Les ratés de la communication: non demandes et petites manipulations Sylvaine Pascual – Publié dans: Mieux communiquer Ha, les erreurs, bévues et boulettes de communication! Celles qui font qu’on reste tous déconfits, ayant obtenu au mieux rien du tout, au pire l’inverse de ce qu’on voulait. Nous voilà plongés dans un abîme de perplexité, car ce qu’on a demandé, c’était CLAIR, non? L’autre jour, je reçois un mail intitulé “votre blog” qui présente certaines caractéristiques d’une communication peu performante : “Bonjour Madame, J’ai lu avec intérêt votre blog Bravo, c’est très enrichissant et très bien. Je ne sais pas si vous allez pouvoir m’aider mais je tente ma chance de jeune créateur d’une pousse innovante. Voilà, j’ai créé Tartanpion, start-up qui développe des outils (…) de relaxation, prévention et gestion du stress, gestion des émotions. (…) Sinon, peut-être y trouvez-vous également un intérêt pour votre propre activité professionnelle ? Au plaisir de vous lire, X” 3 erreurs simples de communication Voir aussi:
Guide de survie aux abrutis (1) Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles Décidément la vie est dure. Déjà qu’au boulot, vous êtes entouré(e) d’abrutis aussi intergalactiques qu”incontournables, et voilà qu’en plus, la perspective de passer les fêtes / les vacances avec l’Oncle Nanard, qui a élevé la beautfitude au rang d’art de vivre, ou de votre beau-frère, qui n’en peut plus d’être lui-même depuis qu’il s’est acheté un Porsche Cayenne, vous réjouit à peu près autant qu’un week end à Tchernobyl. S’il ne tient qu’à nous de faire le ménage parmi les personnes que nous fréquentons par choix, c’est plus difficile avec nos relations obligatoires comme les collègues de boulot. Parvenir à composer serait plus agréable que de les subir en grommelant intérieurement. Car au passage, on y perd une énergie qui serait plus utile à autre chose, on augmente l’insatisfaction et la frustration, et on construit discrètement une colère sourde et tenace. Cherchez un élément (tant mieux s’il y en a plusieurs!) PTF!
Ebook gratuit: les messages contraignants Sylvaine Pascual – Publié dans L’actualité d’Ithaque / Connaissance de soi C’est avec beaucoup de plaisir que je vous propose aujourd’hui le quatrième dossier d’Ithaque sous forme d’ebook gratuit et téléchargeable: les messages contraignants. Nous avons évoqué les drivers ou messages contraignants à plusieurs reprises, ces injonctions inconscientes héritées de notre éducation, qui susurrent à nos oreilles obéissantes des impératifs qui à leur tour régissent nos comportements bien malgré nous, et parfois aux dépends de ce qui serait bon pour nous. Nous avons vu en détail les conséquences de ces 5 messages: Les voici regroupés en un seul ebook, dont l’objectif est, plutôt que de lutter contre vous-même, de vous aider à en conserver les effets positifs, et à minimiser les conséquences négatives en termes de stress, de mésestime de soi ou de pourrissement des relations qui mène tout droit aux jeux de pouvoir version triangle de Karpman. Bonne lecture!
Compétence relationnelle: l’affirmation de soi Sylvaine Pascual – Publié dans Bien-être et estime de soi / Entretenir des relations saines Je suis tombée sur cette vidéo presque incroyable d’un chat qui explique clairement et avec un sacré aplomb aux deux crocodiles de son quartier que non, vraiment, là Marcel, là Maurice, vous passez les bornes. Et ce avec une décontraction qui en fait le champion de l’établissement des limites, Le seigneur de l’affirmation de soi. On pourrait croire le greffier capable d’un tel exploit arrogant ou présomptueux, d’une audace qui va bien finir pas lui coûter une patte, voire plus étant donné le gabarit et la nature de l’adversaire. il agit avec le calme et la mesure de celui qui est en accord total avec ce qu’il fait, qui ne doute ni du bien-fondé des limites qu’il a fixé, ni de sa légitimité en les affirmant. Soyons clair, l’affirmation de soi, ça n’est pas tractopeller* ses contemporains à coups d’exigences autocratiques, d’impératifs autoritaires et de despotisme unilatéral. Quand?
Petit précis de communication non violente (1) Parce que rien n’est plus simple que de se pourrir les relations par des interactions teintées de petits jeux de pouvoir verbaux, voici un petit ouvrage ultra précieux pour découvrir la communication non violente – dite CNV – et la pratiquer au quotidien, histoire d’adoucir un poil nos relations, tout en nous faisant bien mieux comprendre… Les ratés de la communication sont légions. Entre maladresse et tentation – plus ou moins consciente – de prise de pouvoir, mille et une petites manipulations se glissent dans nos interactions. La plupart du temps, elles sont minimes et ont peu de conséquences. Interprétations, minimisations, non-demandes, généralisations, accusations, dévalorisations etc, nous avons recours à des collections de trucs pas folichons quand il s’agit de nous faire comprendre d’une part, et de bien nous entendre d’autre part. Dans ce petit ouvrage ultra pratique, Marshall B. Tout cela de manière ultra pratique et simple à mettre en oeuvre. Voir aussi Aller plus loin
SOCRATE : PERE DU « RECADRAGE » ? Si l’on définit le coaching professionnel comme une relation d’accompagnement personnalisé, on peut croire que le coaching est né le jour où deux individus ont échangé, où l’un a écouté l’autre pour l’aider. Mais la réalité est plus complexe et le coaching n’est pas une pratique sociale spontanée. Le coaching a besoin de spécialistes de l’accompagnement capable de théoriser leur expérience et de formaliser un savoir faire. « Accoucher les âmes » Pour Socrate, la souffrance est liée au fait que l’homme se trompe dans sa perception de la réalité. L’ironie socratique, c’est l’art d’interroger pour inviter son interlocuteur à découvrir les contradictions de ses pensées par lui-même. « Une expérience du non savoir » « Changer de regard » Près de 2000 ans plus tard, la maïeutique socratique est toujours utilisée dans la relation d'aide. Relier les 9 points de la figure par 4 lignes droites en gardant toujours le crayon sur le papier
10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres Une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes clients, qu’ils soient salariés, indépendants, managers ou chefs d’entreprise c’est d’affronter sereinement le regard des autres. Voici 10 excellentes raisons de ne plus nous préoccuper d’un juge qui existe avant tout dans nos têtes. Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d’entité autonome – les Autres – dont l’œil impitoyable serait à l’affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société. Le juge suprême. Et comme – curieusement? Du coup, nous passons beaucoup de temps à passer nos comportements au moulin à jugement avant d’agir et l’écart entre ce que nous sommes, ce que nous voudrions bien pouvoir être et l’image que nous nous efforçons de donner se creuse jusqu’à atteindre des proportions dignes du Grand Canyon. 1- Le jugement des Autres, c’est le nôtre Voir aussi
4 trucs infaillibles pour se pourrir les relations Sylvaine Pascual – Publié dans Compétences relationnelles Pourquoi ce billet, alors qu’en regardant autour de moi, je constate chaque jour combien nous entretenons déjà et sans beaucoup d’efforts, des relations boiteuses, lourdingues, insatisfaisantes? Parce que je trouve que tout cela manque de grandeur. Nos conflits, tensions et agacements restent en demi-teinte et nous parvenons encore à sauver les apparences d’une meute qui se supporte, bon an mal an, vaille que vaille. Du coup, je vous livre les 4 secrets des relations tellement pourries qu’elles justifieront totalement cette envie que vous refoulez depuis trop longtemps de devenir Carmélite, de pouvoir enfin vous retirer du monde et vivre à l’abri des abrutis, des casse-pieds, des pisse-vinaigre, des envahisseurs, des profiteurs, de votre belle-mère et de Mémé Huguette. Les pièges à éviter: trop vous observer interagir pourrait mettre un terme à l’aveuglement qui constitue ce petit arrangement avec votre égo. Voir aussi
Hypnose Voir aussi le site : Si je devais résumer ma pratique à un seul terme, il serait : "maïeutique" (un art d'accompagner afin que chacun trouve ses propres réponses). Si je devais donner quelques phrases de l'état d'esprit de mon travail, elles seraient : "Ne rien faire et que rien ne soit pas fait" " Un thérapeute, un coach est sans idée" " L'état d'hypnose n'est pas qu'une suite de suggestions, c'est est un cheminement intérieur" " La pratique de l'hypnose permet de créer une réalité plus respectueuse et mieux adaptée à soi et au monde" Plan de la page 1. a. b. 2. a. b. c. 3. l'hypnose d'hier et d'aujourd'hui a. b. c. b. c. g. h. i. j. k. 4. a. L’hypnose, un sujet qui relance indéfiniment la question de sa genèse, de son histoire et de son entendement. Où faut-il aller pour comprendre l'hypnose ? Chacune verse, en effet, dans le tonneau sans fond, des interprétations influencées de sa culture, de ses croyances, de ses désirs et des ses représentations. b. 2. a. b. c. 3. a.