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Terrafemina : Actus et Réseaux au féminin - Portail d'informations en ligne

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Le Torchon brûle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Torchon brûle est le journal édité par le mouvement de libération des femmes entre mai 1971 et juin 1973. Historique[modifier | modifier le code] L'idée du Torchon brûle est née dans une assemblée générale du MLF, dont les militantes se réunissent à l'École des beaux-arts, à Paris, chaque mercredi tous les quinze jours, depuis l'automne 1970. Le numéro zéro paraît en , en encart dans le premier numéro de L'Idiot Liberté, journal dirigé par Jean-Edern Hallier[1]. Le premier numéro du Torchon brûle, est vendu en kiosque au printemps 1971, au prix de 1 F, il comporte 24 pages et il est tiré à 35 000 exemplaires[2],[3].

Point de vue J’ai tenté 42, l’école de programmation « born to code » 42, une nouvelle école, de nouvelles règles, une nouvelle approche de l’enseignement, une nouvelle chance ? 2014, l’année de la maturité ? sans titre 27 mai 2019 Réponse: Partout où vous le pouvez ! Certains hébergeurs ont des partenariats avec des diffuseurs qui facilitent la mise en ligne. : Girls In Tech : 2019, du burn au bored (out) - Citizen Bartoldi Aaaaaah, 2019. Alors que sur le plan perso, ça a été, globalement, la fête du slip, sur le plan professionnel, ça a été… compliqué. C’est curieux comme c’est souvent là que ça pèche dans ma vie… Je vous avais laissé sur mes aventures professionnelles de l’enfer sur la fin 2018 avec mon retour de l’angoisse avec mon ex chef toxique. Il a disparu du paysage ! Est-ce mieux depuis ?

Colère : le magazine papier À propos du projet Après plus de quatre ans d’existence et une longue réflexion, Deuxième Page se lance dans une nouvelle aventure : la publication de son magazine papier ! Et on commence fort avec un premier numéro sur le thème de la colère. Cette émotion nous semble incarner l’un des enjeux les plus importants de notre époque, tant ses manifestations sont multiples et ses significations nombreuses. Collants résille et Simone de Beauvoir : les illustrations érotiques et féministes de Rita Renoir - Les Inrocks : magazine et actualité culturelle en continu "Dessiner des femmes a été le moyen de retrouver la femme que j'étais." Sous le signe d'une féminité à son paroxysme, l'illustratrice Rita Renoir livre des dessins à la sensibilité engagée et rêveuse. Noir, blanc, rouge : telle est la palette de Rita Renoir.

Féminisme : 10 tumblr militants et talentueux à suivre Tumblr est une plateforme d’hébergement de contenus : par définition, on y trouve de tout et chaque tumblr n’a pas grand chose à voir avec chaque autre. Pourtant, la rédaction des Nouvelles NEWS a sélectionné ses 10 tumblr préférés, qui évoquent tous les féminismes. Consentement aux actes médicaux, inégalités professionnelles, harcèlement de rue, inspiration féministe : celles ou ceux qui pensent que les jeunes générations ne s’intéressent pas au féminisme y trouveront matière à débat. Qui sommes-nous ? - Garçonne « I’m not anti-social, I’m anti-bullshit » Se rebeller est juste, désobéir est un devoir, agir est nécessaire ! Nom de code : garçonne. Modèle : hybride. Objet : non identifié. Ben oui, quoi, les étiquettes, on n’aime pas ça.

« Oui mais quand même, la religion, c’est mal » Relayer l’information de la énième agression d’une femme voilée, ou les propos haineux tenus sur l’islam par la représentante d’une organisation pseudo-féministe, revient immanquablement à emboucher l’appeau à trolls religiophobes. Que des femmes soient insultées et tabassées, que le féminisme serve de leurre pour répandre et banaliser le racisme le plus crasse, tout cela, le/la religiophobe s’en moque : dans un pays où médias et politiques, de façon plus ou moins insidieuse, désignent à longueur de temps les musulmans comme la cause de tous les maux de la société, son seul sujet d’anxiété est que son droit à « critiquer la religion » soit garanti. Pour l’exprimer, il usera de subtiles gradations dans la virulence, de la simple protestation à l’éructation scatologique probablement censée traduire la hauteur à laquelle il plane dans l’éther philosophique inaccessible aux benêts qui voient du racisme partout : « Moi, je chie sur toutes les religions. » Bon, d’accord.

Roz, le magazine féminin afghan fait par et pour les femmes, tente de renaître sur le Net Porté par l'association Afghanistan Libre, le projet n'a pu survivre sous forme de magazine papier. Aujourd'hui, sa fondatrice veut en faire un site d'informations mais aussi un réseau sur lequel les Afghanes pourront compter. Elles étaient cinq. Cinq journalistes afghanes résistaient et signaient chaque mois les articles de Roz, l'un des rares magazines féminins publiés en Afghanistan. Mais en avril 2014, après plus de dix ans de publication, leur aventure a pris fin, faute d'argent. Le féminisme de A à G L’heure du bilan a sonné. Alors que chaque année, nous avons droit à une élection par voie de sondage de la femme de l’année (Léa Salamé pour GQ, Cristina Cordula pour Télé 7 Jours, Florence Foresti pour Terra Femina, Taylor Swift pour Billboard…), 2014 voit poindre un podium des féministes de l’année. Dingue. Preuve que le mouvement a fait couler plus d’encre que d’habitude, la MS Fondation for Women s’est associée au magazine américain Cosmopolitan pour élire les 10 stars féministes de l’année. Bien que l’idée semble tirée par les cheveux – pourquoi donc les mettre en compétition, et sur quels critères se base-t-on pour décider qui est mieux féministe que l’autre ? – Emma Watson, Beyoncé, Meryl Streep et Laverne Cox sont ainsi applaudies pour leur militantisme.

Sois belle et... sois-toi ! Le corps des femmes se livre chaque jour à tous les regards, dans un dévoilement qui l'offre à la concupiscence comme à la vindicte, et dans des proportions qui font qu'il est devenu impossible de ne pas le considérer. Contemplé, apprécié, vénéré, le corps féminin est aussi examiné, jugé, critiqué, selon un curieux mouvement qui voit la dimension corporelle de l'existence revêtir une importance inouïe pour les femmes d'aujourd'hui (pour les hommes aussi, mais ce n'est pas mon propos ici) tout en faisant l'objet d'une dénonciation quasi unanime en tant que vecteur d'assujettissement. Pour comprendre les raisons de cet opprobre, il faut remonter à la révolution des mentalités qu'il s'est agi d'opérer dans le moment du féminisme de la seconde vague. Après que la femme a été réduite à son sexe, il fallait la redéfinir comme non sexuée pour fonder sa prétention à investir le monde.

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