Scrum et les tâches urgentes Pendant un sprint, une équipe Scrum ne devrait pas, en principe, être perturbée. Cependant il arrive que des perturbations correspondent à des travaux urgents qui ne peuvent pas attendre, alors que faire ? Lors de la réunion de planification du sprint, l'équipe, après avoir identifié les tâches à faire pendant le sprint, s'engage sur un périmètre (constitué par une liste de stories) et sur la qualité avec laquelle elle va le produire (défini par la signification de fini). Une tâche urgente constitue du travail demandé à un ou plusieurs membres de l’équipe, qui n’était pas prévu au début du sprint. Pas prévu, cela veut dire que c’est du travail qui n’est pas en relation avec la liste des stories sélectionnées pour ce sprint, ni découlant de la définition de fini. Le travail demandé -en urgence- peut être en relation avec le produit que l’équipe développe. Lorsqu’une tâche urgente se présente, une équipe Scrum peut prendre une de ces positions : Dire non.
Ayez l'air intelligent avec GreenHopper - Atlassian - TechSolCom Accueil » Atlassian » Ayez l’air intelligent avec GreenHopper Ayez l’air intelligent avec GreenHopper Publié le 02 déc 10 - Écrit par Félix Martineau La méthodologie Agile est de plus en plus utilisée dans les projets de développement informatique et GreenHopper s’est rapidement positionné comme un incontournable dans le marché. Si vous utilisez GreenHopper, je vous garantis que vous allez regarder le Graphique Horaire de Burndown à tous les jours. Introduction Une bonne entrée en matière pour ce guide est de regarder le fameux Triangle d’un projet. Ça va prendre combien de temps ? C’est bien entendu la grande question qui revient sans cesse. L’individu qui va réaliser la tâcheLa complexité de la tâcheLa qualité du code existant Avec tous ces inconnus, pas surprenant qu’il soit irréaliste d’avancer quelque chiffre que ce soit, même à haut niveau, pour un projet d’envergure. Comment s’en sortir ? Le graphique d’avancement GreenHopper Voici un exemple de graphique d’avancement.
Bien démarrer avec "Scrum" Par Florent Lothon, mis à jour en juin 2013. La méthode Scrum (« Scrum » signifie « Mêlée » en anglais), ou plus exactement le cadre méthodologique Scrum est de loin la méthode Agile la plus utilisée dans le monde. Expérimentée en 1993, elle bénéficie aujourd’hui de nombreux retours d’expérience. Les conférences, communautés, formations, blogs, outils et ouvrages à son sujet ne manquent pas. L’objectif de cet article est de vous aider à vous lancer dans la mise en oeuvre de Scrum. Il décrit le processus associé, ses étapes, réunions, rôles, etc. Au sujet de Scrum Parler d’une « méthode » concernant Scrum n’est pas ce qu’il y a de plus approprié. Au sein de ce cadre méthodologique de gestion de projet, les acteurs ajustent empiriquement, au fil des itérations, leur propre méthode en fonction de leur contexte. NB : Sachez que eXtreme Programming couvre également efficacement les aspects de gestion de projet, faisant d’elle l’une des méthodes Agile les plus complète qui existe. Démarrage
Scrum et XP depuis les Tranchées Le planning de sprint est une réunion critique, probablement l'événement le plus important dans Scrum (d'après mon opinion subjective bien sûr). Une réunion de planning de sprint mal exécutée peut perturber un sprint complet. Le but de la réunion de planning de sprint est de donner à l'équipe suffisamment d'informations pour qu'elle soit capable de travailler paisiblement, sans dérangements pendant quelques semaines, et de donner au directeur de produit suffisamment de confiance pour les laisser faire. OK, c'est un peu flou. Un but pour le sprint. 4.1. Quelquefois les directeurs de produits rechignent à passer des heures avec l'équipe pour faire le planning de sprint. « Les gars, j'ai déjà listé ce que je voulais. La raison pour laquelle l'équipe au complet ainsi que le directeur de produit doivent être à cette réunion de planning de sprint est que chaque histoire contient trois variables qui dépendent fortement les unes des autres. 4.2. (Eh bien, OK, presque jamais) Aha ! 4.3. 4.4. 4.5.
Mes 10 raisons d'avoir un backlog de Sprint affiché au mur Il existe plein d'outils permettant de gérer le backlog de sprint, en plus, ils permettent de faire des statistiques, générer le Burndown et Burnup automatiquement. De plus les post-it sont toujours nickel : il n'y a pas de rature, l'historique des opérations est sauvegardé et rejouable pour analyser ce qu'il s'est passé. Ces systèmes permettent d'identifier facilement les tâches critiques et on peut même avec des statistiques sur les performances de chaque développeurs. Mais avec tout ça, je préfère travailler avec un backlog de Sprint affiché au mur. Raison 1 : L'information est disponible en permanence et instantanément Il n'est pas nécessaire d'ouvrir un fichier ou d'accéder à une application, l'information est là devant tout le monde. Raison 2 : Tout le monde peut consulter le mur d'informations On constate qu'il y a plein d'intervenants extérieurs qui viennent consulter le mur, pour prendre la température du projet, s'assurer que cela avance, se rappeler des dates clefs du projets...
Burndown charts - French Scrum User Group - French Scrum User Group Voici un exemple de Sprint Burndown chart. La durée du sprint a été fixée à 10 jours. L'équipe s'engage à réaliser dans cet exemple 104 points scrums. Vous pouvez aussi utiliser comme unité le nombre de jours de travails restant, ou le nombre d'élément du sprint backlog, peu importe. L'essentiel est de suivre facilement le "reste à faire". La courbe verte représente la pente idéale pour réussir à livrer au bout du 10ème jour l'engagement de 104 points. Au matin du jour 4, l'équipe me fait part lors du daily stand-up d'un point plus compliqué que prévu sur une des tâches à compléter. Le burndown chart est un indicateur qui visualise chaque jour la quantité de travail restant à faire. Dans l'exemple ci-dessous, l'équipe n'a pas réussi à avancer, bloquée pendant quelques jours. Le burndown chart est un indicateur qui permet aussi de répondre à la question "quand pensez-vous terminer ?".
Burn-down charts: The Good, Bad, advice and alternatives I’ve never completely accepted burn-down charts. I know they are a staple of Agile development and I’ve even used them myself but I’ve never been completely happy with them. The reason I’ve never been happy with them is that they require and initial figure to burn-down. You need an initial number - in hours, days, points or what ever - to seed the chart and then you burn off some amount and you see the line falling. The problem is that initial figure, it has to come from somewhere. Burn-down charts were popularised by Scrum where there are, strictly speaking, two types of burn-down chart: the product burn-down chart and the sprint burn-down chart. In a 4 week iteration, with a Sprint Goal I can see were the Sprint burn down has a place. My bigger issue lies with the Product Backlog burn-down chart. However, once the estimate gets out there, once it becomes known the team estimates the project at 100 points of work people start ask questions when the number changes.
Burndown Analysis for Managing Productivity & Schedules Abstract Managing the productivity and the schedules on a project is always a big challenge for a project team due to the complexities involved in taking the decisions fast. In this paper, we attempt to use the “Burndown” information to address this issue. We show in this paper, how a Burndown chart comes in handy when a Project team is faced with the tough questions on the issues pertaining to Schedule Compressions, Resource Management and Productivity Enhancement. As a part of this effort, we also extend the usage of the Burndown charts from the team level to the individual level. Starting with a brief introduction in section 1, the paper proceeds with a quick definition of the Burndown charts, and then presents our approach towards their analysis and the usage in the productivity and the schedule management activities. Introduction Variance analysis pertaining to productivity and schedules is one of the important issues the project teams address very frequently. Burn-Down Charts 1. 2.
Scrum Breakfast: Towards a better burn down chart One of the most important advancements of Scrum and XP compared to other frameworks is the use of a burn down chart rather than milestones to measure progress. It is simple and clear, measures real progress, but has one problem, how do you show scope changes? Jürgen at ASD recently summarized a couple of alternatives for maintaining the release burn down chart . I suppose every Scrum Master has their way of doing things, so here's mine... What is a a burn down chart? As a pilot, I like to think of a burn down chart as being like the glide path of an airplane on final approach. A burn down chart tracks how much value has yet to be delivered. What if your won't make your deadline? So if you have a total of 120 Story Points and you finish 10 Points in the Sprint, you would expect to need 12 Sprints to complete the project. Improving your velocity is like increasing your rate of decent. Tracking Scope in the Burn Down Chart A Better Burn Down Chart Progress is graphed on a burn down chart.
Why an Agile Project Manager is Not a Scrum Master A reader asked why the lifecycle in Agile Lifecycles for Geographically Distributed Teams, Part 1 is not Scrum. It’s not Scrum for these reasons: The project manager and product owner start the release planning and ask the team if the release planning is ok. The team does not generate the initial draft of release planning itself. I didn’t mention retrospectives or backlogs in my examples so far, because I took them for granted. The real difference is the difference between a Scrum Master and an Agile Project Manager. A Scrum Master has only allegiance to the team. But agile provides transparency when the organization asks the agile project manager to do something stupid, so it’s easier to retain your integrity as a project manager. Want to move a feature higher in the backlog? Want to change the velocity of the team to please some crazed manager? Agile makes it easy to protect the team. Cut corners on quality? Help a team go faster? I have nothing against Scrum Masters.