VIDEO. Il y a 70 ans, le massacre d'Oradour-sur-Glane Cet article date de plus de sept ans. Publié le 10/06/2014 10:06 Mis à jour le 10/06/2014 10:21 Durée de la vidéo : 1 min. Article rédigé par Le Premier ministre se rend, mardi, dans ce village de Haute-Vienne pour participer à l'hommage aux 642 victimes de cette tragédie. Il y a soixante-dix ans jour pour jour, 642 civils, hommes, femmes et enfants, étaient massacrés à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) par la division SS Das Reich. Selon le programme communiqué par Matignon, Manuel Valls, accompagné par le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et à la Mémoire, Kader Arif, arrivera à 15 heures dans le village martyr. Longtemps embryonnaires, les investigations relancées outre-Rhin ont débouché en début d'année sur l'inculpation d'un Allemand de 88 ans pour sa responsabilité dans ce qui restera comme la pire tuerie perpétrée sur le sol français par les troupes nazies. Partager :
Des fouilles archéologiques au Struthof, le seul camp de concentration français "Même si ce ne sont que des objets anodins, des boutons de manchette ou de pantalon, c'est déjà énorme, car cela donne une chair et une présence aux bourreaux", explique Frédérique Neau-Dufour, directrice du Centre européen du résistant déporté (CERD), lieu de mémoire érigé à l'entrée du camp de Natzweiler-Struthof. 17.000 déportés au Struthof entre avril 1941 et septembre 1944 D'avril 1941 à septembre 1944, le camp, construit en Alsace annexée sur le site d'une station touristique de montagne, a reçu quelque 17.000 déportés, 52.000 en tenant compte de la nébuleuse d'annexes regroupées de part et d'autre du Rhin. Au pied de l'imposant mémorial national de la déportation qui leur rend hommage et surplombe le camp, une tranchée d'une soixantaine de mètres, creusée par une équipe d'archéologues alsaciens, a permis de localiser une baraque administrative utilisée par les officiers SS. "Des objets intimement liés au quotidien des SS" Le camp du Struthof (26 avril 2015) © Émile Pol / Sipa
JVH #6 - L'imaginaire de la seconde guerre mondiale | Jeu video - histoire - education - Romain Vincent La seconde guerre mondiale dans les jeux vidéo fantaistes. Dans le dernier JVH nous avons étudié des jeux portant sur la seconde guerre mondiale, et vous avez été beaucoup à m’en conseiller d’autres utilisant ce confit comme références dans un univers fictionnel. Et c’est ce qu’on va faire aujourd’hui en croisant deux œuvres, Killzone un FPS occidental et Valkyria Chronicles, un tactical RPG japonais, et on va commencer par étudier ce que l’on appelle le péritexte, c’est à dire entre autres, l’ensemble des illustrations qui entourent une œuvre : Les covers de Killzone mettent en avant la figure d’un ennemi sans visage et le personne que vous contrôlez n’apparaît pratiquement pas. Celles de Valkyria Chronicles en revanche, les héros sont mis en valeur, sont en mouvement, ce qui donne un côté dynamique et épique à l’ensemble, ce que l’on retrouve sur son écran titre tandis que celui de Killzone colle avec l’ambiance froide et impersonnelle du jeu.
Nuremberg : des images pour l'histoire À l'été 1945, les autorités américaines chargent deux jeunes soldats, Budd et Stuart Schulberg, de rassembler des preuves visuelles attestant des crimes nazis, en vue du procès contre vingt-quatre dignitaires du IIIe Reich qui se prépare à Nuremberg. Fils d'un producteur éminent, déjà rompus aux métiers du cinéma, ils doivent (sous l'égide du cinéaste John Ford, chef de l'Office of Strategic Services, OSS) étayer l'accusation du procureur en chef Robert Jackson. En quatre mois d'enquête à haut risque à travers l'Europe dévastée, les Schulberg parviennent à sauver de la destruction des centaines d'heures d'images, en grande partie réalisées par les nazis.
Albert Camus sur Hiroshima. L'éditorial de Combat du 8 août 1945 On nous apprend, en effet, au milieu d'une foule de commentaires enthousiastes que n'importe quelle ville d'importance moyenne peut être totalement rasée par une bombe de la grosseur d'un ballon de football. Des journaux américains, anglais et français se répandent en dissertations élégantes sur l'avenir, le passé, les inventeurs, le coût, la vocation pacifique et les effets guerriers, les conséquences politiques et même le caractère indépendant de la bombe atomique. Nous nous résumerons en une phrase : la civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l'utilisation intelligente des conquêtes scientifiques. En attendant, il est permis de penser qu'il y a quelque indécence à célébrer ainsi une découverte, qui se met d'abord au service de la plus formidable rage de destruction dont l'homme ait fait preuve depuis des siècles.
La Shoah à travers la Bande Dessinée Expo BD — Adobe Voice Your report has been submitted. There was a problem submitting your report. Please contact Adobe Support. Report Abuse If you feel that this video content violates the Adobe Terms of Use, you may report this content by filling out this quick form. To report a copyright violation, please follow the DMCA section in the Terms of Use. Embed Authentication CAS nécessaire ! D'Auschwitz, l'histoire de deux albums au dossier « Les 8 mai 1945 », découvrez 6 ressources sur la Seconde Guerre mondiale à l'occasion de la commémoration du 8 mai 1945. « Les 8 mai 1945 »Comment finir une guerre ? Ce dossier « Pour mémoire » présente, au moyen de documents iconographiques et d'extraits de films, la fin de ce conflit. Après deux grandes parties « Finir la guerre » et « Le 8 mai 1945, une guerre froide commencée », découvrez les biographies d'acteurs connus et méconnus du 8 Mai dont les généraux français de Gaulle et Jean de Lattre de Tassigny, Alfred Jodl (un des signataires allemands des actes de capitulation de Reims et de Berlin) et le général américain Walter Bedell Smith. La mémoire du 8 Mai et les autres événements majeurs survenus à cette date sont également développés. D-Day, l'OdysséePartez à la découverte des épaves du débarquement de Normandie, gisant par 20 à 30 mètres de fond, dans les eaux de la baie de Seine. Découvrir le centre de la mémoire.
Elie Wiesel : avoir quinze ans à Auschwitz Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 18 juin 1958 Dans l’émission littéraire Lectures pour tous, Pierre Dumayet s’entretient avec Elie Wiesel. Ce dernier vient de publier un ouvrage autobiographique. Contexte historique Par Emeline Vanthuyne ( Professeure agrégée d'histoire ) Né en 1928 en Transylvanie dans une famille juive d'origine hongroise, Elie Wiesel n'a que 15 ans lorsqu'il est enfermé dans le ghetto de Sighet puis déporté vers le camp d'Auschwitz en mai 1944 avec ses parents et sa jeune soeur. Éclairage média A l’occasion de la publication de son ouvrage La Nuit, Elie Wiesel est reçu par Pierre Dumayet dans l’émission littéraire Lectures pour tous.
Le centre de mise à mort d'Auschwitz-Birkenau by Julien Ferrand on Genially 3e / Histoire => La Deuxième Guerre mondiale : Une guerre d'anéantissement Le centre de mise à mort d'Auschwitz-Birkenau Activité réalisée par Julien Ferrand (Collège Montjoie, Saran, 45) Choix n°1 :Rédiger un développement construit à partir de documentsNiveaux d'acquisition des compétences qu'il est possible d'obtenir au maximum :4 TB Choix n°4 (Réservé aux élèves du dispositif ULIS) :Compléter une carte mentale à l'aide de documentsNiveaux d'acquisition des compétences qu'il est possible d'obtenir au maximum : 3 TB Voir la grille de compétences Levez la main et indiquez à votre professeur le choix que vous avez fait parmi les quatre proposés.Attendez que le professeur vous donne la fiche d'activités correspondante puis cliquez sur le symbole Choix n°3 :Carte mentale à compléter à l'aide de documents + une branche de la carte mentale à développer sous forme de texte Niveaux d'acquisition des compétences qu'il est possible d'obtenir au maximum :1 TB 2S La vie quotidienne dans le centre Vidéo
Retour sur la bataille de Stalingrad Cet article date de plus de neuf ans. Publié le 10/05/2015 16:11 Mis à jour le 10/05/2015 17:59 Durée de la vidéo : 3 min Une équipe de France 2 revient sur l'effroyable bataille de Stalingrad pendant la Seconde Guerre mondiale. Les 70 ans de la capitulation de l'Allemagne nazie ont été célébrés samedi 9 mai en Russie. Aujourd'hui, une immense statue surplombe la colline des principaux combats et les dizaines de milliers de personnes qui y sont enterrées. 16 fois les Allemands ont attaqué, 16 fois les Russes les ont repoussés. Partager : l’article sur les réseaux sociaux les mots-clés associés à cet article Photographs of the atomic bombings of Hiroshima and Nagasaki Figure 1. Probable position of rising cloud at intervals after explosion Figure 2. HIROSHIMA, HIROSHIMA PREFECTURE, HONSHU. JAPAN Figure 3. Figure 4. Figure 5. Figure 6. Figure 7. Figure 8. Figure 9. Figure 10. Figure 11. Figure 12. Figure 13. Figure I4. Figure 15. Flgurs 16. Figure 17. Figure 18. Figure 19. Figure 20. Figure 21. Figure 22. Figure 23. Figure 24. Figure 25. Figure 26. Figure 27. Figure 28. Figure 29. Figure 30. Figure 31. Figure 32. Figure 33 Bridge 0.6 mile southwest of X in Hiroshima. FFigure 34. Figure 35. Figure 36. Figure 37. Figure 38. Figure 39. Figure 40. Figure 41. Figure 42. Figure 43. Figure 44. Figure 45. Figure 46. Figure 47. Figure 48. Figure 49. Figure 50.
Seconde Guerre mondiale Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :Analyser activement les caractéristiques du terminal pour l’identification, Fonctionnalités essentielles, Mesure d'audience, Publicité, Sélectionner du contenu personnalisé