Baalbek Baalbek This Phoenician city, where a triad of deities was worshipped, was known as Heliopolis during the Hellenistic period. It retained its religious function during Roman times, when the sanctuary of the Heliopolitan Jupiter attracted thousands of pilgrims. Baalbek, with its colossal structures, is one of the finest examples of Imperial Roman architecture at its apogee. Cette cité phénicienne, où l'on célébrait le culte d'une triade divine, fut nommée Héliopolis à la période hellénistique. بعلبك عُرفت هذه المدينة الفينيقيّة حيث كانت العبادة للثالوث الإلهي، بمدينة الشمس في العهد الهيلنستي. source: UNESCO/ERI 巴勒贝克 这座腓尼基人的城市在希腊时期以太阳神而闻名,这里供奉了三座神灵。 Древний город Баальбек Во времена античной Греции этот финикийский город, где поклонялись божественной троице, называли Гелиополисом. Baalbek Sede del culto a una tríada divina en tiempos de los fenicios, esta ciudad recibió el nombre de Heliópolis en la época helenística. バールベック ベイルート東方のベカー高原にある宗教都市遺跡。 source: NFUAJ Source : unesco.nl Brève synthèse
Les Phéniciens - Baalbek La ville de Baalbek, située au pied du versant sud occidental de l'Anti-Liban, se trouve à 85 km de Beyrouth. Elle se positionne à une altitude de 1150m, en bordure de la riche plaine de la Békaa, l'antique Coelesyrie. Son emplacement entre les deux grandes régions civilisées de l'Antiquité, entre Nil et Euphrate, était hautement stratégique. La cité se trouva ainsi sur une principale voie de passage des caravanes marchandes sillonnant les routes entre la Mésopotamie, l'Egypte et toute la Méditerranée orientale. L'abondance de l'eau, favorisée par la présence de deux sources, l'une au sud-est de la ville (Ras el-Aïn) et l'autre à l'est (Aïn Lajouj), encouragea les caravaniers à faire halte dans ces lieux. Les commerçants venant des cités côtières et en partance vers l'arrière-pays afin de vendre ou échanger leurs produits et marchandises, profitaient également de cette escale à mi-chemin. I- Baalbek devient Héliopolis : A la mort soudaine d'Alexandre le Grand en 323 av.
Baalbek : une cité à la démesure des dieux Baalbek : une cité à la démesure des dieux - Vu 18802 fois. Située dans le nord de la plaine de la Békaa, à 85 km de Beyrouth (Liban), la ville de Baalbek est l’ancienne Héliopolis des Romains. Son emplacement entre les deux grandes régions civilisées de l'Antiquité, entre Nil et Euphrate, était hautement stratégique. La cité se trouva ainsi sur l’une des principales voies de passage des caravanes marchandes sillonnant les routes entre la Mésopotamie, l'Egypte et toute la Méditerranée orientale, ce qui lui permit de se développer rapidement. L’histoire de Baalbek remonte à la fin du IIIe millénaire avant J. Cet ensemble monumental est l’un des témoignages les plus impressionnants de l'architecture romaine à l'époque impériale. . Gigantesque, titanesque, vertigineux : tels sont les adjectifs qui viennent à l’esprit en découvrant les constructions monumentales de Baalbek. . Baalbek : le nom de la ville remonterait quant à lui à la période Phénicienne (IIIe millénaire avant J. . .
Baalbek - Liban au Liban Baalbek est une ville antique du Liban, dans le nord de la plaine de la Békaa. Cette cité est considérée comme l'ancienne Héliopolis des Romains. Les ruines datent de l'époque gréco-romaine avec des traces plus anciennes de l'époque sémitique. Le seul temple de Jupiter au monde se trouve ici. Baalbek L'histoire de Baalbek, dans la plaine inondée de soleil de la Bekaa, au nord-est du Liban, remonte à une Antiquité lointaine, lorsque les Phéniciens dominaient ce territoire. Réserver un hôtel Baalbek Baalbek, réputé pour son site archéologique, abrite un petit nombre d'établissements hôteliers. En savoir plus sur Baalbek avant de réserver votre hôtel Baalbek est l'ancienne Héliopolis des Romains. On y trouve un complexe de trois temples géants abandonné par les Romains, ce sont le temple de Bacchus, un des temples les mieux conservés du monde gréco-romain, le temple de Jupiter dont il reste six colonnes de granite et le temple de Vénus.
Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban | Courrier archéologique Un article de May Makarem dans l’Orient-Le Jour revient sur cette dernière découverte effectuée par Janine Abdel Massih et son équipe de l’Université Libanaise et de l'Institut français du Proche-Orient sur la colline Cheikh Abdallah, à 800 mètres des ruines romaines située sur le site de Baalbek (anciennement Héliopolis) au Liban. Les fouilles ont livré un monolithe de 19,6 mètres de long, six mètres de large et 5,5 mètres d’épaisseur. « Jusque-là. Car nous n'avons pas encore atteint le fond du roc pour le dégager entièrement », a déclaré Jamine Massih au quotidien francophone libanais. Le mégalithe a été trouvé légèrement en contre-bas de celui connu sous le nom de Hajar al-Hibla ou « la Pierre de la femme enceinte » (21,50 m de long, 4 m de large et 4,20 m de hauteur) - probablement la plus lourde pierre travaillée du monde, son poids est estimé à 1 000 tonnes. Photos (© OLJ) :
Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban - Le Nouveau Paradigme L’origine des temples, antérieure au IIIème millénaire, reste méconnue et peu étudiée. De cette époque, on sait seulement que les Phéniciens y célébraient le culte de Baal Haddad, leur équivalent de Jupiter (Baalbek signifie d’ailleurs « le temple de Baal »). Bien qu’attribué aux Phéniciens, l’impressionnant tell sur lequel est bâti le site romain reste une énigme, due à la taille des pierres disposées. La plupart des pierres du tell pèsent plusieurs centaines de tonnes. 3 d’entre-elles, le Trilithon, atteignent même le poids vertigineux de 800 tonnes !! La datation au carbone 14 étant inefficace sur la pierre taillée (la taille ne correspond à aucune transformation fixant les atomes de carbone), et ces blocs ne comportant aucune inscription, il nous est impossible de savoir à quelle époque ils remontent. Pourquoi avoir décidé de réaliser de tels monolithes, pour ne servir que de fondations ? Comment une telle prouesse fut-elle possible ? Les hypothèses :
À Baalbeck, la colline Cheikh Abdallah livre son troisième monolithe - May MAKAREM Baalbeck est un chantier archéologique en permanente évolution. Les sondages réalisés récemment par Janine Abdel Massih et son équipe de l'UL sur la colline Cheikh Abdallah, à 800 mètres des ruines romaines, ont livré un monolithe plus large et plus massif que la Hajar al-Hibla. Il mesure 19,6 mètres de long, six mètres de large et 5,5 mètres d'épaisseur. « Jusque-là. Car nous n'avons pas encore atteint le fond du roc pour le dégager entièrement », a-t-elle déclaré, ajoutant que les travaux reprendront après la fête du Fitr. Située à l'entrée sud de Baalbeck, la colline Cheikh Abdallah abrite une carrière antique de pierre calcaire conglomérée, qui a approvisionné le chantier de construction du complexe romain. Et selon l'archéologue, il ne serait pas improbable que le bloc monolithique découvert ait été taillé pour les soubassements du temple de Jupiter, dont le plan initial devait être plus large, comme l'ont relevé des études antérieures.
La plus grosse pierre taillée du monde, Baalbek, Liban Les pierres de Baalbek : le TRILITHON Gollum a présenté remarquablement le plus gros bloc de pierre de Baalbek encore en place dans sa carrière d'extraction. Ce bloc n'a pas été utilisé dans la construction des temples, il était peut-être trop lourd pour les ouvriers qui avaient déjà taillé, déplacé et installé les plus grosses pierres du Monde connues sous le nom de "Trilithon". C'est donc de cette même carrière qu'ont été extraites les trois pierres colossales appelées "Trilithon", elles ont été érigées au premier siècle de notre ère. Leur transport et leur installation en position horizontale poseraient des problèmes insurmontables aux ingénieurs modernes même en utilisant les technologies les plus avancées. Malgré l'habileté technique des Romains, on n'en connait pas d'autre exemple dans tout le reste de leur ancien empire. Si l'on dresse ces trois pierres, elles sont hautes comme un immeuble de cinq ou six étages. Source Source Voici sa position exacte sur le plan du Quid Source Quid
Baalbek ou les megalithes de l'impossible Bonjour a toutes et tous j'attaque la section "megalithes" par un des plus incroyable site archéologique existant. Reprenant "la demarche" du forum inspiré par par les menhirs et dolmens cher a Corsair, je me permets donc de remettre sur le tapis ( et selon moi ) le mystere des trilithes de Baalbek. Comme nous les savons les romains ont construit le temple de jupiter sur les ruines de Baalbek ... dont on ne connait pas l'origine exacte et pour cause . l'echelle humaine en rapport avec les blocs est impressionnante .... l'hypothèse de l'utilisation d'un moyen de levage quelqconque pour deplacer ces megalithes peut être serieusement mis en cause ... notamment les outils humains qui n'existent pas pour de telles prouesses. amicalement Lionel
Archéologie mystérieuse : Nouvelles découvertes à Baalbek et au Québec Archéologie mystérieuse : Nouvelles découvertes à Baalbek et au Québec Un titre étrange et pourtant sans jeux de mots : deux découvertes récentes font évoluer nos connaissances sur des périodes de l'ère archaîque, encore très peu connue. Un monolithe plus large et plus massif que celui connu sous le nom de Hajar al-Hibla découvert sur le site d'une carrière antique. Baalbek au Liban est une ville antique mais aussi un chantier archéologique encore loin d'être complété de nos jours. " Située à l'entrée sud de Baalbeck, la colline Cheikh Abdallah abrite une carrière antique de pierre calcaire conglomérée, qui a approvisionné le chantier de construction du complexe romain. Le mégalithe a été trouvé légèrement en contre-bas de celui connu sous le nom de Hajar el-Hibla ou Hajar El Gouble (21,50 m de long, 4,80 m de large et 4,20 m de hauteur). Le site avant les récentes fouilles, avec la pierre Hajar el-Hibla seule pour l'instant L'origine du nom de Baalbek n'est pas connue avec certitude.
BAALBEK (35396) - Dictionnaire - TopBible — TopChrétien Ville de la Coelésyrie, ou Békâa, entre le Liban et l'Antiliban, à la limite insensible de partage des eaux entre les bassins du Léontès vers le S. et de l'Oronte vers le N. Elle est célèbre aujourd'hui et souvent visitée pour les ruines imposantes de ses merveilleux sanctuaires, comparables par la masse à ceux de Thèbes et par la grâce à ceux d'Athènes ; voy. fig. 36 à 41, des reproductions de ses temples et de la fameuse pierre inutilisée, aux dimensions colossales (voir Carrière). Il n'a pas encore été dégagé de vestiges de l'époque biblique, car des deux temples, ni le grand (celui de Jupiter), ni le petit (de Bacchus ? d'Atargatis ?) 1. 2.
Georges Tate, Baalbek, une cité romaine du Liban Après avoir suscité l'admiration des voyageurs, les ruines de Baalbek ont inspiré les amateurs de fantastique. Selon eux, les blocs aux dimensions extraordinaires dont les terrasses sont constituées auraient été construits en des temps immémoriaux par des civilisations extraterrestres aujourd'hui disparues… Pour être plus prosaïque, la réalité n'en est pas moins grandiose, comme en témoignent les travaux lents, patients et précis d'archéologues et d'historiens allemands, français et libanais. Georges Tate revient sur les raisons qui ont fait de Baalbek un des sites les plus importants du Proche-Orient classique, à côté de Palmyre et de Pétra. Les ruines occupent un site imposant, une oasis toujours verdoyante dans le secteur le plus haut et le plus aride de la plaine de la Békaa, là où les eaux se partagent entre le Litani qui s'écoule vers le sud et l'Oronte qui se dirige vers le nord, au pied des cimes neigeuses du mont Liban. Un site dominé par trois sanctuaires Georges Tate
Citadelle de Baalbek L’antique Héliopolis, conquise en 635 par les Arabes, prit le nom de Ba‘albak au VIIe siècle, comme l’indiquent ses émissions monétaires[1]. Durant les premiers siècles de la période islamique, elle aurait acquis le statut de ville (madîna), et été dotée d’une enceinte et d’une grande moquée. Mais ce n’est qu’à la suite de la conquête de la Syrie par les Seljukides, alors qu’elle jouait un rôle stratégique dans la lutte contre les Croisés, que ses fortifications furent renforcées. Sous le règne de l’émir Zangî (m. 1146) et de son fils Nûr al-Dîn, le sanctuaire romain fut transformé en citadelle. Cette pratique de construction de forteresses sur des sites antiques se retrouve en Syrie à Bosra et à Palmyre, mais aussi dans d’autres régions comme le Sud de la France, avec Nîmes et Arles. Suite à l’invasion mongole de 1260, les Mamluks entreprirent la reconstruction de la ville.
Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban Un troisième bloc monolithe découvert à Baalbek au Liban 12Share3 0 256Share0 Un article de May Makarem dans l’Orient-Le Jour revient sur cette dernière découverte effectuée par Janine Abdel Massih et son équipe de l’Université Libanaise et de l’Institut français du Proche-Orient sur la colline Cheikh Abdallah, à 800 mètres des ruines romaines située sur le site de Baalbek (anciennement Héliopolis) au Liban. Les fouilles ont livré un monolithe de 19,6 mètres de long, six mètres de large et 5,5 mètres d’épaisseur. « Jusque-là. Car nous n’avons pas encore atteint le fond du roc pour le dégager entièrement », a déclaré Jamine Massih au quotidien francophone libanais. Le mégalithe a été trouvé légèrement en contre-bas de celui connu sous le nom de Hajar al-Hibla ou « la Pierre de la femme enceinte » (21,50 m de long, 4 m de large et 4,20 m de hauteur) – probablement la plus lourde pierre travaillée du monde, son poids est estimé à 1 000 tonnes. In Mysteriam