Morphologie du conte Morphologie du conte est un essai de narratologie de Vladimir Propp paru en 1928 à Léningrad. Présentation[modifier | modifier le code] Le livre fut à peu près ignoré en Occident jusqu'à ses premières traductions en 1958 (anglaise) et 1965 (française). Surtout intéressé par les problèmes de description et de classification des contes, Propp s'attache à en dresser la morphologie, c'est-à-dire « l'étude des formes et l'établissement des lois qui (en) régissent la structure »[2]. À la différence d'autres tentatives de formalisation du récit, Propp ne retient comme substrat d'analyse que des unités de sens. Les fonctions narratives[modifier | modifier le code] Afin de déterminer une typologie des structures narratives, Propp étudie plus d'une centaine de contes russes traditionnels, en en retranchant tout ce qu'il juge secondaire : le ton, l'ambiance, les détails décoratifs, les récits parasites, pour n'en garder que les unités narratives de base qu'il appelle « fonctions ».
Improviser avec des objets sonores Pourquoi des objets sonores ? Les objets sonores sont des instruments que l’on peut fabriquer facilement soi-même à partir de matériaux ou d’objets de la vie quotidienne. Il ne s’agit pas de fabriquer n’importe quoi n’importe comment. Il s’agit de s’interroger sur divers objets, diverses matières et voir si on peut en tirer un son agréable à entendre. Un critère m’a toujours accompagné dans la fabrication des objets sonores : Est-ce que ce son me plait ? Il est intéressant de demander aux enfants d’aller eux-mêmes à la « pêche aux sons ». Un des avantages des objets sonores, c’est que chacun peut les maitriser rapidement et s’en servir tout de suite. Avec les objets sonores, tout est à inventer à partir de ce que chacun ressent et entend, aime ou n’aime pas. Explorer et manipuler Avant de jouer ensemble avec des objets sonores ou instruments, il est nécessaire que chacun puisse les connaitre, les essayer, les regarder de près, les toucher, poser des questions. Improviser
Contes merveilleux Contes de fées Contes populaires texte illustration animation son Aladdin Les amours de Claire et de Marcelin Babiole La Barbe bleue La Belle au bois dormant La Belle aux cheveux d'or La Belle et la Bête Le berger qui ne mentait jamais Blanche Neige Blondine Le bon petit Henri La bonne petite souris Ce que disent les fleurs Cendrillon ou la petite pantoufle de verre Les cerises Le Chat botté Le Chemin du Diable Le chêne parlant Le chien et la fleur sacrée La combe de l'homme mort Le conte des oeufs Conte des trois souhaits La daurade et les époux Les deux amis de Bourdonne Les deux flamiques Le Diable meunier Le diamant de l'herbe Le Dragon L'Écureuil L'Élixir de longue vie La Fée aux gros yeux La Fée aux miettes La Fée Poussière Les Fées La femme qui mangeait peu Finette Cendron Fortunée La gardienne d'oies Le Gascon puni La grenouille bienfaisante La grenouille et la couleuvre Hansel et Gretel Histoire de la Duchesse Cigogne Histoire de la Princesse Alise d'Avigorre Histoire de la Princesse Rosette L'histoire des trois ours L'ingénieux tisserand Jack tueur de géants
Il était une fois...Contes et légendes hongrois Les mille et une nuits Mais pourquoi les mille et une Nuits font-elles rêver depuis des siècles ? Plus qu'un simple recueil d'histoires fantastiques, le concept narratif, l'alibi narratif qui le structure en fait un chef-d'œuvre puissant. Shéhérazade, fille du grand vizir, voyant la cruauté du roi Shahriyar, qui sacrifie chaque matin sa nouvelle épouse de la veille, décide de sauver les jeunes femmes du royaume en épousant elle-même le souverain. L'origine des Mille et une Nuits reste encore un peu trouble. Il faut savoir que les nombreux contes qui composent le recueil ont connu une évolution constante entre le 8e et le 18e siècle. Une première traduction française se fait sous la plume d'un certain Antoine Galland, en 1704. En 1900, le docteur Joseph Charles Mardrus présente une version qui attirera l'admiration d'une bonne partie de l'élite intellectuelle européenne : Le livre des Mille et une Nuits.
Au pays du conte Acheter / Emprunter Pour réaliser un panier d’achat ou de prêt il est impératif d’être inscrit (onglet « inscrivez-vous »). Acheter Les films édités en DVD ou en vidéo VHS Pal sont vendus pour un usage privé ou institutionnel. Frais d'expédition vidéo et DVD- France : 2,50€ HT (3,00 € TTC) par exemplaire + 1,00€ HT (1,20 € TTC) par ex. supplémentaire- Europe : 3,33 € HT (4,00 € TTC) par exemplaire + 1,25€ HT (1,50 € TTC) par ex. supplémentaire- Autres pays : 5,00 € (6,00 € TTC) par exemplaire + 1,66€ HT (2,00 € TTC) par ex. supplémentaire- Colissimo et Chronopost : sur la base des tarifs en vigueur. Paiements :- par chèque à l’ordre de Agent comptable du CNRS adressé à : CNRS Images Vidéothèque 1 place Aristide Briand 92195 MEUDON Cedex France- par virement bancaire sur le compte suivant : Agence comptable secondaire Direction Générale des Finances Publiques - T.G. des Hauts de Seine,167 à 177 Av. Emprunter Pour toutes projections non commerciales : nous contacter.
Le renouveau du conte… littéraire (1/2) « Tenir conte – carnets de Jean-Sébastien Dubé La visite de Bruno de La Salle au Québec en décembre 2010 m’a donné l’occasion de me replonger dans deux ouvrages qu’il a respectivement signé et co-signé. Il s’agit du Conteur amoureux (Casterman, 1995) et du Murmure des contes (entretiens avec Henri Gougaud, recueillis par Isabelle Sauvage, Desclée de Brouwer, 2002). Je les avais déjà traversés, mais je crois que cette fois-ci je les ai réellement découverts; tant il est vrai qu’il y a des lectures ou des leçons que l’on ne reçoit pas si l’on n’est pas encore prêt à les accueillir. Si, pour moi, Le conteur amoureux demeure d’abord un recueil de contes « versions BLS » (que je mets en parallèle avec les nombreux recueils publiés par Gougaud), l’intérêt du livre est double puisque de La Salle s’y raconte en filigrane (ce que ne fait pas Gougaud dans L’arbre à soleils et cie). Ainsi, j’ai dû m’apercevoir que ma propre version du « Pays où l’on ne meurt jamais » devait beaucoup à son « Pays où la mort ne peut entrer ». Like this:
01. ACTUALITES - OUI-DIRE Editions Classification Aarne-Thompson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La classification Aarne-Thompson, relevant des sciences du folklore, est une classification des contes populaires en contes-types. Commencée par le Finnois Antti Aarne (1867-1925), elle a été complétée par l'Américain Stith Thompson (en) (1885-1976). Présentation générale[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] La collecte systématique, à partir du XIXe siècle, de contes traditionnels a permis de réunir de nombreuses histoires qui, malgré leur diversité, présentent de grandes ressemblances d'un pays à l'autre, voire d'un continent à l'autre. La première édition de l'index des contes-types est parue en 1910[2]. Le système servira de base à l'élaboration de plusieurs catalogues nationaux de contes, notamment le catalogue raisonné des versions de France, Le Conte populaire français, ouvrage commencé par Paul Delarue et poursuivi par Marie-Louise Ténèze, publié entre 1957 et 2000[5]. Renart.
Histoires pour enfants narrées à l'écran En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts et réaliser des statistiques de visites. En savoir plus J’accepte et continue
Fabula, la recherche en littérature Le chemin des aiguilles Le petit chaperon rouge à la manière de… Publié le 23 mars 2011 dans Le conte vu par..., Petit chaperon rouge | 1 réaction © Jean Ache – Jean Ache in Pilote, 1974 © Jean Ache – Jean Ache in Pilote, 1974 Source : Flickr Centre de psychothérapie analytique et systémique : Paris - Qui êtes-vous? Une femme était dans le coma et se mourrait. Elle eût soudain l'impression qu'on l'amenait au ciel et qu'elle se trouvait au lieu du jugement dernier. Qui êtes-vous? demanda une voix. Je suis la femme du maire, répondit-elle. Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la femme, mais bien qui vous êtes. Je suis la mère de quatre enfants. Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la mère, mais bien qui vous êtes. Je suis maîtresse d'école. Je ne vous ai pas demandé qu'elle est votre profession, mais bien qui vous êtes. Et cela continua ainsi et, quelque fût sa réplique, elle ne semblait pas fournir de réponse satisfaisante à la question. Qui êtes-vous? Je suis chrétienne. Je ne vous ai pas demandé votre religion, j'ai demandé qui êtes-vous. Je suis celle qui est allée tous les jours à l'église, et qui a toujours aidé les pauvres et les miséreux. J'ai demandé non ce que vous avez fait, mais qui vous êtes. Elle a manifestement échoué à l'examen, puisqu'on l'a renvoyée sur terre.
Conte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Contes. Il y a deux pratiques du genre littéraire qu'est le conte : orale et écrite. Ces deux pratiques se différenciant par leur mode de création et de diffusion comme par leur contenu, il convient de les distinguer. Le conte est un objet littéraire difficile à définir étant donné son caractère hybride et polymorphe. Il faut noter que le terme de « conte » est utilisé parfois pour désigner l'activité de conter, quel que soit le type d'histoires (épopée, légende, histoire de vie, nouvelle…). Histoire d'un terme difficile à cerner[modifier | modifier le code] Origine du terme « conte »[modifier | modifier le code] Étymologiquement « conte » vient du latin computare qui signifie « dénombrer », « tenir une liste »[2]. Mythe, légende et conte : liens et divergences[modifier | modifier le code] La fable est une histoire porteuse d'un message ou d'une recommandation, morale ou sociale. [modifier | modifier le code]