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Neuromarketing : Lire dans le cerveau

Neuromarketing : Lire dans le cerveau
XEnvoyer cet article par e-mail Neuromarketing : Lire dans le cerveau XEnvoyer cet article par e-mailNeuromarketing : Lire dans le cerveau Une évolution, pas une révolution Image à résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), neurosciences, analyses cognitives, marketing sensoriel. Les marketeurs en rêvent, la science y travaille. Protocole complexe et coûteux Réaliser des études neuromarketing n'est en effet pas à la portée du premier venu, et le chemin jusqu'au scanner est semé d'embûches. Moins complexes à mettre en place, d'autres méthodes existent qui se basent elles aussi sur les neurosciences, comme l'explique Michel Badoc, professeur émérite de marketing à HEC : “Il est par exemple possible d'étudier les réactions du cerveau par le biais de la sécrétion d'hormones.” Le cerveau ne ment pas ? Les limites de l'exercice Aussi, les méthodes de marketing traditionnelles gardent-elles leur pertinence ? Par Olivier Faure

Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ? - Xavier Molénat, article Psychologie Dernier-né des transferts entre sciences humaines et publicité, le neuromarketing se présente comme l’outil ultime de manipulation du consommateur. Doit-on craindre que ceux qui explorent notre cerveau puissent un jour commander nos achats ? Le marketing a toujours adoré les sciences humaines. Dès ses origines, comme le rappelle le psychologue Didier Courbet (1), il y a trouvé dans les différentes théories successivement en vogue des éléments pour peaufiner sa conception du consommateur et développer de nouvelles techniques de vente. Alors qu’ils partaient d’une approche rationnelle de l’individu, qui commande de mettre en avant les aspects utiles du produit, les hommes de la mercatique ont ainsi découvert au début du XXe siècle la psychanalyse. À rebours de leur croyance, elle décrit un consommateur aux prises avec son ça, « réservoir des pulsions profondes de l’individu ». Les neurones du Coca-Cola Des applications vagues

inside : marketing olfactif, accompagnement et conseils, parfumerie, diffuseurs Sensi et Eomsens'air... Posté le mardi 25 mars 2014 EMOSENS au coeur de l'Enquête sur le Marketing Olfactif JT de 13 Heures sur FRANCE 2 [...] >> Voir l'actualité Affirmer l’identité de votre marque et diffuser le bien-être dans vos établissements : EMOSENS vous propose une solution sensorielle optimale. En savoir plus Extraire la quintessence de votre univers, choisir votre signature olfactive : EMOSENS vous guide et vous conseille. En savoir plus Plus de 250 parfums d’ambiance, une fragrance «100% sur-mesure»: EMOSENS vous présente sa palette olfactive. En savoir plus S’adapter à vos établissements, aux caractéristiques de vos espaces : EMOSENS répond à vos besoins, avec ses solutions technologiques SENSI & EMOSENS’AIR. En savoir plus

NeuroFocus Uses Neuromarketing to Hack Your Brain Photo by Gene Lee A.K. Pradeep knows what you like and why you like it. Take the sleek, slick iPad. Pradeep is the founder and CEO of science-based consumer-research firm NeuroFocus, a Berkeley, California-based company wholly owned by Nielsen Holdings N.V. that claims to have the tools to tap into your brain (or, as Woody Allen called it, "my second favorite organ"). On this particular spring day, he's in New York to offer a presentation at the 75th Advertising Research Foundation conference. Speaking with the speed and percussive enunciation of an auctioneer, Pradeep is at the conference today to introduce his company's latest innovation: a product called Mynd, the world's first portable, wireless electroencephalogram (EEG) scanner. These corporations share the same goal: to mine your brain so they can blow your mind with products you deeply desire. NeuroFocus CEO A.K. Orange cheese dust. For example, imagine that you are asked to generate an action verb in response to the word ball.

mirane | marketing digital | communication audiovisuelle Dynamique You Love Your iPhone. Literally. But should we really characterize the intense consumer devotion to the iPhone as an addiction? A recent experiment that I carried out using neuroimaging technology suggests that drug-related terms like “addiction” and “fix” aren’t as scientifically accurate as a word we use to describe our most cherished personal relationships. That word is “love.” As a branding consultant, I have followed Apple from its early days as a cult brand to its position today as one of the most valuable, widely admired companies on earth. This past summer, I gathered a group of 20 babies between the ages of 14 and 20 months. Friends who have accidentally left home without their iPhones tell me they feel stressed-out, cut off and somehow un-whole. So are our smartphones addictive, medically speaking? Earlier this year, I carried out an fMRI experiment to find out whether iPhones were really, truly addictive, no less so than alcohol, cocaine, shopping or video games. My best advice?

La démocratisation du luxe Mots-clés : marketing et marques, marketing luxe, étude de marché, industrie du luxe, démocratisation Notre avis : Cette étude de marché très bien documentée apporte une réelle réflexion sur l'industrie du luxe et sa démocratisation. D'une part, un historique complet permet de retracer les origines de cette industrie du luxe qui par définition se veut à part, et d'autre part, une analyse des nouvelles formes de luxe annonce la démocratisation d'un marché qui place son offre face à une demande toujours grandissante. Les trois bonnes raisons de lire cette étude de marché : - Elle permet de comprendre l'antinomie du "luxe accessible"- Le document énonce également les outils et méthodes de communication utilisés par les marques de luxe en fonction de leurs objectifs marketing- Elle repose sur deux cas réels que sont Dior et Chanel À qui s’adresse cette étude de marché ? Depuis plus d’une décennie, le secteur du luxe connaît une véritable mutation. Qu’est ce que le luxe ? [...] [...] [...]

Media Maze: Neuromarketing, Part I Back in the latter half of the nineteenth century, the advertising agency was no more than an ad broker -- a primitive rep firm, really -- buying and selling space in the popular journals and magazines of the time. Over the years, agencies evolved to create advertisements and aid in the development of logos and packaging for products being sold by the companies these agencies represented. By the early twentieth century, shops were devoted to conducting research to determine what copy should be used, purchasing patterns, and consumer behavior. In 1915, J. Walter Thompson hired John B. It wasn’t long before agencies started applying the fruits of the research they'd been conducting to aid in the creation of advertising, as well as the planning and placement of media. Trying to get into the head of the consumer has been a long-time goal of marketers and advertisers. I had a philosophy professor at Berkeley, Wallace Matson, who used to say, “to affect the mind, you must affect the body.”

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