47 Signs That China Is Absolutely Destroying America Have you ever watched a football game or a basketball game where one team dominates the other team so badly that calling it a "blowout" would be a huge understatement? Well, that is what China is doing to the United States. China is absolutely destroying America on the global economic stage. Once upon a time, the Chinese economy was a joke and the U.S. economy was the most powerful the world had ever seen. But over the past couple of decades the U.S. economy has decayed and declined while the Chinese economy has skyrocketed. If you do not believe that China is wiping the floor with America in front of the rest of the world, just keep reading. #1 Back in 1998, the United States had 25 percent of the world’s high-tech export market and China had just 10 percent. #2 America has lost more than a quarter of all of its high-tech manufacturing jobs over the past ten years. #3 The Chinese economy has grown 7 times faster than the U.S. economy has over the past decade. #40 According to U.S.
Les politiques d'austérité tiennent-elles à une erreur sur Excel? L’un des articles économiques les plus cités ces dernières années par les partisans de l’austérité est-il fondé sur une erreur de calcul sur Excel? La polémique fait rage sur dans les médias économiques américains depuis vingt-quatre heures et cible les travaux de Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, deux économistes d'Harvard auteurs ces dernières années d'un essai remarqué sur la crise financière (Cette fois, c'est différent. Huit siècles de folie financière) et qui ont occupé de hautes responsabilités au sein du FMI. En cause, un article qu'ils ont publié en 2010, «Growth in a Time of Debt», qui, à partir de statistiques de la période 1946-2009, faisait état d’une croissance bien plus basse dans les pays dont la dette publique dépasse 90% du PIB —pour situer, c'est le niveau qu'a dépassé la France fin 2012. 2 points de croissance en moins Conclusion de Herndon, Ash et Pollin: «Les résultats de Reinhart et Rogoff ont servi de rempart soutenant les politiques d’austérité. publicité
Banking's SWIFT says ready to block Iran transactions Goldman Sachs et la Grèce : une histoire de vampire Du nouveau Premier ministre grec Lucas Papademos au nouveau président de la BCE Mario Draghi, Goldman Sachs prend le pouvoir. Et là où c'est ironique, c’est que cette même banque a trafiqué les comptes grecs pour permettre l’entrée du pays dans la zone euro. Goldman Sachs est une des institutions les plus rentables du monde, avec près de 30 % de rentabilité moyenne par an ces 10 dernières années. C’est aussi une entreprise extrêmement puissante politiquement, qui a su placer ses cadres aux plus hauts postes du monde, à tel point que cette banque donne une dimension encore jamais atteinte au conflit d’intérêt. Rien que cette semaine, deux anciens de Goldman Sachs ont été nommés chefs de gouvernement, Mario Monti en Italie et Lucas Papademos en Grèce. Goldman Sachs est depuis longtemps au chevet des Grecs. Et là où la situation devient ubuesque, c’est que Mario Draghi est nommé, depuis 2 semaines, président de la banque centrale européenne (BCE).
Why do we take economists so seriously? | Guardian UK It's the economists, stupid! While we were not waving but drowning in soggy flags, economic stuff was happening. Big stuff, though it could not break through the gooey queen-fest. In the news blackout that was the jubilee, other countries were reporting the meltdown of the Spanish banks, and thus, eventually, the euro. Actually, that may happen. Why all this panic, though? The sudden ability to produce money out of thin air is exactly why economists such as Paul Krugman tell us that the Thatcher-lite hausfrau-speak of Osborne is senseless. But we are indeed in reduced circumstances when debate is reduced to bankers arguing with economists. Economics is not a science; it's not even a social science. Sure, there are some new radicals on the block who daringly suggest that we should not adhere to the old models. Risk-free capitalism was what the anti-globalisers always warned us about, but they had dreadlocks and dogs on string and were pepper-sprayed away.
Video Game and Tax Day Actions Target Corporate "Tax Evaders" Nicole Tichon and Gan Golan: By projecting a Tax Evader video game on the side of banks and big corporate buildings, actions aim to focus public attention on banks and big companies that pay low to no taxes - Bio Nicole Tichon is the Executive Director of Tax Justice Network USA, which is member of the larger international Tax Justice Network. Prior to joining TJN USA, Nicole was the Tax and Budget Reform Advocate for the U.S. Gan Golan are the authors of the New York Times bestseller Goodnight Bush and the fearless, provocative, forthcoming book The Adventures of Unemployed Man. Transcript PAUL JAY, SENIOR EDITOR, TRNN: Welcome to The Real News Network. End DISCLAIMER: Please note that transcripts for The Real News Network are typed from a recording of the program. Comments Our automatic spam filter blocks comments with multiple links and multiple users using the same IP address.
Dette publique, la conjuration des bonnes idées, par Laurent Cordonnier En s’accordant, lors du sommet européen du 9 décembre 2011, sur un nouveau pacte budgétaire intergouvernemental, les chefs d’Etat européens ne se sont pas seulement entendus sur une condamnation des peuples de l’Union aux fers et aux chaînes de la rigueur perpétuelle, ils ont aussi pactisé sur le renoncement à deux idées qui faisaient leur chemin : faire payer les banques, comme l’avait défendu l’Allemagne pour traiter du cas de la Grèce, et encourager la Banque centrale européenne (BCE) à racheter les titres de dette des pays attaqués, comme le souhaitait la France. Donnant-donnant : il fut convenu de ne plus embêter son voisin avec une idée qui le dérangeait. Sans doute aussi qu’en fermant à clé les issues de secours, les uns et les autres pensaient apaiser les flammes de l’incendie. Les issues se rouvriront certainement sous le souffle de l’explosion. Le plus étonnant est plutôt le refus obstiné d’envisager un rachat substantiel des titres de dettes publiques par la BCE.
Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Monti, Lucas Papadémos et Mario Draghi Le président de la BCE, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec ont en commun d'avoir été associés à la banque américaine. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marc Roche Qu'ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le nouveau président de la Banque centrale européenne, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au "gouvernement Sachs" européen. La banque d'affaires américaine a en effet tissé en Europe un réseau d'influence unique sédimenté depuis des lustres grâce à un maillage serré, souterrain comme public. A tout concours, il faut une hiérarchie. Deux autres poids lourds tiennent le haut du pavé dans la défenestration de l'euro, Otmar Issing, ex-président de la Bundesbank et Jim O'Neill, l'inventeur du concept des BRICS, l'acronyme désignant les marchés émergents à fort potentiel de croissance (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).
97% Owned: New Documentary Introductory videos The basics you need to know: Why is there so much debt? Why are house prices so high? Explained in plain English in short animations. Presentations by Ben Dyson & others from Positive Money How is money created? Ben Dyson, founder of Positive Money and other members of the team give clear answers. Banking 101 Do you really want to understand how banks create money, and what limits their ability to do so? Economists about money, banking reform, Positive Money Why don’t economists understand money? Prof. Politicians, Journalists & Bankers Conservative MP, Labour MP, Green Party MP about money, banking reform, Positive Money. Former Reuter journalist on ‘Why doesn’t the media understand money’…and more. 97% Owned – Monetary reform documentary
Dettes publiques : les audits citoyens gagnent l'Europe Du 15 au 18 février dernier, Thessalonique a accueilli la troisième rencontre du Réseau international pour un audit citoyen de la dette (ICAN). Cette plate-forme regroupe différentes initiatives nationales d’Europe et d’Afrique du Nord, dont le point commun est de chercher à se réapproprier le débat sur la dette par la création de « comités d’audit citoyen ». « L’idée est avant tout de repolitiser un enjeu qui nous a été confisqué par les « experts » en tout genre », confie ainsi Émilie du Cadtm (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers-monde), une ONG active depuis longtemps sur la question de la dette des pays du Sud et qui s’est récemment recentrée sur l’Europe à la faveur de la crise de l’euro. Son fondateur, Éric Toussaint, a notamment participé à l’audit gouvernemental réalisé en Équateur en 2006 à la demande du nouveau président Rafael Correa, qui a permis de déclarer illégitime près de 80 % de la dette du pays. « On ne doit rien, on ne paye rien !
La Théorie Monétaire Moderne, une pensée économique alternative, enquête du Washington Post La Théorie Monétaire Moderne, une pensée économique alternative, enquête du Washington Post Air du temps. Le très conservateur Washington Post consacre un long article à la Théorie Monétaire Moderne, l’une des branches héritières du post-keynésisme, dont le représentant le plus éminent est James Galbraith, fils de l’un des économistes les plus réputés en son temps, mais surtout homme respecté par ses pairs, par ailleurs régulièrement consulté par les élus et les responsables américains. Que l’on ne s’attende pas ici à un examen en profondeur de la MMT, ainsi qu’on la désigne communément par son acronyme anglo-saxon. Par Dylan Matthews, Washington Post, 19 février 2012 James K. C’était en Avril 2000, et Galbraith avait été invité par le président Bill Clinton pour intervenir lors d’une conférence traitant de l’excédent budgétaire existant à l’époque. Mais si Galbraith s’est distingué lors de cette conférence, ce fut à cause du caractère décalé de son message. Racines keynésiennes
"La croissance mondiale va s'arrêter" Quarante ans après son rapport au Club de Rome, Dennis Meadows réaffirme les limites de l’expansion économique. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart et Hervé Kempf En mars 1972, répondant à une commande d'un think tank basé à Zurich (Suisse) – le Club de Rome –, des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) publiaient The Limits to Growth, un rapport modélisant les conséquences possibles du maintien de la croissance économique sur le long terme. De passage à Paris , mercredi 23 mai, à l'occasion de la publication en français de la dernière édition de ce texte qui fait date (Les Limites à la croissance, Rue de l'Echiquier, coll. "Inital(e)s DD", 408 p., 25 euros), son premier auteur, le physicien américain Dennis Meadows, 69 ans, a répondu aux questions du Monde. Quel bilan tirez-vous, quarante ans après la publication du rapport de 1972 ? D'abord, le titre n'était pas bon. Pourtant, l'idée commune est, aujourd'hui encore, qu'il n'y a pas de limites.
In defense of prudes - Sex News, Sex Talk At a neighborhood bar this weekend, a straight female friend of mine, having unfavorably sized up the romantic prospects in the room, implied that she wanted to kiss me. Ah yes, the old standby of my generation: The drunken girl-on-girl makeout. The suggestion wasn’t shocking but it wasn’t particularly appealing either, so I politely declined — and she exclaimed: “Oh my god, you’re such a prude!” It isn’t the first time I’ve been told that. A couple months earlier, I declined my roommate’s offer to show me her newly waxed vagina and she declared, “You’re the most prudish sex writer I’ve ever met!” It just so happens that as I’m personally coming to dread the “prude” insult, a debate has popped up over reclaiming the word “slut.” But I also have zero interest in participating. That brings me to my recent experiences of being called the dreaded p-word. I’m too sexual — except for when I’m not sexual enough.