Pas de béton, des jardins !
photo: brassicanigra.org Le texte qui suit a été écrit par R. Vaneigem en soutien à la lutte locale d’un collectif spontané de Turin qui a transformé des terrains laissés dans une triste situation d’abandon en une joyeuse fête des Jardins Potagers de Mirafiori. Ces terres, entourant l’ancienne gare de chemin de fer délaissée par l’incurie du profit, ont retrouvé les couleurs de la vie, mais cela ne plait pas – et pour cause – aux marchands de mort du capitalisme. Ainsi cette lutte continue, sous la menace d’une intervention policière vouée à la défense, aussi symbolique que musclée, d’une propriété privée de tout et, notamment, désormais, privée de sens. La terre appartient à qui la rend meilleure Si une municipalité se montrait soucieuse du bien-être des citoyens, dont elle sollicite les suffrages et qu’elle est donc censée servir et représenter, elle entreprendrait de transformer partout les terrains vagues et les bâtiments inoccupés ou parasitaires en jardins, en potagers, en vergers.
Comment faire pousser des topinambours sur son balcon ?
Comment faire pousser des topinambours dans un pot ? Comment faire pousser des pommes des tampinambour dans un pot ou dans balconnière ? Le topinambour es souvent perçu comme un légume des périodes difficiles. Mais en avez-vous déjà mangé ? En automne, il produit en abondance des fleurs jaunes très décoratives, et comme il atteint 2 à 3 m de hauteur, il pourra constituer un brise-vent des plus efficaces ! Culture de la pomme de terre : Au printemps, plantez les tubercules à 10 cm de profondeur et en les espaçant de 30 cm en tous sens. La récolte : La récolte s’effectue 7 mois après la mise en terre et se poursuit de novembre à mars tant que la terre n’est pas gelée. Comment faire pousser des topinambours dans un bac ou pot de fleur ? Les topinambours que je vais planter .Ce sont les Violet de Rennes: topinambour en forme de poire J’ai poser 3 topinambours et mis par dessus environ 4 à 5 cm de terreau. J’ai mis 3 topinambours dans un pot d’environ 40 cm de diamètre.
La permaculture peut-elle faire vivre des agriculteurs ?
Ni pollution, ni pétrole, ni pesticide. La permaculture apporte des réponses détonantes aux critiques faites à l’agriculture conventionnelle. Elle permet de cultiver beaucoup sur une petite surface, le tout en créant de véritables éco-systèmes cohérents et auto-fertiles. En Australie, en Autriche et en Amérique du Nord les exemples se sont multipliés ces dernières années. Oui, mais cette permaculture permet-elle aux agriculteurs de vivre convenablement de leur travail ? Une première étude réalisée sur le sujet en France vient d’être publiée par le Sad-apt (un laboratoire commun à l’Institut national de recherche agronomique (Inra) et l’école Agro Paris Tech). Téléchargez ci-dessous l’étude complète : Les légumes produits sur la ferme en 2012 - où la météo a été particulièrement médiocre - montrent que l’on peut réaliser au moins 32 000 euros de chiffre d’affaires [1] pour 1400 heures de travail sur une surface cultivée d’environ 1000 mètres carrés. A lire aussi sur Terraeco.net :
appel relocalisation 2012
Alimentation en autarcie
Objectifs alimentaires : On se basera sur un objectif de production d'un kilogramme de nourriture par jour et par personne...En diversifiant les plantations axées sur sept sortes d'aliments à raison d'environ 50 kg de chaque, cela donnera alors 350kg (en arrondissant donc, les 365 kg dont on a besoin, chacun) NB: ces chiffres ont été proposés par Geispe (Après Pétrole) Il faut prévoir un peu moins pour les enfants ou les personnes âgées, qui en général ne sont pas de gros mangeurs, mais peuvent donner des coups de main pour la culture (l'arrosage, l'entretien, la préparation des repas... toutes ces petites choses qui prennent du temps mais qui ne nécessitent pas de force et de célérité...). Il faut prévoir aussi des pertes au stockage en cas de dégâts, des récoltes loupées, insuffisantes ou volées.Et s'il y a des surplus, c'est tant mieux, ils vous permettront de faire plaisir autour de vous ou de les utiliser pour faire des échanges bénéfiques... Le candi de désiré : - 1,3 litres d'eau
Les miracles de la permaculture
,La productivité insoupçonnée de la terre Faites le test autour de vous. Affirmez haut et fort que nous pourrions nous passer des engrais et des pesticides. Ajoutez que l’utilisation de l’espace agricole en France pourrait être optimisée et que les monocultures défigurent une grande partie de nos paysages. Prétendez que nous pourrions produire beaucoup plus, sur de plus petites surfaces, en recréant des emplois en masse. Je ne donne pas cher de votre peau. Et pourtant, ce que l’agroécologie et la permaculture – entre autres – sont en train d’apporter à la réflexion agronomique démontre, s’il en était encore besoin, à quel point cette vision est fondée. Je m’engage aux côtés de Kaizen pour un monde de solutions. Je fais un don Recréer la diversité et l’interdépendance des écosystèmes Depuis quatre ans, ils ont choisi d’appliquer les principes de la permaculture à leur pratique agricole. Quels résultats peut-on observer sur l’exploitation de Charles et Perrine ? Une révolution agricole
Magnifique cité végétale de Luc Schuiten
Le 5 octobre 2009 | Par Anne-Sophie Ses articles Son Twitter Touchée par le virus de l'info & des médias, éco-convaincue de longue date, j'aspire à mobiliser les consciences à grande échelle... La semaine dernière, Grégoire vous parlait du mouvement des villes en transition. Face à l’urgence climatique, deux comportements sont possibles: faire l’autruche et continuer ainsi sans crier gare… ou considérer l’avenir comme une tentative de réconciliation et de coopération avec la nature. Re-végétalisons la ville Pour l’architecte visionnaire bruxellois Luc Schuiten, nous avons trop vite oublié que nous sommes avant tout des êtres biologiques installés sur une planète elle même vivante. Ainsi, à travers différentes perspectives futuristes, évoluant dans le temps, un monde cohérent et poétique, faisant appel à l’imaginaire se construit progressivement. L’ »archiborescence », un nouveau mode de construction ++ Liens ++ ++ Livre ++Vegetal City, de Luc Schuiten, 144 pages couleurs format 24x24cm
Les jardins à thème à visiter à Namur
Outre ses parcs, arboretums, squares et autres espaces verts traditionnels, la Ville de Namur a développé un réseau de jardins à thème. Il en existe cinq qui abordent des thèmes variés : le Jardin des plantes à couleurs, le Jardin des senteurs, le Jardin des deux tours, le Jardin des petits fruits et le Jardin Jean Chalon ou Jardin des symboles. Développer la nature dans la ville, conserver, voire développer la biodiversité et mettre en place un ensemble éco-touristique unique en Wallonie sont quelques-uns des objectifs qui ont guidé la réflexion de la Ville de Namur dans l’élaboration de ces jardins. Tout ce que vous devez savoir pour partir à leur découverte se trouve ci-dessous. Le Jardin des plantes à couleurs C’est sans aucun doute une première que de rassembler sur un seul site un jardin de plus de 130 plantes qui ont le pouvoir de teindre, en particulier nos fibres textiles. En pratique ! Le Jardin des senteurs Un jardin de senteurs est bien plus qu’un simple lieu de promenade.
Permaculture
Le végétal dans la ville : l’élément vital
Le rêve d’une ville réconciliée avec la nature se propage : au XXIe siècle la ville sera végétale, prônent de plus en plus d’urbanistes. Il s’agit notamment d’apporter à la ville les fonctions écologiques de la biodiversité : le végétal tempère le micro-climat, humidifie l’air ambiant et réduit les îlots de chaleur. Lorsque les précipitations sont abondantes, il absorbe l’eau et ralentit la saturation des réseaux d’écoulement. Sur les murs et les toits, il agit comme un isolant. Il filtre l’air de certains de ses polluants et de ses poussières, il atténue le bruit. Source: les cités végétales de Luc Schuiten Le végétal dans la ville, des bienfaits psychologiques et sociaux Depuis 2007, la moitié de la population mondiale est urbaine. Végétaliser les villes est donc une solution: par exemple, lorsque l’on dispose d’un parc ou d’un jardin près de chez soi, on sort, tout simplement [i]. Dans une ville riche d’arbre et de végétal, il semble que le citadin se sente plus en sécurité [vi].