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2011 : taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'université

2011 : taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'université
Les résultats présentés sont issus de la quatrième enquête nationale sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’université réalisée entre décembre 2012 et avril 2013. Celle-ci a porté sur les diplômés 2010 de D.U.T., de licence professionnelle et de master. Elle a pour objet d’évaluer la situation professionnelle, 30 mois après l’obtention du diplôme, des diplômés français issus de la formation initiale, entrés immédiatement et durablement sur le marché de l’emploi après l’obtention de leur diplôme, représentant respectivement 12%, 57% et 39% de l’ensemble des diplômés de chacun de ces diplômes. Cette évaluation est faite au travers de six indicateurs : le taux d’insertion, la part d’emplois de niveau cadre ou profession intermédiaire, la part d’emplois stables, la part d’emplois à temps plein, le salaire net mensuel médian des emplois à temps plein et un salaire brut annuel estimé à partir du salaire net médian.

Quel diplôme obtenir pour travailler dans le webmarketing ? Malgré la crise, les métiers du web continuent de bien se porter. Les opportunités d’emploi dans ce secteur sont nombreuses. Chef de projet search marketing, webmarketer, webdesigner, community manager, chef de projet facebook marketing… les métiers du web sont multiples et pour la plupart passionnants. Mais avant de se jeter à l’eau, une formation est bien sur nécessaire. Voici un tour d’horizon des différentes écoles préparant à ces métiers… S’il y-a encore quelques années, les formations liées au webmarketing se faisaient rares, aujourd’hui avec le développement du business en ligne, les métiers, les formations et les opportunités se sont multipliées. L’Hetic (Montreuil) : Créée en 2002 via l’alliance du groupe ECE (grande école d’ingénieurs) et du CIFAP (formation professionnelle à l’audiovisuel et aux médias), l’HETIC forme des experts managers du web de niveau I dans le domaine de l’économie numérique. Master et MBA orientés E-commerce : Les journées portes ouvertes… Pour conclure…

La génération Y en quête de reconnaissance dans l'entreprise Si les jeunes salariés sont jugés très durement, c’est bien plus par les autres salariés que par les chefs d’entreprise. Les chefs d’entreprise ont en ce qui les concerne une image plutôt positive des jeunes salariés. Une majorité relative d’entre eux considère qu’ils ne se distinguent pas véritablement des autres salariés : ils ne seraient ni plus ni moins ambitieux (38%), individualistes (38%), motivés (32%), enthousiastes (35%), polyvalents (36%) ou efficaces (42%) que les autres. Quand ils pensent qu’ils se distinguent des autres, c’est plutôt en bien : 33% d’entre eux jugent qu’ils sont plus ambitieux (contre 21% moins), 31% qu’ils sont plus motivés (contre 30% moins, la différence étant simplement symbolique), 30% plus enthousiastes (contre 27% moins) et plus polyvalents (contre 27% moins). C’est tout le contraire chez les salariés : à leurs yeux les jeunes salariés se distinguent en effet plutôt en mal. La génération Y : une génération de la crise Cf.

' Pourquoi les étudiants boudent-ils le digital ? ' Le secteur du numérique représente 3,2 % du PIB et 700 000 emplois créés depuis 15 ans (étude Mc Kinsey) et la tendance à la forte croissance du secteur n'est pas prête de faiblir comme en attestent de nombreux indicateurs. Les entreprises (PME, grandes entreprises, à Paris ou en province...) sont de plus en plus nombreuses à se mettre au digital que ce soit seulement pour de la publicité sur le Web, une activité e-commerce, le développement d’une application mobile... En 2011, les ventes en ligne ont dépassé les 37 milliards d'euros, (+ 22 %) et la Fevad estime qu’elles seront supérieures à 70 milliards d’euros en 2015. Or, les acteurs du Web, qu’ils soient prestataires ou annonceurs, font tous le même constat : recruter devient de plus en plus difficile. Il y a pénurie de certains profils et de candidats ayant une réelle formation digitale, sans même parler d’expérience ! Pourquoi les étudiants continuent-ils à choisir la pub et la com' au détriment du digital ?

Pas de chômage pour les diplômés des grandes écoles Malgré un contexte morose, l’insertion des diplômés de grandes écoles est bonne en 2012 et même meilleure qu’en 2011. Le taux d’emploi et les salaires sont en hausse, idem pour les CDI. La Conférence des grandes écoles a, ce matin, déroulé ses chiffres pour la promotion 2011. C’est connu : la crise frappe en premier les jeunes. Plus de CDI et salaires en hausse Encore mieux, le luxe du luxe, ces diplômés ne sont pas seulement plus nombreux à accéder à un premier emploi, ils s’insèrent aussi mieux. Un diplôme et une formation longue Mais comment font-ils ? Des étudiants qui s’adaptent et un réseau Mais cela n’explique toujours pas les succès des écoles qui présentent en moyenne des taux d’insertion meilleurs que ceux des universités. « Nos élèves s’adaptent assez vite aux nouvelles donnes du marché, avance Bernard Ramanantsoa, président de la Commission « Aval » et directeur général d’HEC Paris. Ensuite, il y a aussi le réseau qu’offre l’école, une aide précieuse. Lucile Chevalier

Emploi : un tiers des diplômés de 2011 sur le carreau Même pour les jeunes diplômés, trouver un emploi relève de plus en plus de la gageure. Près du tiers de ceux qui ont décroché leur diplôme l'an passé ne sont toujours pas parvenu à occuper un poste digne de ce nom. Les plus chanceux acceptent des "emplois d'attente" faute de mieux, indique mardi 29 mai l'Association pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes diplômés (Afij). Parmi ceux qui avaient réussi à s'insérer dans les mois suivant l'obtention de leur diplôme, seuls 43% avaient encore un emploi en avril 2012 selon l'étude. "L'entrée dans la vie active apparaît toujours longue", observe l'Afij, qui confirme "la persistance du caractère non linéaire des parcours d'insertion de la majorité des jeunes diplômés". Temps partiels, emplois alimentaires... le parcours du combattant Pour l'Afij, les jeunes alternent période d'activité et chômage et subissent les temps partiels ou les emplois alimentaires avant de décrocher un emploi stable.

Tendances : à fin avril 2012, 32% des jeunes, diplômés en 2011, n’ont occupé aucun emploi depuis l’obtention de leur diplôme. 68% ont décroché un emploi mais 43% seulement restent en emploi en avril 2012. Depuis maintenant quatre ans, l’AFIJ mène chaque année deux enquêtes, l’une en avril et l’autre en septembre, sur l’insertion professionnelle des jeunes diplômés de l’année précédente. Les premiers résultats de l’enquête « 6 mois après » menée fin avril 2012[1] auprès des jeunes, diplômés en 2011, donnent une image de la situation et permettent de mesurer les évolutions par rapport aux années précédentes. 43% des jeunes, diplômés en 2011, sont en emploi en avril 2012. Les premiers résultats de cette enquête illustrent d’une part, une réalité conjoncturelle, la stabilisation des parcours d’insertion professionnelle entre les diplômés 2010 et les diplômés 2011, avec toutefois des inégalités selon les profils. Consultez les résultats complets de l’enquête. Contact : Daniel LAMAR, Directeur Général – Mél. : lamar(at)afij(point)org

2012-090.pdf (Objet application/pdf)

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