonnerie Marius FabreProduction déléguéeMarseille-Provence 2013 Programmation en 2013Exposition Ici, ailleurs à la Tour – Panorama – Friche la Belle de Mai - Marseille - 12 janvier / 31 mars Exposition Taysir Batniji à la Salle Robert de Lamanon – Le Septier – Salon-de-Provence - 10 avril / 16 juin Né à Gaza en 1966, Taysir Batniji étudie l’art à l’université Al-Najah à Naplouse en Cisjordanie puis, grâce à une bourse du gouvernement français, à l’Ecole des Beaux-Arts de Bourges. Il vit entre l’Europe, en France notamment, et la Palestine, et a développé une pratique artistique pluridisciplinaire (dessin, installation, performance, photo, vidéo…).
SYNAVI - Syndicat national des arts vivants Les pratiques culturelles des Français à l’heure d’HADOPI Intéressante coïncidence ! La nouvelle vague de l’enquête Les pratiques culturelles des Français à l’ère numérique, conçue et exploitée par le Ministère de la Culture et de la Communication, a été rendue publique le 14 octobre dernier, au moment même où le Conseil Constitutionnel examinait le contenu du second volet de la loi sur la diffusion et la protection de la création sur Internet (dite loi HADOPI). Cette étude a plusieurs mérites. Elle couvre non seulement les pratiques médias des Français, mais également l’ensemble de leurs pratiques culturelles. Cette étude est riche d’enseignements, parfois surprenants. Il est intéressant de les confronter à la réalité des choix et des politiques mis en œuvre par les différents acteurs du secteur de la culture (législateur, artistes, industriels, consommateurs…). Hasardons trois constats, et deux hypothèses, pour tenter de rendre compte de la richesse des ces enseignements. Cette règle semble se confirmer de nouveau avec Internet.
Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques [SACD] - Accueil - SACD Introduction. Les Scènes métal 1Ce numéro de (Copyright) Volume ! est consacré aux scènes metal. Il comprend cinq articles scientifiques, deux entretiens approfondis, cinq notes de lecture et une bibliographie des études métal qu’on a voulu la plus complète possible. Fidèles à la perspective de la revue, les contributions se penchent sur le metal à partir de lectures pluridisciplinaires (musicologie, ethnomusicologie et sociologie) et internationales (France, Espagne, États-Unis, Finlande, Maroc et Taïwan). Une ouverture théorique raisonnée est en effet de mise si l’on considère, en suivant la lecture épistémologique de Jean Claude Passeron, que les sciences sociales « compensent le caractère toujours recommencé de leurs interprétations et la forme “interminable” de leurs intelligibilités “en écheveau” par leur teneur en phénoménalité historique et culturelle » (Passeron, 1990). 2Qu’entend-on par « metal » ? 1 En France, le terme est par exemple repris dans le livre de Max Well et François Poulain, Scènes de (...)
Portrait : Alexandre Jardin fait le saut du numérique avec FanFan2 Rendez-vous un matin de septembre dans le nord-ouest de Paris pour un entretien avec Alexandre Jardin. Le thème, le « numérique », pourrait surprendre les nombreux admirateurs de l’auteur. En effet, ce dernier est quasiment absent du web : pas de page Facebook officielle, aucun site web à l’horizon et aucun ouvrage papier disponible en ebook. Avant même de le rencontrer, cette non-existence numérique nous a interpellés. Pourquoi se lancer subitement dans ce nouvel univers?? Coup de com’ ou appropriation lente et réfléchie du nouveau média?? La surprise est de taille. De cette réflexion, Alexandre Jardin et les équipes d’Orange (une vingtaine de personnes au total) ont développé un texte (malgré sa naissance sur le papier) 100% numérique?! Le récit, en se déployant dans le virtuel, s’offre alors une nouvelle vie. Derrière la prouesse technique de ce récit multiplateforme, la motivation de l’auteur est de transformer nos smartphones en outils d’émotion. AJ : Les deux.
Hiptype : la publication guidée par les données Les détaillants comme Amazon et Barnes & Noble recueillent des données sur la façon dont les utilisateurs consomment des livres électroniques sur leurs plateformes : mais, hormis les chiffres de ventes, les éditeurs n'ont la plupart du temps pas accès à ces informations. Hiptype (@hiptype, le blog) se propose de résoudre ce problème en fournissant une plateforme (et un code à insérer dans chaque livre) permettant aux éditeurs d'avoir accès à des données détaillées sur la façon dont les gens lisent leurs livres. Hiptype permet à l'éditeur d'avoir accès à des données sur la sociologie des lecteurs (âge, revenu, localisation...), le comportement de lecture (où les gens démarrent, où ils arrêtent, ce qu'ils passent...) et ce qu'ils partagent (les passages qu'ils soulignent ou ceux sur lesquels ils prennent des notes). Image : exemples de données fournies par HipType via FastCompany. Share and Enjoy Signaler ce contenu comme inapproprié
Une enquête inédite Les loisirs sont une affaire sérieuse, comme en témoignent les résultats des enquêtes portant sur les pratiques culturelles. Néanmoins, sur le modèle de la plus célèbre d’entre elles, l’enquête sur les Pratiques culturelles des Français, celles-ci se sont majoritairement attachées aux pratiques des adultes (en réalité les plus de 15 ans), comme si les plus jeunes étaient implicitement considérés soit comme des héritiers ou des reproducteurs des pratiques parentales, soit comme des consommateurs passifs soumis à l’imposition médiatique. La culture des moins de 18 ans, une terra incognita ? Dans ce paysage, l’apport de l’enquête L’Enfance des loisirs (2), présentée ici, est bien évidemment son ampleur. « Dis-moi quels sont tes loisirs, et je te dirai ton âge. » De la petite enfance à la grande adolescence, l’avancée en âge se caractérise par une réorganisation des agendas culturels, qui combine redéfinition des répertoires de loisirs et modification de leurs conditions d’exercice.
Des musées numérisés Certains musées s'emparent du numérique pour renouveler l'expérience de la médiation culturelle. La preuve en quinze exemples de dispositifs, conçus aussi bien pour de grosses structures que pour de plus modestes. Depuis les années 1980, la montée des technologies numériques, du multimédia et des technologies de l’information a suscité l’intérêt de nombreux musées. L’audioguide un peu désuet s’est transformé en guide multimédia, les écrans ont envahi les lieux d’expositions, de nouveaux modes d’accès à l’information sont apparus (e.g. via les smartphones). Ces dispositifs, toujours plus sophistiqués, créent ainsi de nouveaux rapports entre le musée et le visiteur. Des tables interactives aux systèmes de guidage à réalité augmentée, voici une sélection hétérogène de dispositifs technologiques originaux et innovants mis en place dans des musées. La Vierge au lapin de Titien au Musée du Louvre : immersion picturale Table multitouch au musée Nestploria : toucher du doigt le passé
Espace Virtuel Culture Numérique Base Joconde BOUDIN Eugène, Venise, La douane et Notre-Dame-de-la-Salute, huile sur bois, 1895, Reims, musée des beaux-arts © Christian Devleeschauwer1/28 Costume de China Poblana, Mexique, coton, laine, sequin, perle de verre, 4e quart 19e siècle, 1er quart 20e siècle, Barcelonnette, musée de la Vallée, © BERNARD Jean2/28 MAISON J ROTHSCHILD & Fils et RHEIMS & AUSCHER, Modèle de landau à huit ressorts, crayon graphite sur papier bristol, 4e quart 19e siècle - 20e siècle, Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme © Arkhênum ; Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme - utilisation soumise à autorisation3/28 Portrait de Tiberius Gemellus ? DE DIETRICH, Saint Georges terrassant le dragon, bas-relief, fonte moulée, entre 1950 et 1960, Reichshoffen, musée historique et industriel, musée du fer © Pommois Etienne28/28
Privés ou publics, les théâtres souffrent à leur tour de la crise - FRANCE Publié le : 28/12/2011 - 16:26Modifié le : 28/12/2011 - 16:43 Théâtres publics et privés sont à leur tour frappés par la crise. La baisse des subventions, pour les premiers, et de la fréquentation, pour les seconds, rendent les directeurs de salles de spectacles pessimistes. AFP - Les théâtres publics font salles combles mais subissent la stagnation des subventions ; les privés connaissent une saison difficile avec une fréquentation à la baisse : la crise frappe différemment les salles de spectacles mais leurs directeurs manifestent tous la même inquiétude. "On avoisine presque les 100% de taux de remplissage sur tous les spectacles depuis la rentrée et un chiffre record d'abonnés", se félicite Pierre-Yves Lenoir, administrateur de l'Odéon-Théâtre de l'Europe à Paris, un théâtre national. "2010-2011 est la meilleure saison historique depuis 1968", renchérit Emmanuel Demarcy-Mota, directeur du Théâtre de la Ville à Paris, subventionné par la mairie. "Avignonisation"
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