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Distinguer bien commun et bien(s) commun(s)

Bien commun et bien(s) commun(s) C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis. L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1]. La note tourne autour de la distinction nécessaire entre « Bien commun » et « biens communs ». Un peu d’étymologie Non seulement les notions, mais le vocabulaire lui-même proviennent des romains. Commun vient de communis, adjectif = commun, accessible. Les romains connaissent le(s) bien(s) public(s) : bonum publicum. Le(s) bien(s) commun(s) On utilise ici les notions de base du droit romain, telles qu’elles ont rebondi avec le Code civil (Napoléon).

HackerspaceWiki Licence simplifiée « information publique librement réutilisable » | RIP-MJ L’objectif de cette licence est de certifier la qualification juridique information publique au sens du droit français (loi ° 78-753 du 17 juillet 1978) et de simplifier les conditions de réutilisation Cette information est librement et gratuitement réutilisable, commercialement ou non, à condition de respecter les exigences suivantes (article 12 de la loi du 17 juillet 1978) : Sauf accord de l’administration, la réutilisation des informations publiques est soumise à la condition que ces dernières ne soient pas altérées, que leur sens ne soit pas dénaturé et que leurs sources et la date de leur dernière mise à jour soient mentionnées Voir la licence complète Toute réutilisation d’informations publiques référencées sur le RIP-MJ nécessite de transmettre un courriel à cette adresse Voir la version anglaise/ See the english version Voir la version allemande/ See the german version

[Exclu] Deways lève plus de 1,2 million d’euros pour son service de location de voitures  Les services de consommation collaborative ont le vent en poupe. Après Zilok Auto, c’est au tour de la jeune pousse Deways de lever des fonds. En effet, selon nos informations, la start-up Deways, spécialisée dans la location de voitures entre particuliers, vient de finaliser une augmentation de capital de plus de 1,2M €. Les fonds ont majoritairement été levés par l’américain Eyal Aronoff (co-fondateur de Quest Software). Imaginée en 2010 par Alexandre Grandremy et Gary Cohen, la plateforme Deways permet à ses membres de louer une voiture entre habitants d’un même quartier, d’une même ville ou encore entre collègues et amis. Le site permet de proposer ou de rechercher une location, de gérer les réservations et les aspects financiers, administratifs, juridiques. Outre l’aspect marchand, les utilisateurs ont la possibilité de discuter entre eux, de se rencontrer ou encore d’échanger des bons plans.

Récit d'un rite de passage vers... Creative Commons. - Le Docablock Blog! Récit d'un rite de passage vers... Creative Commons. Voilà plusieurs jours que j'y pensais: mettre le contenu de ce blog sous licence Creative Commons. Non que je pense que les propos du Docablock doivent être diffusés le plus largement pour apaiser les maux de la planète 2.0 souffrante, mais il me semblait que c'était une idée qui pouvait être intéressante que d'expérimenter ce dont même les médias généralistes parlent de plus en plus, et éventuellement d'en faire un récit aux "apprentis-documentalistes 2.0"... Les licences Creative Commons deviennent incontournables sur Internet. ?? Il ne faut pas confondre le phénomène des Creative Commons (CC) et les logiciels libres. Il s'agit d'adapter le droit d'auteur à Internet, gigantesque jungle informationnelle (dans tous les sens du terme) où le droit se perd souvent dans la masse des ressources produites... La grande originalité est de permettre avant d'interdire. 6 contrats en découlent, au niveau du droit français. 1 et 2

up&net - Permettez aux internautes de payer autrement Main Page Annuler Modifier Supprimer Prévisualisation rétablir Texte de la note (syntaxe Wiki acceptée) Impossible d'enregistrer la note (conflit d'édition ou autre problème). Veuillez s.v.p. copier le texte entier de la boîte ci-dessous et l'insérer manuellement en éditant cette page. La note sera publiée multi-licenciée sous les termes de la licence CC-BY-SA-3.0 et de la GFDL, versions 1.2, 1.3, ou des versions plus récentes. Voir les conditions d'utilisation pour des informations supplémentaires. Ajouter une note Dessinez un rectangle sur l'image ci-dessus (appuyer le bouton gauche de la souris, tirer, puis relâcher). Enregistrer Vous pouvez modifier des annotations d'images seulement si votre navigateur contient un objet « XMLHttpRequest ». Cancel Edit Delete Preview revert Text of the note (may include Wiki markup) Could not save your note (edit conflict or other problem). Add a note Draw a rectangle onto the image above (press the left mouse button, then drag and release). Save

Le papier se connecte à internet Bienvenue dans l'ère de la réalité augmentée, voilà que le papier passe à son tour au numérique. Si jusqu'ici les médias imprimés et électroniques ont eu des existences bien séparées, une nouvelle technologie s'apprête à concilier les formats antagonistes. Ainsi, on peut s'attendre à voir apparaître des journaux comportant des boutons interactifs, des suppléments audio ou encore des Like reliés à Facebook, des votes, des notations de sujets. Tandis que le défi visant à créer des ponts entre le papier et l'internet mobilise de nombreux chercheurs, l'entreprise Novalia a dévoilé son concept. Pour ce faire, la société, 8 ans d'âge depuis sa création, a collaboré avec les universités de Central Lancashire, de Dundee et de Surrey. Le 'papier connecté' est rendu possible par l'utilisation d'une encre électroconductive. Démonstration en vidéos : Sources : Paid Content , The Digital Reader Pour approfondir

Production communautaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La production communautaire, ou « production participative », est une méthode de production de contenu par un très grand nombre de personnes[1]. La mise en commun des apports individuels est facilitée par le développement des réseaux sociaux et des communautés sur internet. L’internaute contributeur peut en échange trouver une contrepartie ou un service ou d’une forme particulière d'investissement, le projet fonctionnant alors comme le ferait une coopérative ou une société de coproduction, qui reverse une participation aux bénéfices futurs. Le financement de la production communautaire peut être assuré par un financement collaboratif. Le principe de la production communautaire[modifier | modifier le code] Une production communautaire fait appel aux internautes pour trouver les fonds nécessaires à l’aboutissement d'un projet de création. L'appel peut être largement ouvert, ou réduit à un cercle de réseaux de contact et d'amis.

Europe's 100 hottest startups 2012 Israelis call the sprawl of high-tech industries spreading out from the centre of Tel Aviv "Silicon Wadi" -- and depending who you talk to, this could be the second-largest startup centre outside California. Since 1993, young people coming out of military high-tech units with business ideas found support from the Yozma programme, a government-sponsored fund of funds. There's also a steady influx of educated immigrants, especially from eastern Europe. Gvahim Entrepreneurs recently launched The Hive to partner new arrivals with Israeli mentors. Saul Klein, until recently a Tel Aviv-based investor working for Index Ventures, tips Rothschild Boulevard -- home to the likes of face.com and Soluto -- as the place to watch.

La ruche qui dit oui Que doit-on faire lorsque l'on fait partie d'une Ruche ? La Ruche qui dit Oui ! est un service libre et participatif où vous pourrez si vous le désirez : – Inviter vos voisins, amis, collègues à rejoindre la communauté. – Trouver de bons fournisseurs pour avoir une Ruche bien garnie. – Ou même aider ponctuellement à la distribution. Il n'y a pas d'obligation. Comment commande-t-on ? Pour pouvoir commander, il faut que votre Ruche ait achevé sa construction. Le paiement se fait par carte bancaire, de manière sécurisée, directement sur le site. Comment récupère-t-on les produits ? La distribution a lieu deux jours après la fin de la vente. Le jour et le créneau horaire de cette distribution sont fixes. Doit-on s'engager sur de longues périodes ? Achats ponctuels, achats réguliers : c'est vous qui décidez de la manière dont vous vous approvisionnez dans votre Ruche. Qui gagne quoi ? Pour plus d'informations à ce sujet, vous pouvez consulter cet article du blog de La Ruche qui dit Oui !

Europe's 100 hottest startups 2012: Paris This article was taken from the September 2012 issue of Wired magazine. Be the first to read Wired's articles in print before they're posted online, and get your hands on loads of additional content by subscribing online. Critics argue that French startups struggle to expand globally, but Paris has steered the development of ecommerce across the world. Vente Privée, the pioneer of the flash sale, rapidly spawned copies including Germany's Brands4Friends, and Gilt in the US. "Certainly we are strong when it comes to ecommerce," says Andreas Schlenker at Partech Ventures in Paris. Paris's startup community lacks the social intensity of London's or Berlin's: the entrepreneurial social scene is less developed. 1: Dailymotion 49/51 Rue Ganneron, 75018 It's a brave site that takes on YouTube's four billion daily video-views and 800 million unique users per month -- but Dailymotion is undeterred. The site was founded in 2005 and rapidly built a global presence. 4: La Ruche qui dit Oui!

Open webOS disponible en version 1.0 Les portages peuvent désormais commencer, lance la communauté Open WebOS pour annoncer la livraison de la version 1.0 de l’OS mobile. Moins d'un mois après la bêta , la communauté derrière feu webOS, l’OS racheté par HP à Palm, termine enfin sa course et se retrouve officiellement disponible à l’Open Source. Et dans les temps : «nous avons finalisé notre feuille de route initiale et sortons Open WebOS 1.0 en ligne sur notre calendrier, comme promis», rappelle la communauté. Cette mouture 1.0 est, comme lors de la bêta, livrée en deux environnements, l’un OpenEmbedded pour le portage de l’OS vers les terminaux mobiles à travers un émulateur ARM, et Desktop pour associer l’OS aux outils de développement. Enfin, des travaux autour du support de Qt5, ainsi que de l’ajout de composants Open Source liés à l’audio et aux médias sont en cours. Plus d'actualités et de tutoriels

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