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« 1917 » : pourquoi la plupart des archives de la première guerre mondiale sont des mises en scène

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Les pigeons-soldats de la Première Guerre mondiale | historia.fr Savez-vous qu’il existe à Lille et à Charleroi, en Belgique, des monuments rendant hommage aux pigeons voyageurs ? Ceux-ci ont effet joué un rôle clé lors des combats de 1914-18 en remplaçant le téléphone, le télégraphe ou l’estafette, lorsque ces moyens de communication étaient indisponibles. Un épisode méconnu de l’histoire militaire. En 1916, on compte ainsi déjà 10 000 pigeons réquisitionnés, ainsi que des dizaines colombiers mobiles : il peut s’agit de bus à impériale spécialement aménagés conduits par un chauffeur colombophile ou encore de remorques sur chassis, pouvant contenir jusqu’à 100 oiseaux. Un véhicule colombophile Pour ce qui est des messages, ils consistent en des “colombogrammes”, c’est-à-dire des papiers pelures fournis par l’administration, pré-casés pour organiser les informations (expéditeur, destinataire, heure du lâcher, message) que l’on enroule dans un tube en plume d’oie ou en aluminium, puis que l’on fixe à l’aile du volatile. Vincent Béghin Vincent Béghin

3.5. L’artisanat de tranchée L’occupation et l’aménagement du sol rendus nécessaires par une longue guerre de position constituent une base de données archéologiques exceptionnelle, qui renseigne sur les pratiques quotidiennes des combattants dans leur contexte local, notamment pour ce qui concerne l’alimentation. Les contenants et les déchets alimentaires mis au jour sont une source d’informations exceptionnelle. L'utilisation de la boîte de conserve, invention du XIXe siècle, s’est développée avec la Grande Guerre. Le combattant apprécie les vivres frais, mais la boîte de conserve est plus adaptée aux conditions de vie au front : elle permet une prise alimentaire individuelle immédiate ou différée et sans préparation particulière. En premières lignes, les corvées apportent régulièrement des aliments froids et il est strictement interdit de faire du feu pour les réchauffer.

Approche de la presse de 1914 Approche de la presse de 1914 Détails Catégorie : Centenaire de la première guerre mondiale Publié le lundi 24 février 2014 21:14 Écrit par Clotilde Chauvin Au croisement de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale et de la SPME 2014 (Semaine de la presse et des médias dans l’école®), cette activité permettra à travers quelques quotidiens numérisés sur Gallica une étude des journaux de l'époque. La page sur les principaux quotidiens de l'époque fournit quelques lignes d'informations sur chaque journal en en précisant les dates et les caractéristiques. Le dossier pédagogique de la 25e Semaine de la presse et des médias dans l’école® édition 2014 fournit une fiche intitulée À la une de 1914 (p. 11). Objectifs Modalités de l'activité Niveau : lycée mais la trame peut s'adapter à des élèves de collège (4e)Travail de groupe, chaque groupe travaille sur 3-4 journauxRestitution en plénièreDurée : 1 séance à moduler Déroulement de l'activité Documents à étudierGrille à renseigner

Ainsi prit fin, il y a 100 ans, la Première Guerre mondiale L’histoire commence peut-être par ce combattant tué à Verdun en 1916 qui, juste avant de rendre son dernier souffle, avait exprimé une «préoccupation des plus lucides»: «Je voudrais au moins que le gaspillage des vies et des forces fût connu un peu plus chaque jour et que le péril qui nous menace, mourir de notre victoire, soit entrevu et conjuré.» Mais il faudra encore plus de deux ans pour que soudain «le climat change» à la fin d’un nouveau rude hiver qui a vu l’infâme boucherie se poursuivre dans les tranchées. Lire aussi: Verdun, l’abattoir du monde (19.02.2016) C’est le traité de Brest-Litovsk, en Biélorussie, signé le 3 mars 1918, qui entérine «la sortie du jeu de l’Union soviétique» et marque un tournant. La reddition de la toute jeune république bolchevique permet à l’armée allemande de se concentrer sur le front de l’ouest. «Vers le dénouement» De ce «climat forcené d’une guerre jusqu’alors hégémonique à l’européenne», le président Wilson ne veut plus. «M. Lire aussi: Sources

1. Une tranchée française avant l’attaque Ressource pédagogique - Combattre : les conditions de vie du combattant dans la Première Guerre mondiale - Jalons pour l'histoire du temps présent parcours pédagogique Nicolas Rocher - Enseignant d'histoire-géographie de l'Académie de Grenoble Présentation Retrouvez ce parcours sur le site de l'Académie de Grenoble . Deux documents vidéos de 1915 et 1916 et une sélection d'eaux fortes d'Otto Dix permettent de saisir les conditions de vie du combattant dans la Première Guerre mondiale. Place dans le programme Troisième > Histoire : Guerres mondiales et régimes totalitaires > La Première Guerre mondiale : vers une guerre totalePremière > S > Histoire : La guerre au XXe siècle > Guerres mondiales et espoirs de paix > La Première Guerre mondiale : l'expérience combattante dans une guerre totalePremière > L et ES > Histoire : La guerre au XXe siècle > Guerres mondiales et espoirs de paix > La Première Guerre mondiale : l'expérience combattante dans une guerre totale Objectifs pédagogiques Durée de l'activité Séance prévue en 1h Les élèves travaillent en salle informatique, si possible individuellement. Reprise lors d'une 2ème séance (1/4h) Bilan

Que s'est-il passé le 11 novembre 1918 ? Le 11 novembre est un jour férié : il célèbre l’anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918. C’est un accord mettant fin aux combats de la Première Guerre mondiale qui ont causé près de 10 millions de morts en 4 ans, entre 1914 et 1918. Il a été signé entre le pays vaincu, l’Allemagne, et les Alliés, les pays vainqueurs, notamment la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. Après une série de défaites militaires et l’entrée en guerre des Etats-Unis en 1917, les dirigeants allemands ont compris qu’ils avaient perdu. Sur une grande partie du continent, oui. Réalisateur : Jacques Azam Producteur : Milan Presse, France Télévisions

3.4. Des civils en guerre L’occupation et l’aménagement du sol rendus nécessaires par une longue guerre de position constituent une base de données archéologiques exceptionnelle, qui renseigne sur les pratiques quotidiennes des combattants dans leur contexte local, notamment pour ce qui concerne l’alimentation. Les contenants et les déchets alimentaires mis au jour sont une source d’informations exceptionnelle. L'utilisation de la boîte de conserve, invention du XIXe siècle, s’est développée avec la Grande Guerre. Le combattant apprécie les vivres frais, mais la boîte de conserve est plus adaptée aux conditions de vie au front : elle permet une prise alimentaire individuelle immédiate ou différée et sans préparation particulière. Le contenu est adapté aux aliments de base : viande, poisson, fruits et légumes. En premières lignes, les corvées apportent régulièrement des aliments froids et il est strictement interdit de faire du feu pour les réchauffer.

Affiche de propagande Origines et premières phases - L’Europe avant la guerre | Le Canada et la Première Guerre mondiale L'Europe avant la guerre L'Europe avant la guerreLa guerre commence en EuropePremiers combatsLe début de la guerre des tranchées Alliances rivales, conflits d’intérêts et traités secrets divisaient l’Europe d’avant-guerre. Ils ouvrirent la voie à une guerre qui allait balayer la plus grande partie du continent, et une bonne partie du monde. La Triple-Entente c. les Puissances centrales Au début de la guerre, les puissances de la Triple-Entente étaient : La Grande-BretagneLa FranceLa Russie En face, se trouvaient les Puissances centrales : L’AllemagneL’Autriche-Hongrie L’Empire Ottoman – on dit souvent la Turquie – ne faisait pas partie de l’alliance des Puissances centrales en août 1914, mais il avait déclaré la guerre à la plupart des puissances de l’Entente à la fin de 1914. L’Italie, alliée de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie d’avant-guerre, entra en guerre en 1915 aux côtés des pays de l’Entente. Causes de tension Intérêts nationaux Triple-Entente Les Puissances centrales

L'économie et la Première Guerre mondiale Les moyens mis en œuvre Ce n’est qu’après plusieurs mois de conflit, lorsque les combattants s’installent dans les tranchées d’une guerre de position, qu’une série de mesures est adoptée. L'historien Pierre Miquel revient sur la place des femmes durant le conflit. Elles prennent en charge la vie de la ferme, les enfants, les personnes âgées. Elles deviennent aussi infirmières bénévoles, travaillent dans les usines, conduisent les tramways, les taxis, deviennent facteurs, sans pour autant devenir citoyennes car elles n'ont toujours pas le droit de vote. Par la suite, les Alliés utilisent également la main-d’œuvre indigène : la France enrôle plus de 180 000 travailleurs venus d’Indochine et d’Afrique du Nord, le Royaume-Uni, environ 100 000 Chinois.Pour accroître la productivité, la durée quotidienne du travail est également allongée. Une politique dirigiste Inflation et emprunts La production de guerre en chiffres

Pourquoi le traité de Versailles a conduit à la Deuxième Guerre mondiale Pour l’essentiel, c’est le Britannique Lloyd George, l’Américain Wilson, l’Italien Orlando et le Français Clemenceau qui mènent les débats, dont la tournure montre que les vainqueurs ont dorénavant des visées différentes, voire opposées. Clemenceau veut infliger un traitement sévère à l’Allemagne par le biais de l’annexion de la rive gauche du Rhin, mais aussi par le versement de réparations d’un montant vertigineux, une politique qui ne peut aboutir qu’à une hégémonie de la France en Europe continentale. Lloyd George et Wilson sont, quant à eux, opposés à cette paix qui humilierait l’Allemagne et la mènerait à sa ruine, ce qui aurait des conséquences politiques et commerciales désastreuses. Découvrez en images les étapes décisives de l’année 1918 qui ont conduit vers la victoire. Article paru dans le magazine GEO Histoire sur la Turquie (n°42, novembre - décembre 2018).

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