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Les trois P : protection, permission, puissance

Les trois P : protection, permission, puissance
Définition Ce sigle 3P fait référence à une dynamique entre les états du moi permettant l’expression de la créativité, l’initiative ou l’expérience d’un individu dans des conditions de sécurité et d’encouragement optimales. Le P de Protection représente la fonction du Parent Normatif : cadrer, fixer les règles ou les limites. Illustrations Pour favoriser l’expression dans une réunion participative, le leader va donner les éléments de structure tels que : thèmes de travail, résultat visé en fin de réunion, modalités de participation. Donner une nouvelle tache à un collaborateur : la protection est de s’assurer que cela rentre bien dans ses compétences, dans ce qui est attendu de lui par l’entreprise. Exercice : Choisir deux ou trois situations clefs et les regarder sous l’angle des protections, des permissions : - Intégration d’un nouveau collaborateur - Délégation d’une mission Questions : Point de vigilance :

Le regard des autres : mieux le gérer, mieux l’accepter Le regard des autres. Il peut être un puissant moteur de dépassement de soi et d’amélioration personnelle : il peut nous aider à trouver de la motivation, de la volonté, du courage; il peut nous aider à nous dépasser, à affronter nos craintes et les défis qui se présentent. Mais il peut aussi nous écraser, nous déstabiliser, voire carrément, nous laisser de graves cicatrices et faire de nous de véritables champs de ruines. Le regard des autres : deux pièges Le regard des autres est quelque chose qu’il faut apprendre à maîtriser, sous peine de rester exagérément fragile et vulnérable à l’âge adulte. En général, on observe deux réactions possibles chez ceux qui ont du mal à accepter le regard des autres. Évidemment, ni l’une ni l’autre de ces réactions n’est saine. On ne connait jamais vraiment le regard des autres : juste, on l’imagine (et souvent, on l’exagère) Le regard des autres n’est pas quelque chose qu’on peut mesurer. Une chose à intégrer pour éviter ça : Et alors ? Comment se blinder ?

Comment lâcher prise: quelques moyens Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé; lâcher prise, c’est savoir qu’il y a un avenir. Daphne Rose Kingma Lâcher prise peut s’expliquer et s’appliquer de bien des façons. Mais une manière très simple de l’apprivoiser consiste à l’opposer à son contraire: le contrôle. Lorsque nous réalisons que nous ne pouvons changer ni les événements ni les autres et que nous pouvons seulement changer notre façon de les percevoir, nous sommes dans le lâcher prise. De la même façon, lorsque nous modifions notre action pour arriver à un résultat, nous faisons preuve de flexibilité et de notre habileté à décrocher d’une conduite stérile. Le lâcher-prise et nos objectifs Est-ce à dire que lâcher prise implique de renoncer à nos buts, à nos objectifs ? Penser de façon obsessionnelle à un problème est la plupart du temps complètement inefficace et ne le règle surtout pas. Lâcher prise: un acte de confiance Pourquoi trouvons-nous si difficile de laisser aller notre besoin de contrôle?

Les niveaux logiques de Dilts : modèle et exemple d’utilisation Niveaux Logiques de Dilts Les niveaux logiques de Dilts : modèle Voilà des informations qui m’ont passionné dans ma formation de PNL, et dont j’avais envie de vous parler. La PNL est une discipline récente puisqu’elle est née en 1975, et Robert Dilts est notre contemporain (il a l’âge de Sarkozy). On peut utiliser ce modèle des niveaux logiques de Dilts, qui sont classés hiérarchiquement, pour détecter à quel niveau se situe le problème d’une personne. On ne peut d’ailleurs pas résoudre un problème au niveau où il se situe. 1er niveau : Environnement C’est l’entourage, les personnes que l’on rencontre, les lieux où l’on vit. Répond à la question : où, quand, avec qui ? 2ème niveau : Comportement Ce sont les actions menées dans son environnement, indépendamment de ses compétences. Répond à la question : quoi faire ? 3ème niveau : Capacité Ce sont les compétences, tout ce qu’on est capable de faire, pour adopter tel comportement dans tel environnement. Répond à la question : comment ? Comportement :

Les triplettes du coaching (2) Sylvaine Pascual – Publié dans C’est quoi le coaching? Nous avons vu la triplette relationnelle sur laquelle le coaching d’Ithaque repose, il est temps de nous pencher à présent sur la triplette opérationnelle. En d’autres termes, sur les rivages d’Ithaque, on travaille essentiellement sur les dimensions relationnelles du projet, mais comment? Au travers d’une méthode plutôt simple en trois points, qui a l’art de se reproduire et de se générer elle-même… Le coaching s’articulant autour de questions/réponses, il est parfois difficile pour ceux qui ne l’ont pas expérimenté de se faire une idée précise de « comment ça marche ». Et ce schéma est même tellement répétitif à tous les étages du coaching qu’il en deviendrait lassant, s’il n’était le garant d’une méthode qui s’adapte aux spécificités de la personne, au lieu d’exiger de la personne qu’elle se plie bon gré mal gré aux exigences de la technique. 1- Evaluation La première phase est un état des lieux précis de la situation. 2- Décision

12 conseils pour développer votre charisme Le charisme est considéré comme une grande qualité dans le domaine professionnel et particulièrement dans le management. C’est même devenu un atout important, voire nécessaire, pour réussir au travail. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez le développer ! Voici 12 astuces pour y parvenir. Catherine Soranza, directrice de Medias Coaching Communication donne sa propre définition du charisme et nous livre ses conseils pour nous aider à l’améliorer. L’action 1. 2. 3. 4. La communication 5.Savoir faire passer une information auprès de l’auditoire. 6. 7. 8. La posture 9. 10. 11. 12. Nous avons trouvé ces conseils très judicieux et nous espérons qu’ils vous seront utiles.

Gestion du stress burn out êtes-vous à risque ? - Boost Your Brand Quand le travail vous tue ... Si vous êtes considéré comme un haut potentiel dans votre entreprise ou organisation votre probabilité de "burn out" est de 20%. Donc je vous invite à regarder la check-list de notre article avec cette question êtes-vous dans la cible ? Paradoxalement, le "burn out" survient très souvent chez un individu performant. Sa force étant son principal danger car trop sollicité, valorisé par l'entourage, perfectionniste, se dépassant en permanence ... il perd de vue son intérêt propre. une forte implication personnelle; un haut niveau d'exigence; la peur de l'échec; une aptitude à se dépasser; L'entreprise est-elle une machine à broyer dans le phénomène du burn out ? Grâce à cet article, en deux parties, vous allez changer votre façon de vous voir vous-même, éviter la sortie de route et gagner du temps pour vous. Eclairage management une série réalisée et écrite par Boost Your Brand Un contexte propice au burn out BURN OUT = contexte + personnalité - échec mal vécu

Présentation de l Approche Intégrale Ins­crip­tion ou­verte pour la ses­sion 2014 à Mont­pel­lier, dates bien­tôt dis­po­nible, nous contac­ter pour s'ins­crire en liste d'at­tente. La fin du 20ème siècle et le dé­but du nou­veau mil­lé­naire marquent un tour­nant ma­jeur dans l’évo­lu­tion de l’hu­ma­nité. La pro­fonde mu­ta­tion en cours se voit am­pli­fiée par la crise ac­tuelle qui dé­passe de loin le champ éco­no­mique et nous amènent à ré­in­ven­ter un sens nou­veau sur nos fa­çon d’en­vi­sa­ger nos vies per­son­nelles et col­lec­tives. En ef­fet, les mo­dèles et les concepts avec les­quels nous en­vi­sa­gions notre rap­port au monde et l’évo­lu­tion de nos so­cié­tés ne sont plus viables en l’état. « Les pro­blèmes aux­quels nous sommes confron­tés ne peuvent être ré­so­lus au ni­veau et avec la fa­çon de pen­ser qui les a en­gen­drés.» Cette tache pour­rait nous sem­bler im­pos­sible, voire re­bu­tante tant l'ex­plo­sion de la com­plexité est sans pré­cé­dent. Cela a-t-il l’air, re­bu­tant ? Les quatre qua­drants

Reconnaissance officielle du titre de coach professionnel Si le coaching a trouvé son origine dans le milieu du sport dans les années 80, il est apparu en Europe et notamment en France à partir de 1990. De l'arrivée en France à une réelle reconnaissance du métier, il a fallu attendre entre 20 et 25 ans pour que nous puissions enfin être réellement identifiés et reconnus pour notre valeur ajoutée en entreprise notamment. Cette reconnaissance a été rendue possible grâce au concours de deux fédérations de coaching, ICF (International Coach Federation) et l'EMCC (Association Européenne de Coaching). Avant d'aller plus sur cette reconnaissance, je souhaite faire un point rapide sur le coaching. Le coaching professionnel en entreprise Définition du coaching"Accompagnement d'une personne à partir de ses besoins professionnels pour le développement de son potentiel et de ses savoir-faire." Réf. Le coaching s'adresse aux managers ou dirigeants ainsi qu'aux équipes. Notre positionnement Chaque coaching comporte donc : Reconnaissance du métier

Coaching : vers l'atteinte de vos objectifs ! Vous avez un nouveau projet ? Vous vivez un changement important ? Vous voulez mieux vous connaitre et vivre une vie épanouissante ? Vous souhaitez acquérir davantage d’aisance en communication ? Quelque chose vous bloque ? Vous voulez mieux organiser votre temps (professionnel ou personnel) ? Vous avez le sentiment de ne pas avancer et vous n’atteignez pas les résultats dont vous rêvez ? Le coaching est fait pour vous ! Qu’est-ce que le coaching ? Je vous propose de regarder cette vidéo de Luc-David Garraud qui nous explique de façon simple et avec beaucoup d’humour ce qu’est le coaching. Le coach vous accompagne dans la définition et la réalisation de vos objectifs professionnels et personnels. Le coach ne vous donne pas de conseils. Le coach s’intéresse à « ici et maintenant » et vous aide dans la réalisation de vos projets futurs. Le coach vous invite à faire un pas de plus sur votre chemin. Le but du coaching est l’autonomie. Quels sont les avantages du coaching ? Supervision : Cindy

Quatre postures efficaces pour développer votre confiance La confiance en soi, c’est la conviction que l’on va réussir ce que l’on va entreprendre. Et avoir confiance en soi permet d’aller de l’avant, de créer et sans doute de réussir plus souvent. A l’inverse, manquer de confiance en soi peut être handicapant. Dans sa vie personnelle comme dans sa vie professionnelle. Alors si vous êtes concerné par le sujet, voici quatre exercices à faire… en toute confiance ! Vous remémorer vos succès passés Vente complexe d’un produit, prise de parole devant un public nombreux, naissance d’un enfant, bouclage d’un dossier dans un temps record, courage d’avoir dit non à votre patron (ou à votre enfant !) Travailler, préparer, répéter Une des clés de la confiance en soi est la préparation. Apprendre à vous parler avec bienveillance Le travail complémentaire à faire en matière de confiance en vous est d’apprendre à bien vous parler. >> A lire aussi : Comment dire «Non» au bureau sans se retrouver seul au monde Fréquenter des personnes bienveillantes

Quelles sont vos motivations ? Chacun de nous a en lui des réserves d'énergie qui ne demandent qu'à s'investir dans les réalisations les plus variées. Ces forces intérieures ressemblent un peu à des ressorts prêts à se détendre. Seulement voilà : les ressorts de motivations sont différents d'une personne à l'autre. Tout le monde n'est pas motivé de la même façon par le sport, la création artistique, le service des autres, l'organisation... En matière de motivation professionnelle, c'est la même chose. Certains seront motivés et enthousiasmés par le projet de créer leur entreprise, tandis que d'autres préfèreront rêver d'un métier qui les laisse totalement libres, ou bien leur assure une certaine stabilité de vie. Devenir un spécialiste Certains vont aimer se spécialiser dans un secteur ou un type de travail qui les passionnera. Devenir dirigeant Vouloir exercer de hautes responsabilités et être le manager de l'entreprise... Etre indépendant, avoir de l'autonomie Trouver un poste stable et sécurisant

Motivation - La théorie des 2 facteurs de Herzberg La théorie des deux facteurs Herzberg distingue deux sortes de besoins : ceux qui sont propres à tous les êtres vivants (facteurs d’hygiènes) et ceux qui sont particuliers à l’homme (facteurs internes). Les premiers (facteurs d’hygiènes) ne sont pas de véritables sources de motivation, mais simplement de satisfaction. Les besoins d’hygiène, dès qu’ils sont pourvus, réduisent l’insatisfaction et ne sont donc plus motivants. Par contre, la non satisfaction de ces besoins peut être source de mécontentement et donc de dé-motivation. Dans ces facteurs, se retrouvent les conditions de travail, les relations d’équipe, la rémunération Seuls les facteurs internes sont source de motivation. La motivation dans le travail Herzberg préconise sept recommandations comme retirer certains contrôles sans supprimer la vérification ou instituer des auto-contrôles, augmenter l’initiative, réaliser un ensemble plutôt qu’une partie. Les facteurs de motivation Hersberg vs Maslow Un modèle remis en cause

Clés de Coaching : tourné vers les solutions plutôt que le problème La relation de Coaching est fondamentalement collaborative et paritaire. Cette clé de coaching est essentielle : Le client et le coach s’accompagnent mutuellement dans une réflexion commune centrée sur les objectifs du client. On est bien loin, on le voit, d’une relation où le coach tenterait d’exercer sur son client une sorte de traitement, auquel le client serait tenté de « résister ». Cette notion de résistance n’a d’ailleurs pas tellement sa place en Coaching, puisque le client est volontaire pour travailler sur lui-même afin d’atteindre des objectifs qu’il s’est choisi lui-même. Le client exprime son désir de changement et les résultats qu’il aimerait atteindre grâce au Coaching, tandis que le coach l’aide à expliciter précisément la vision du futur qu’il projette. Clé de Coaching : se tourner vers les solutions et l’avenir Se représenter les germes d’un avenir désirable Clé de coaching : procéder par petits changements

les niveaux logiques Souvent, nous sommes conscient qu'il faudrait que l'on change un de nos comportements, dans notre pratique sportive, professionnelle ou dans notre vie privée. Et, parfois… parfois-souvent… nous revenons à "nos anciennes habitudes" … nos bonnes résolutions ne durent qu'un temps. Robert Dilts nous propose une approche issue de la PNL qui nous indique à quel niveau intervenir - quel type de changement est nécessaire - pour que ce nouveau comportement améliore définitivement notre performance ou notre qualité de vie - pour que nous libérions un maximum d'énergie constructive, plutôt que de lutter avec des "je dois", "je devrai", "j'aurai dû"Dans ce billet j'explore les niveaux logiques de R. Dilts : leurs définitions, des exemples d'application et une méthode pour vivre leur puissance.Les niveaux logiquesR. Il a remarqué que dans beaucoup de domaines, il est possible de classer des composantes en niveaux : imaginons que se sont comme des poupées russes. Récent Date Libellé Auteur

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