10. Trop d’école ! | Cosmopolitiques Trop d'école ?Présentation par Eric Macé Ce numéro de Cosmopolitiques sur l'éducation reflète sans doute bien la panne d'imagination politique de l'époque. Il y a 30 ans à peine, on aurait trouvé dans une revue d'écologie politique une somme de témoignages et de discours sur les nouvelles formes de parentalité, sur l'éducation à la non-violence, sur les scolarisations alternatives, en n'évoquant l'institution scolaire que pour en dénoncer le caractère autoritaire et conservateur. Comme on le constate, on trouve ici le contraire : c'est l'école républicaine qui est au centre des débats. "Malheur aux vaincus" : c'est ce qu'on comprend du fonctionnement de l'école républicaine si on l'observe du côté de ceux pour qui elle n'est pas faite, les élèves issus des milieux populaires et de l'immigration. Encore faut-il pour cela que les principaux intéressés à ces nécessaires mutations, les enseignants, en soient partie prenante.
Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles Philosophie postmoderne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On inclut souvent derrière cette appellation les philosophies de Foucault, de Deleuze et de Derrida[4], mais aussi de Althusser, Castoriadis, Lyotard, Baudrillard, Guattari, Irigaray, Badiou, Nancy, Lacoue-Labarthe, Julia Kristeva en France ; Feyerabend, Cavell, Rorty, Jameson, Butler, Ronell aux États-Unis ; Vattimo, Perniola, Agamben en Italie ; Röttgers, Sloterdijk en Allemagne ; Žižek en Slovénie[5], et quelques autres, qui ont en commun une posture de critique et de méfiance, de liberté voire de rupture vis-à-vis des traditions idéologiques de la modernité en Occident. L'unité de ces pensées, comme le nom sous lequel on les regroupe, soulève toutefois de nombreux désaccords. Ainsi Foucault refusait pour sa part l'appellation « postmoderne », se revendiquant plutôt de la modernité[6]. Caractéristiques communes et différences[modifier | modifier le code] Caractères communs[modifier | modifier le code] Général[modifier | modifier le code]
The french touch of Network Sciences Liens Cette section présente quelques pistes de recherche mais n'a pas la prétention d'être exhaustive. Artère Sur ce site, dédié à le relève artistique montréalaise, se trouve une page babillard qui affiche différentes annonces dont des offres d'emploi. La recherche peut se faire par secteur culturel. L'affichage est gratuit. Ce portail affiche des offres d’emploi dans le domaine des technologies scénographiques (gestion, création, technique production, éducation) à travers le Canada. Emploi-Québec Ce site du gouvernement du Québec vous permet de rechercher des emplois ou de recruter du personnel, de vous renseigner sur le placement étudiant, d'obtenir des informations sur le marché du travail, incluant des descriptions d’emploi, des perspectives d’emploi et de l’information sur les salaires, les employeurs potentiels et la formation. Emplois, travailleurs, formation et carrières Grenier aux emplois Guichet emploi Infopressejobs Jobboom L'équipe Spectra Les Arts et la Ville Mon emploi Monster
Improbable Research open! | Platform for Art, Culture and the Public Domain ‘…the unfathomable distance between the individual and the geopolitical.’ – Firat Oruc This essay is an exploration of thoughts following an artistic event that happened a year ago, specifically in terms of how it deploys its own forms, intensities and energies that are essentially ungraspable by language. The type of reflection writing enables is therefore specific to its medium. As theorist Rebecca Schneider reminds us in discussing a politics of documentary practices, ‘…media has its specific ways of remembering and will leave their trace on the memory it creates.’ Looking back expands certain insights and diminishes others. Fear of losing the details involved a personal unlearning of Canadian national myths, beginning with finding a copy of the original Treaty No. 13 at the local public library and experiencing a tremor at the realization of its genocidal technocratic power. I always experienced a ‘suburban malaise’ in my North York home. Exhibition Frame
12 Leçons apprises Il est possible de prendre les meilleures composantes des voitures sur le marché, p. ex. le radiateur d’une Mercedes, le carburateur d’une Lamborghini, etc., et de les assembler, mais ça ne créera pas une voiture, encore moins une bonne voiture, puisqu’elles ne fonctionneront pas ensemble. L’important n’est pas tant la qualité des pièces que comment elles s’intègrent. Pour maximiser son impact, une fondation doit tenir compte des composantes individuelles (titulaires de subvention et projets), mais surtout de la manière dont elles interagissent, entre elles et avec le reste du monde. En août 2015, la Fondation a convoqué ses employés et son conseil d’administration dans le but d’étudier l’organisation et de définir la nouvelle Théorie de philanthropie à la base de son travail.
KAOSPILOT Conversation philosophique sur l'amour Même si on n'est pas né de la dernière pluie et qu'on n'ignore plus rien de la variabilité historique et culturelle des comportements humains, on attend du philosophe qu'il réponde vaillamment :Qu'est ce que l'amour ? Dans les années 60 du XX° siècle une nouvelle morale sexuelle s'est élevée , a triomphé et gagné peu à peu en ampleur. On s'est élevé alors et depuis, contre toutes les formes de répression du désir . On a brisé les tabous, dénoncé les interdits, fustigé les peines à jouir. Je demanderai donc à mes invités : " Qu'est ce que l'amour ?".
Cee Cee: Berlin Newsletter make/use: a modular system for zero-waste fashion Revenir en France après la vie à l’étranger : la galère silencieuse des expatriés français – Medium Cet article est extrait d’un kit presse réalisé pour la sortie du Guide du retour en France 2016, livre que j’ai mis deux ans à écrire depuis mon retour. Il résume l’histoire du livre et du projet qui l’accompagne :) Je m’appelle Anne-Laure et j’ai 31 ans. Entre l’âge de 23 et 30 ans, je suis partie trois fois vivre à l’étranger pour les études, l’aventure et le travail, d’abord au Canada, en Nouvelle-Zélande, puis au Canada de nouveau. En 2014, je suis revenue plus durablement en France. Comme pour tout le monde, mon expérience à l’étranger a eu des hauts et des bas. Je me suis amusée, j’ai voyagé, j’ai rencontré beaucoup de monde, mais j’ai aussi bossé dur et connu la solitude. “ Je ne m’attendais vraiment pas à ce que le retour en France soit la plus grande épreuve de toute mon expatriation. De toutes les épreuves de ces dernières années, le retour a été de loin la plus difficile. Et pourtant ! Deux ans après, je n’en suis pas encore complètement sortie.
Chaire Unesco Bernard Maris