Prévention : OPTIGEDE Aller au contenuAller au menuRechercheAller au pied de page Déchets : outils et exemples pour agir Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie Espace privé Accueil OPTIGEDE / Outils - Méthodes Imprimer N'imprimez cette page que si nécessaire et utilisez si possible l'impression recto-verso ainsi que le mode noir et blanc de votre imprimante Outils - Méthodes Le site OPTIGEDE propose des outils et méthodes, et des retours d'expériences sur les thématiques de la prévention et de la gestion des déchets. Tableaux de bord de la prévention Dans le cadre du Plan National de Prévention, l'ADEME publie, depuis 2006, un tableau de bord comportant : des indicateurs, des résultats d'études spécifiques, des exemples illustrant la diversité des actions menées dans l'année. Le dernier bilan est disponible en téléchargement dans la médiathèque de l'ADEME (version française bilan 2012) Les bilans des années antérieures sont disponibles en téléchargement : - tableau de bord 2011 (pdf - 4.56 Mo)
Propreté publique et déchets sauvages — Présentation Le thème central de l’appel à projets est « Propreté publique et déchets sauvages ». Cet appel à projets est organisé par la Direction générale opérationnelle de l'Agriculture, des Ressources naturelles et de l'Environnement (DG03) de la Wallonie. Il vise à financer des actions originales et novatrices pour prévenir, réduire et gérer les déchets sauvages. Une action en matière de propreté publique efficace combine trois volets : Information / sensibilisation / formation.Opérations de nettoyage et équipements utiles pour la collecte des déchets sauvages et le nettoyage de sites.Répression. Cet appel à projets s’attache à développer et renforcer plus particulièrement les volets « information - sensibilisation formation » et « équipements – outils ». 3 axes complémentaires Concrètement, cet appel à projets s’articule autour de 3 axes complémentaires : Axe 1 - Equipements et outils visant à renforcer l’aménagement d’espaces publics Axe 3 : Dispositifs d’évaluation Lieux prioritaires
Déchets : DuPont atteint le "zéro mise en Le géant de la chimie a réduit de 36 700 tonnes à 0 la quantité annuelle de déchets mis en décharge par sa filiale Building Innovations. Ce résultat marque l’aboutissement du programme “Drive to Zero” lancé en 2009. Celui-ci répondait à une demande forte de sa clientèle pour des fournisseurs plus verts, face au problème croissant des déchets du bâtiment. Le chimiste DuPont a réduit de 36 700 tonnes à zéro la quantité de déchets mis en décharge par l'une de ses filiales en recourant à un outil de cartographie des gisements de déchets et à un programme de réingénierie pour inventer des débouchés viables. Le programme a été conduit par une équipe transversale aux différentes activités de DuPont Building Innovations, qui regroupe 15 sites industriels dans le monde. Dans la même logique, chaque activité a développé ses propres débouchés. Par cette démarche "zéro décharge", DuPont Building Innovation ambitionne de redéfinir les standards environnementaux du secteur. Hugo Leroux
Réduire les déchets - Actions des collectivités - L'ADEME vous aide L'ADEME vous propose un dispositif global de formation afin de soutenir les actions territoriales de prévention de la production des déchets. Recensement des formations associées à la prévention des déchets. Guide "Élaborer un plan ou programme de prévention des déchets"Ce guide méthologique (disponible gratuitement via le site optigede.fr.) a pour objectif d'accompagner tout porteur de plan ou de programme de prévention des déchets dans la conception et la préparation de la mise en œuvre de celui-ci. Afin de susciter sur l’ensemble du territoire des politiques cohérentes, concrètes et récurrentes de prévention, visant le grand public et les acteurs économiques, sous pilotage des collectivités territoriales et locales l’ADEME a développé L'ADEME a adapté son dispositif d’aides financières pour pouvoir soutenir des priorités majeures du Grenelle que sont les opérations de prévention, ainsi que la mise en place de la tarification incitative.
Formulaires OWD Questionnaire annuel adressé aux communes portant sur les statistiques et la taxe favorisant la collecte sélective des déchets ménagers Dans le cadre de l'article 5, §1, 1° de l'AGW du 17 juillet 2008 relatif à l'octroi de subventions aux pouvoirs subordonnés en matière de prévention et de gestion des déchets, chaque commune de la Région wallonne est tenue de transmettre annuellement à l'Office wallon des déchets les informations relatives à la collecte, à la valorisation et à l'élimination des déchets ménagers générés sur son territoire. Par ailleurs, le décret fiscal du 22 mars 2007, chapitre VII, article 27, §1, organise une taxe sur les déchets ménagers collectés et déclarés par les communes lorsqu'elles dépassent une quantité annuelle allant de 240 à 200 kg/hab , selon le nombre d'habitants et l'année de taxation et impose aux communes le transmis d'une déclaration fiscale.
Un cadre une méthode La Matrice des Coûts® est un cadre de présentation des coûts du service public de gestion des déchets élaboré par l’ADEME. Ce cadre permet de détailler pour chaque flux de déchets les charges et produits associés, afin d’évaluer avec précision les coûts réels de gestion. Intégrée dans SINOE®, elle permet d’accéder immédiatement à de nombreux indicateurs pertinents (Cf. onglet SINOE®). Les atouts de la Matrice des Coûts® : Adaptabilité : cadre homogène entre collectivités s’adaptant à leurs contextes et besoins, Fiabilité : règles de remplissage communes et pérennes permettant un suivi de l’évolution des coûts et un positionnement par rapport à d’autres collectivités, Reconnaissance : la Matrice est approuvée par de nombreux acteurs : collectivités, syndicats professionnels, associations environnementales… Précision : expression des coûts en €, en € / habitant, en € / tonne et par flux de déchets. Les atouts de ComptaCoût® : La Matrice des Coûts® : ComptaCoût® :
IVCIE Qualité agronomique et sanitaire des digestats Résumé : En France, la méthanisation est une filière en plein essor. Le digestat issu de ce procédé est une nouvelle matière organique résiduaire à épandre en retour au sol. La connaissance des impacts de la digestion sur les propriétés agronomiques et sanitaires des matières organiques n’est pas assez précise, de l’impact du retour au sol des digestats sur les propriétés des sols non plus. Cette étude bibliographique de portée européenne a pour but de remédier à ce manque de connaissances. Enfin, Cette étude fait ressortir les besoins d’acquisition de certains paramètres afin de mieux caractériser les digestats et définir ses potentiels d’utilisation. Public : Cette étude est à destination : des producteurs et utilisateurs de digestats, des prestataires de services de cette filière, lors de montage de projets, des acteurs de la normalisation de matières fertilisantes et supports de culture. Octobre 2011 - 21x29,7 - 250p. Téléchargement(s) gratuit(s) :
Et si on mettait l’argent ailleurs que dans nos poubelles ? Du 19 au 27 novembre 2011 a eu lieu la Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD) dans les 27 pays de l’Union européenne. L’occasion pour les associations de protection de la nature et de l’environnement de convaincre les citoyens que l’augmentation du poids de nos poubelles, qui en augmente le coût de traitement, n’est pas inéluctable. Cependant, mobiliser les citoyens n'est pas chose facile quand la majorité des parlementaires tarit chaque année un peu plus le financement des actions de réduction des déchets . Plus d’une centaine d’actions associatives en France métropolitaine et d’outre-mer De la réduction des emballages en magasin au troc de livres en passant par des projets pédagogiques en écoles, les associations n'ont pas manqué pas d’idées pour montrer ce qu’il est possible de faire pour réduire ses déchets. La croissance du volume de déchets à traiter et des coûts de gestion n’est pas inéluctable Télécharger le dossier de presse en format PDF.
Déchets radioactifs à vie longue : à quand le débat public ? Marina Julienne , le 08 Février 2009 dans Analyses Sur une quarantaine de communes candidates pour accueillir un stockage des déchets radioactifs de faible activité à vie longue, trois devraient incessamment être retenues par le ministère de l’environnement. L’information du public débutera après… Au mois de juin 2008, l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) lançait un appel à candidature pour la recherche de site(s) de stockage pour les déchets de faible activité à vie longue (FA-VL). La durée de vie de ces déchets ne permet pas leur stockage dans les centres de surface de l’Aube. L’Andra étudie un stockage en sub-surface à faible profondeur dans une couche géologique peu perméable (essentiellement de type argileuse ou marneuse) et d’épaisseur suffisante (au moins cinquante mètres). Un peu plus de trois mille communes, sélectionnées pour la qualité de leur sol « a priori géologiquement favorable », ont été sollicitées. (1)
Probabilité accident Nucléaire (JORION 18 MARS 2011) Le Troubled Asset Relief Program (TARP) aux Etats-UnisLa centrale nucléaire de FukushimaRisque financier et risque nucléaire : la complexité de nos créatures dépasse notre capacité à les comprendre pleinementNous attribuons une confiance excessive aux modèles mathématiques Note : J’ai proposé à la discussion la question suivante (1), Quelle est la probabilité durant une année quelconque qu’il y ait un accident nucléaire majeur, connaissant la probabilité d’accident majeur par réacteur et le nombre de réacteurs en service ? Comme je n’ai plus fait de combinatoire depuis longtemps, je demandais aux commentateurs de me corriger si nécessaire. eneite (2) m’assure que ma formule est correcte, je la reproduis donc ici. R = risque d’accident majeur durant une année xp = probabilité d’accident sur une année pour un réacteurn = nombre de réacteurs R(n) = 1 – (1-p)^n Disons que le risque pour un réacteur est d’un accident majeur tous les cinq mille ans. (2) Eneite : « Je ne vois pas d’erreurs.
Une technique qui n’est pas « anodine » En 1986, une gigantesque bulle de CO 2 , piégée naturellement sous les eaux du lac Nyos, au Cameroun, remonte à la surface et provoque la mort de centaines de riverains. Pour les associations écologistes comme France Nature Environnement (FNE), ce drame est bien la preuve que le gaz carbonique – bien que présent dans l’atmosphère et qui n’est ni explosif ni inflammable – présente une réelle dangerosité. « Le gaz carbonique est toxique si sa concentration dans l’air dépasse 5 % », rappelle Marie-Laure Lambert, de FNE. Si pour Pierre Toulhoat, directeur scientifique de l’Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques), le parallèle entre le captage-stockage sur CO 2 (CSC) et le phénomène camerounais « n’est pas très pertinent », il n’en demeure pas moins que cette technologie n’est pas une « opération anodine » du point de vue environnemental. « Tout ce qui concerne le transport est crucial », estime ainsi Pierre Toulhoat.