International : L'ex-millionnaire est un smicard heureux Un homme d'affaires autrichien a renoncé à son entreprise et à sa fortune pour vivre avec 1000 euros par mois dans une cabane. Un choix radical qui lui apporte le bonheur. Il y a un an, il habitait une luxueuse villa dans les montagnes autrichiennes. Un immense garage abritait sa limousine, cinq avions étaient à sa disposition. A 48 ans, Karl Rabeder était un homme d'affaires riche, reconnu et malheureux. Aujourd'hui il vit avec 1000 euros par mois dans une cabane de 20m2 sans confort, et il est , dit-il, «plus heureux qu'il n'a jamais été». «Quand on voit la photo prise de moi il y a un an devant mon chalet, j'ai l'air d'avoir dix ans de plus, fatigué et triste», dit Rabeder au magazine Spiegel . Une vie idyllique sans possession matérielle Pour se débarrasser de sa magnifique villa en bois et verre construite dans une verdoyante vallée tyrolienne, Rabeder imagine une méthode originale.
High-Tech : Comment Facebook impose sa monnaie virtuelle Depuis le 1er juillet, l'usage des Facebook Credits est devenu obligatoire sur le réseau social. Ils vont générer de nouvelles recettes pour Facebook, qui prélève 30% sur chaque transaction. Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie. Ce sera la prochaine révolution Facebook. Fort de près de 750 millions de membres, le réseau social fait déjà de l'ombre à l'e-mail, aux sites de partage de photos comme Flickr et à Google. Aujourd'hui, Facebook ouvre un nouveau front, qui pourrait se solder par un «blitzkrieg» sur l'économie virtuelle. Lancés discrètement il y a un an et demi, les Facebook Credits sont obligatoires sur le site depuis le 1er juillet. Enjeu industriel Ces Facebook Credits s'échangent contre des biens virtuels dans des jeux comme Farmville, PyramidZ et Empires & Allies, ou, comme le propose le studio de cinéma Warner, contre des films en VOD. Pour Facebook, les Credits représentent un enjeu industriel. Jeux sociaux
Le crédit mutuel limité ne marche pas non plus L’ensemble des personnes qui commencent à s’intéresser à la création monétaire par la force des choses, commence à se douter que la monnaie à création centralisée, la monnaie actuelle, n’est pas une monnaie équitable. L’Etat et les Banques ont le pouvoir quasi exclusif de création monétaire, et donc raflent tout (les Banques par l’effet de levier, les Etats par la dette infinie…). Alors on pense « monnaies complémentaires », mais se pose toujours la question fondamentale de comment je crée la monnaie. D’autres SEL ont compris l’avantage du crédit mutuel qui est déjà un meilleur système parce que décentralisé. Alors ces SEL rencontrent des problèmes… Forcément ! - Ne pas quitter le SEL en laissant un compte négatif (on entre on dépense tout le débit autorisé, et on repart…)- Ne pas garder un compte créditeur, les comptes doivent être « alternativement créditeurs et débiteurs »… Ces problèmes sont historiquement ceux liés à l’Etalon Or, qui ne marche pas évidemment. Mais si.
WiserEarth Peut-on apprendre en ligne A TED 2011, Salman Khan est venu présenter la Khan Academy, une collection soigneusement structurée de plus de 2000 vidéos éducatives (voir la présentation vidéo avec sous-titres en français). La Khan Academy connaît un succès notable avec quelques 1 millions de visiteurs par mois qui regardent entre 100 et 200 000 vidéos par jour, souligne son créateur. Salman Khan a commencé incidemment. Analyste financier pour un fonds de pension, il donnait des cours de math à distance à des cousins via l’internet et a décidé de mettre quelques leçons sur YouTube, plus comme complément aux cours qu’il leur donnait qu’autre chose. Ses cousins ont été assez heureux d’avoir moins à le déranger pour accéder aux leçons et de pouvoir les suivre selon leur propre rythme. Le succès aidant, Salman Khan a quitté son travail et fondé une association à but non lucratif, la Khan Academy. Certaines classes pilotes à Los Altos ont remisé leurs manuels pour travailler avec la Khan Academy.
De la rareté vers l’abondance Pour libérer notre société de ses maux, de ses problèmes multiples, une de mes recommandations est de faire péter les uns après les autres les verrous de la rareté. Qu’est ce que ça veut dire? Comment s’y prendre? Pour remplacer par quoi? D’abord, il me semble important de définir la rareté (cf wiktionnaire) : Choses qui sont en petit nombre, en petite quantité ; il est opposé à Abondance. La rareté peut être naturelle ou contrôlée. - Rareté naturelle : les rubis se trouvent en quantité limitée sur terre, les trèfles à quatre feuilles sont difficiles à trouver. - Rareté contrôlée : ressources, services ou produits peuvent être contrôlés et maintenus en quantité limitée, par exemple le nombre de Prix Nobel distribués ou les diamants. Pour vous expliquer une rareté contrôlée, @phyrezo vous présente en deux mots le contrôle des diamants : l’approvisionnement du marché est controlé par un oligopole de la production, un quasi monopole de la part de De Bears. Bien. Explosion du barrage
Our Proposals What We Need We’ve spent the last four years researching the problems caused by the current debt-based monetary system and how to fix them. This is what we think needs to change to fix our broken money system: History has shown that when banks have the power to create money, they create too much in the good times, causing financial crises, and then create too little money in the bad times, making recessions and unemployment even worse. who has the power to create money,how much money they create, andhow that money will be used. However this process is set up – whether it’s the Bank of England or a new committee that decides whether to create money – it must be accountable to Parliament and protected from abuse by vested interests. Currently, banks create money when they make loans, which means that for every pound in your bank account, someone somewhere else will be a pound in debt.
Social Lending | Informilo In the wake of the 2008 global financial crisis, I believe we need to rethink and rebuild many organizations and institutions that served us well in the past but are beginning to falter. Fortunately, the Internet lets us do this. It slashes collaboration costs and makes possible completely new models of combining people, skills, knowledge and capital for economic and social development. Around the world, individuals and groups are working together, developing new businesses based on peer-to-peer (P2P) collaborative networks. The financial services industry has always been the antithesis of P2P collaboration. Hierarchy is deeply entrenched in this industry, for good reasons such as security, auditing, and regulatory compliance. First, financial services companies are moving beyond electronic mail, document management and other primitive technologies to new collaborative software suites like Jive and Moxie Software Spaces, which encourage P2P collaboration within corporate boundaries.
The Role of Interest & Demurrage in The Future of Money In my recent reading I have frequently come across the related notions that currencies can be “designed” and that certain currency designs would eliminate the role of interest. In order to examine the validity of these claims it is important to first distinguish money or currency itself from that which is monetized. Money commonly serves three functions: Medium of ExchangeUnit of AccountStore of Value In modern currency regimes the “store of value” function has largely been usurped by other assets. Interest is a fee paid on borrowed assets. Interest is the price paid for the use of borrowed money. Scarce resourcesVarying temporal preferences for consumption Critically, these preconditions refer not only to the monetary system but to the constituents of the economy itself – its productive capabilities and the psychology of its participants. One possible system without interest would be a gift economy. What does this mean for interest in future monetary systems? photo courtesy of paalia
More Thoughts on Social Currency, Part I In Splitting the Social Currency Atom I explored how it was possible to make sense of the various uses of the term “social currency” by analogy to the different functions of money. “Social currency” means different things depending on whether we are talking about it as a “means of exchange” (jokes, information, rumours) or as “unit of account” (reputation points, badges, diplomas.) While this analogy is useful, it isn’t perfect. In a number of important ways, social currency does not function like money. In this post, I will focus in on the “means of exchange” view of social currency. Exploring how social currency behaves differently to money can help shed light on what it is, and isn’t. What kind of exchange? To recap on my last post on this subject, what we could describe as “means of exchange” social currency is what we share in social contexts in order to earn social capital. Compare this to telling a joke at a party. What kind of gift? What kind of gift is social currency?
8 Forms of Capital | AppleSeed Permaculture A whole system of economic understanding ©Copyright 2011 Ethan Roland & Gregory Landua Click here to download the article from Permaculture Magazine #68 Context: Financial Permaculture, 2009 In 2008 and 2009, I was part of the organizing & facilitation team for the Financial Permaculture Course in Hohenwald, Tennessee. Financial Permaculture goes beyond the traditional permaculture approach to economics and asks the question, “What would it look like if we re-designed the global financial system using permaculture principles?” In 2009, Catherine Austin Fitts presented “Mapping Financial Ecosystems”. At one of the open space sessions I began to realize a more complete map of “capital.” Eight Forms of Capital The Oxford American Dictionary states that capital is, “wealth in the form of money or other assets” and a “valuable resource of a particular kind.” The Mayor might have some money (financial capital). Social Capital Influence and connections are social capital. Material Capital Fair Share
Cri du cœur d'un libéral : créons, citoyens, nos propres monnaies ! Je ne sais pas si « la guerre est une chose trop sérieuse pour être laissée aux militaires », mais la monnaie est définitivement une chose trop sérieuse pour être laissée aux mains des banquiers centraux et des Etats. Il est d'ailleurs très probable que d'ici quelques décennies les citoyens reprennent directement la main sur la monnaie. Cela ne serait qu'un retour aux sources. La monnaie n'a jamais eu besoin d'un Etat ou d'une banque centrale pour émerger puis pour se maintenir. Des monnaies virtuelles, infalsifiables, anonymes, décentralisées Des cigarettes dans les camps de prisonniers aux billes des cours d'école en passant par les SEL – systèmes d'échanges locaux, notamment promus par l'association SEL'idaire – chaque fois qu'il y a besoin d'échanger, les hommes trouvent un pivot à leurs échanges sans avoir besoin d'experts pour décider à leur place. Comme nous ne sommes pas masochistes, nous choisirons des monnaies saines, le contraire des monnaies actuellement imposées par les Etats.
Monnaie sociale Sous des termes différents, monnaies sociales, parallèles, alternatives, complémentaires, etc., on retrouve des projets qui ont d’abord pour caractéristique de répondre aux dérèglements majeurs des monnaies dominantes et surtout à la dépendance de plus en plus dangereuse de ces dernières à l’égard des marchés spéculatifs. La principale fonction de la monnaie, sa justification historique, est de faciliter l’échange et l’activité entre les êtres humains en établissant une unité de compte commune et en créant un espace de confiance (d’où le terme de monnaie fiduciaire qui, en latin, signifie foi, confiance). Cet étalon permettant un échange très supérieur à ce qu’autorisent des formes comme le troc. Or cette fonction première est aujourd’hui gravement mise en cause par les phénomènes de misère et d’exclusion L’économie sociale et solidaire, dans la continuité de sa tradition historique, travaille simultanément sur deux approches. Commenter cet article
Rethinking taxes and welfare in a cryptocurrency world The relative early success of Bitcoin in the world of hackers, means that cryptocurrencies will be coming in a decade or so. It’s urgent to rethink taxes and welfare, thinks Swedish Pirate Party leader Rick Falkvinge in this excerpt: “From a political perspective, this development means that taxation and welfare systems must be rethought and rewired considerably and immediately. Cryptocurrency brings new challenges to the table. I know a lot of individuals in government will react with normalcy bias to this statement and say “but we have to!”. This means that neither taxes nor social support systems can be based on income or wealth. We’ll arrive at this point within a decade. So taxation first, then. This leaves us with a couple of other things we can tax. Oh, and we can tax consumption. The value added tax (VAT) is already one of the largest sources of revenue for the European governments. This has two other nice side effects: first the obvious advantage of abolishing personal taxation.