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Related: I / Comment se caractérise un secteur d'activité ? • La solidaritéPrésentation de l'Economie Sociale et Solidaire (ESS) L’économie sociale et solidaire (ESS) désigne un ensemble d’entreprises organisées sous différentes formes statutaires : les coopératives, les mutuelles, les associations, les fondations et les sociétés commerciales de l'ESS. Ces entreprises cherchent à concilier activité économique et utilité sociale, avec pour ambition de créer des emplois et de développer une plus grande cohésion sociale. Engagées dans leur manière de produire et de consommer, elles offrent de nouvelles possibilités d'entreprendre. 30 idées d'entreprises écologiques, sociales, solidaires Vous souhaitez créer une activité en cohérence avec vos valeurs ? Cet article vous propose 30 idées ou pistes d’idées pour créer votre entreprise ou votre start-up dans le domaine de l’économie sociale et solidaire. Définition Economie sociale et solidaire (ESS) : L’ESS est la branche de l’économie qui rassemble des organismes dont l’objectif est de créer de l’activité économique tout en oeuvrant pour la solidarité, la démocratie ou l’écologie. L’économie sociale et solidaire regroupe des entreprises privées classiques, des entreprises sous forme coopérative, des collectifs, des associations loi 1901, ou encore des fondations. Par rapport aux entreprises classiques, les entreprises de l’économie sociale et solidaire se distinguent par une gouvernance plus ouverte, le respect affiché de certains principes éthiques, un engagement « citoyen » et un caractère lucratif plus limité voire absent. Concilier entrepreneuriat et conscience écologique et sociale : possible ?
Organisations syndicales professionnelles françaises Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article présente des problèmes à corriger (liste). Vous pouvez aider à l'améliorer ou bien discuter des problèmes sur sa page de discussion. Certaines informations devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans la bibliographie ou les liens externes. Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références. (Marqué depuis février 2008)Cet article contient une ou plusieurs listes. Un bilan des enjeux et impacts de l’écotourisme au Costa Rica 1S’étirant sur 520 000 km², l’Amérique centrale est une région constituée d’un long isthme étroit formé entre l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud. Outre la péninsule du Yucatan et du Mexique, cette région comprend du Nord au Sud, sept états dont le Guatemala, le Belize, le Salvador, le Honduras, le Nicaragua, le Costa Rica et le Panama. 2Cette région fut marquée pour son instabilité économique, sociale et politique et à ce titre, elle a longtemps été perçue — et le reste encore – comme une région « à éviter ».
Définition de la RSE Qu'entend-on par Responsabilité Sociale des Entreprises ? Ce concept, né des demandes de la société civile (ONG, associations) est définit selon la Commission Européenne comme "l'intégration dans l'entreprise des préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire". La RSE est la déclinaison pour l'entreprise des concepts de développement durable, qui intègrent trois piliers :- environnementaux- sociaux- économiques Ci-dessous un schéma synthétisant le concept de la RSE : Elle a été à l'ordre du jour du sommet de la Terre de Johannesburg en 2002, auquel ont participé de grandes entreprises, en particulier françaises, des secteurs de l'environnement et de l'énergie. Cette politique se situe dans la philosophie du "agir local, penser global" de René Dubos.
L'enjeu du mois : comprendre l'écotourisme Écoprospective Voir autrement Écotourisme : à la rencontre de l'autre Par Sauveur Fernandez 15 juillet 2001 - Révisé le 25 novembre 2002 05 E1 : Français, Doc, ESC et Economie générale - Le blog du BTSA DATR Developpement, Animation des territoires ruraux à Erstein Pour le DATR Epreuve E1 Il s’agit d’une épreuve terminale du 1er groupe commune à toutes les options du BTSA. Cette épreuve est écrite, d’une durée de 4 heures, de coefficient 5. sans titre L'an dernier, 4 000 Val-d'Oisiens ont été suivis par un éducateur spécialisé. Un accompagnement destiné à lutter contre l'exclusion et la marginalisation de certains jeunes en difficulté. L'une des associations du département, Imaj, implantée sur les villes de Montmorency, Villiers-le-Bel et Goussainville ainsi que sur la communauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France, s'est occupée de 580 d'entre eux.
Bertrand Soubelet : «La solidarité a des limites» FIGAROVOX/TRIBUNE - Bertrand Soubelet rappelle que bénéficier de la solidarité nationale, sauf exceptions, doit être une situation transitoire qui ne peut se prolonger indéfiniment. Il invite à transformer notre système de protection sociale dans ce sens.Général de corps d'armée, ex-numéro trois de la gendarmerie nationale, Bertrand Soubelet est l'auteur de Tout ce qu'il ne faut pas dire (Plon), ouvrage sans concessions sur la situation de la France, et Sans autorité, quelle liberté? (éd. de l'Observatoire). Nous sommes incorrigibles. Un certain conformisme intellectuel nous conduit à croire que les concepts sont intégralement applicables dans la vraie vie. L'entraide et la solidarité existent toujours au sein des familles. Alain Rozenkier est sociologue au sein de l'unité de recherche sur le vieillissement de la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Il a collaboré à un ouvrage collectif sur «les Solidarités entre générations» (Nathan). La population vieillit. Elle coûte chère en soins médicaux et coûtera encore plus cher demain, avec la prestation autonomie. Certains s'inquiètent d'une charge pour la collectivité de plus en plus lourde. Qu'en pensez-vous?
[EDITO]Engagement, solidarité, mécénat, les mots pour dire et aussi pour faire ? Afflux de réfugiés et de migrants, catastrophes naturelles, crise économique, les problèmes sociaux et humanitaires ne manquent pas et nécessitent toujours plus d'actions solidaires. En parallèle se développent de nouvelles pratiques pour valoriser les initiatives généreuses, pour contribuer d'une façon ou d'une autre à la résolution de problèmes qui touchent son voisin, son compatriote, son congénère. Tout devient solidaire et engagé. Après le green washing, le social washing ? Que de plus en plus de personnes se sentent concernées par la nécessité de participer, même ponctuellement et petitement, à la bonne marche des actions solidaires est une bonne chose. Pour autant on doit s'interroger sur l'opportunisme de la question : un vernis solidaire aide-t-il à vendre, à faire des affaires ?
Chapitre 8 : Quels liens sociaux dans des sociétés où s’affirme le primat de l’individu ? La croissance économique s’accompagne d’une transformation de la structure sociale. Pourtant, finalement, au cours du temps, nos sociétés se perpétuent, elles ne disparaissent pas, par exemple, sous la pression des inégalités qui se renouvellent ou des conflits possibles entre groupes sociaux. Comment est-ce possible ? Autrement dit, la question que nous allons aborder ici consiste à se demander comment les sociétés " tiennent ", c’est-à-dire à savoir ce qui les cimente, ce qui relie les individus les uns aux autres suffisamment solidement pour que la vie en société ne dégénère pas en une multitude de conflits. Ce ciment, que l’on appelle souvent « lien social » et qui produit de la solidarité entre les membres d’une société, n'apparaît pas spontanément. Attention !
La solidarité stabilise la société On parle beaucoup de solidarité aujourd'hui. Mais que signifie vraiment la solidarité ? N'est-elle profitable qu'aux faibles et aux pauvres ? Se sentir solidaire, c'est d'abord aimer son prochain et accepter de l'aider. La solidarité est utile à la société, car elle rend la société plus équilibrée et sereine. Les bonnes affaires du charity business Toujours plus. Plus d’argent, versé de plus en plus en jeune et de plus en plus depuis la Silicon Valley, où se constituent à une vitesse stratosphérique les grandes fortunes de l’Internet. L’annonce par le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, qu’il va progressivement léguer 99 % de ses actions à la fondation pour l’enfance qu’il crée avec sa femme pédiatre, résume bien les dernières tendances à l’œuvre dans le charity business. Une activité florissante qui représente environ 350 milliards de dollars (330 milliards d’euros) chaque année aux Etats-Unis et est drainée par des dizaines de milliers de fondations. En croissance de 7,1 % en 2014, elle a dépassé pour la première fois l’an dernier le niveau de 2007, juste avant la grande crise financière. Outre les montants en jeu - Bill Gates et Warren Buffet ont donné plus de 40 milliards de dollars chacun, soit environ 20 fois le budget annuel de l’OMS -, l’âge des donateurs diminue.