background preloader

Revue sticef.org

Revue sticef.org
Marcel LEBRUN (UCL, Louvain-la-Neuve, Belgique) 1. Introduction Cela fait une trentaine d’années, depuis les débuts de l’EAO (Enseignement Assisté par Ordinateur) dans les années 80 jusqu’à nos jours, que les rapports entre les technologies et les pédagogies font couler beaucoup d’encre. Les causes les plus probables de ces résultats peu probants et peu décisifs, en termes de stratégie institutionnelle, par exemple, sont selon nous : - soit que les objectifs, les méthodes et les évaluations se modifiant par les usages « bien pensés » des TIC (les Technologies de l’Information et de la Communication), la comparaison avec des approches plus traditionnelles est rendue difficile ou caduque, Figure 1. 2. 2.1. Nous souhaitons également mettre en évidence ici un dernier point qui apparaît en filigrane dans ce document. 2.2. - quels sont les outils effectivement utilisés par les enseignants dans l’arsenal des outils proposés par la plateforme ? Figure 2. 2.3. Figure 3. 2.4. 3. 3.1. Tableau 1. 4. Related:  Lectures

Pour une critique phénoménologique de la raison computationnelle / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information Ingénieur civil des Mines de Nancy en 1985, docteur en Informatique de l’Université Paris 6 en 1990, docteur en épistémologie de l’École Polytechnique en 1996, Bruno Bachimont, après des recherches dans le domaine de l’intelligence artificielle en milieu médical (Inserm), rejoint en 1998 l’Ina où il dirige la recherche. Il devient en 2001 enseignant-chercheur à l’Université de technologie de Compiègne (UTC), où il assume la direction à la recherche depuis 2006. Il est également conseiller scientifique du pôle Enseignement et Recherche de l’Ina (Ina Expert). Ses recherches portent sur trois objets : une philosophie de la technique et du numérique ; une approche du document et de la mémoire, pour articuler les possibles de la technique (ingénierie documentaire, préservation numérique) avec une phénoménologie de la mémoire et du passé ; et enfin les ontologies formelles, pour comprendre comment expliciter et formaliser les cadres conceptuels de notre pensée. • Le danger sophistique

La « découverte » des réseaux sociaux Notes Voir, parmi de nombreux autres, Wellman (1982, p. 22), Wasserman et Faust (1994, p. 10), Scott (2012, pp. 29-34). Jacques Coenen-Huther écrit même que l’étude de Barnes « lui confère en quelque sorte les droits d’auteur sur le concept de “social network” » (1993, p. 35). Cette expérience de traduction collaborative n’aurait pas été possible sans les contributions décisives de toutes celles et tous ceux qui ont participé à ses différentes phases, depuis la discussion lexicale préparatoire jusqu’à la dernière relecture lors de la séance du séminaire « Re/lire les sciences sociales » du 8 avril 2013. Que soient donc ici remerciés Yann Calbérac, Johann Chaulet, Samuel Coavoux, Laurence Coutrot, Denis Eckert, Samuel Faure, Mélodie Faury, Sylvain Firer-Blaess, Pascal Froissart, Benoît Habert, Louis Lebrou, Sophie Lefranc-Morel, Grégoire Lits, Pierre Malgouyres, Célia Poulet, Mathilde Provansal, Guillaume Rouvière, Mark Traugott, et enfin Hélène Viot. C’est Moreno qui souligne.

Fonctionnaire auto-entrepreneur Le régime auto-entrepreneur est accessible aux fonctionnaires, qu'ils soient à temps plein ou temps partiel. Les conditions d'exercice varient cependant selon leur situation. La réglementation affirme que : l’intégralité du temps de service du fonctionnaire doit être consacrée aux tâches qui lui sont confiées. D'autre part, son activité privée lucrative : ne doit pas perturber au fonctionnement normal ne doit porter atteinte ni à l’indépendance ou la neutralité du service public, ni à la dignité des fonctions de l'agent. Pour un fonctionnaire à temps plein ou temps partiel choisi Les fonctionnaires, stagiaires ou titulaires, peuvent donc cumuler dans une certaine mesure une auto-entreprise avec leur emploi dans la fonction publique. Déclarer une activité dans le but de créer une activité principale Selon l’activité choisie, le cumul d’activités peut être limitée à deux ans, ou au contraire illimitée. L’avis est ensuite transmis à l’administration qui informe l’agent de sa décision.

European e-Competence Framework Mes 10 prédictions pour 2016 Et c’est parti pour une nouvelle décennie de prédictions. J’ai beaucoup de mal à croire que c’est déjà ma onzième série (cf. 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015), comme quoi, le temps passe plus vite sur le web ! Pour ces prédictions 2016, ne vous attendez pas à des incroyables révélations sur telle ou telle technologie révolutionnaire, car il n’y en aura pas. Nous avons en effet connu ces 2 ou 3 dernières années une avalanche d’innovations, à tel point que le marché est aujourd’hui saturé : les annonceurs n’arrivent pas à suivre la cadence et se replient sur ce qu’ils savent faire de mieux. Bien évidemment, nous ne sommes pas à l’abri d’une percée technologique, mais l’essentiel des innovations technologiques est déjà là. 2016 va donc être placé sous le signe de la rationalisation : mieux appréhender ces différentes innovations et en tirer des améliorations concrètes pour augmenter la visibilité de la marque, les ventes ou la fidélité des clients.

Philosophie 9 octobre, 2010 0 commentaire L’Argus de la presse, partenaire des professionnels de la communication et du marketing, poursuit sa démarche de valorisation des Relations Publics et créé le Think Tank Culture RP. Il s’inscrit dans la continuité du programme Culture RP fondé en 2008, destiné à dynamiser et stimuler la dimension stratégique des relations publics, de la communication et du marketing. Les objectifs du blog Culture RP sont les suivants : - Fédérer les professionnels de la communication & du marketing autour de problématiques et d’enjeux communs. - Organiser et partager des événements autour de thématiques spécialisées. - Informer sur les tendances et nouveautés du secteur, et créer des synergies. - Participer à l’évolution de la profession et des pratiques. L’équipe: Nicolas Jaunet: Directeur de publication de Culture RP et Responsable Communication et Marketing de l’Argus de la presse Ancien contributeurs :

E-learning – Les intervenants (Partie I) « Interflox Website Bonjour à tous, Me voilà reprenant du service avec plein d’idées en tête à vous faire partager et pourquoi pas vous faire profiter de mon expérience dans le domaine du e-learning ? Ce domaine vous intéresse ? Oui, alors suivez le guide… Selon moi le e-learning c’est de la formation à distance qui doit permettre de dispenser des cours tout en s’affranchissant des barrières de localisation et temporelle par le biais des nouvelles technologies. Si l’on extrapole un peu loin cela peut à terme représenter l’ensemble d’un service de formation. Car tout simplement le e-learning est un monde vaste et que les possibilités sont immenses, les innovations en la matière sont là pour en témoigner. Vous devez impérativement vous être posés les questions suivantes avant de poursuivre votre projet (et éventuellement avoir des réponses) : - Pourquoi, quel est le but a atteindre lorsque je démarre mon projet e-learning ? - Quel niveau de e-learning souhaite t-on ? - Quel est le rôle de chacun ? - Combien ? 1.

La pédagogie et le numérique, des outils pour trancher- Ph Meirieu La SIF La Société informatique de France – la SIF – est un espace de réflexion, de concertation sur les enjeux de l’informatique, et un espace d’action, d’amplification des actions basées sur le travail de la communauté. La SIF vise à rassembler toutes celles et ceux pour qui faire progresser l’informatique est un métier ou une passion : enseignants, chercheurs, ingénieurs, industriels, consultants, le terme « informatique » s’entendant ici au sens large des sciences et technologies au coeur du numérique. La SIF a vocation à porter au sein de la société la voix de cette science et de ses acteurs et pour cela, à l’instar des sociétés savantes des autres grands domaines, elle vise tout particulièrement à : La SIF est une Association loi 1901, dont la demande de reconnaissance d’utilité publique est en cours. Elle a succédé en mai 2012 à SPECIF. Promouvoir l’informatique, servir et animer sa communauté scientifique Afin d’y parvenir la SIF entend s’appuyer sur les outils suivants : Les partenariats

Quels modèles d’université pour quel type de motivation des acteurs ? Une vue évolutionniste 1 Que dans un article précédent nous avions qualifiées de révolution culturelle académique ; voir De (...) 2 On aurait pu parler des modèles napoléoniens, ainsi que du modèle de Newman, 1851. 3 Quête de récompense monétaire, d’argent via l’obtention de contrats rémunérateurs, via la fondation (...) 1Cet article a pour but de replacer les transformations actuelles de l’université1 dans une perspective historique longue pour mieux comprendre le sens des développements actuels. Nous couvrirons près de mille ans d’histoire avec les simplifications qu’impose ce genre d’exercice. L’objectif est ici d’utiliser l’histoire pour dégager les principaux modèles d’université, c’est-à-dire les différents types d’organisation académique qui ont pu apparaître et se succéder. En parallèle, nous identifierons le type de motivations que ces divers modèles présupposent chez les acteurs de terrain, au premier rang desquels les professeurs et chercheurs. I.1. I.2. I.3. I.4. I.5. I.6. III.1. IV.1. IV.2. V.1.

Evolutions de la recherche d'information : web sémantique, métadonnées... Présentation des principales évolutions en cours et de la notion de web sémantique Les métadonnées : définition, exemples, applications, enjeux XML : présentation, origines, principes, applications La question de l'indexation et de l'avenir des langages documentaires Présentation des principales évolutions en cours et de la notion de web sémantique Quelles sont les principales évolutions qui vont toucher le web, les technologies de l'information et de la mémoire, les outils et méthodes de recherche d'information ? ⇒ Très schématiquement, au moins quatre grandes tendances peuvent être pointées : du côté de l'offre informationnelle (producteurs, éditeurs, sources d'information au sens large) : une plus grande structuration et une meilleure organisation de l'offre d'informations, déjà en marche au travers de différents dispositifs (portails, réseaux collaboratifs, dispositifs d'auto-archivage, etc.). Le "web sémantique" ⇒ Qu'est-ce que le web sémantique (Semantic Web) ? ⇒ Qu'est-ce que le W3C ?

Monter un MOOC : combien ça coûte ? Avec le buzz qui monte rapidement, enseignants et établissements sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans l’aventure des MOOC, et la première question qui vient naturellement à l’esprit est celle du coût. Combien faut-il pour monter un MOOC de bout en bout ? Les chiffres qui circulent sont souvent contradictoires, on entend parfois 400 euros, parfois plus de 100.000 euros. Qui croire ? La question du coût est souvent mal posée, car il n’y a pas de réponse unique. Commençons par revenir sur les principaux lots de travail. Maintenant, il reste à chiffrer un peu tout cela en termes de charge de travail. Pourtant j’avais dit un peu plus tôt qu’on pouvait s’en tirer avec 600 heures de travail. Dans ces deux budgétisations, vous constaterez d’une part que je n’effectue les chiffrages qu’en journées-homme (de sept heures), et d’autre part qu’il doit bien y avoir une quinzaine de postes au total, dont neuf pour l’équipe-projet à elle seule. Scénario 2 : Equipe d’universitaires

Analysis of the Amazon Business Model | Digital Business Models Differentiation in a Crowded Marketplace The non-traditional retailer looks like a traditional retailer but has a more complex model than simply profiting from the mark-up on products and services. The non-traditional retailer profits in different ways, generally by maximizing customer lifetime value instead of a focus on individual transactions. While not every non-traditional retailer is the same, each one is dependent on recurring revenue from its customers because, in general, single transactions are not profitable by themselves. The non-traditional retail business model is more suitable to the digital retailer than the physical retailer, retaining all of the strengths of the traditional retail business model. Physical retailers do retain some advantages over the non-traditional digital retailer, which are again shared with the traditional digital retailer. Apps like Dropbox and Evernote are good examples of freemium businesses.

Analysis of the Apple Business Model | Digital Business Models Differentiation in a Crowded Marketplace The non-traditional retailer looks like a traditional retailer but has a more complex model than simply profiting from the mark-up on products and services. The non-traditional retailer profits in different ways, generally by maximizing customer lifetime value instead of a focus on individual transactions. While not every non-traditional retailer is the same, each one is dependent on recurring revenue from its customers because, in general, single transactions are not profitable by themselves. The non-traditional retail business model is more suitable to the digital retailer than the physical retailer, retaining all of the strengths of the traditional retail business model. Physical retailers do retain some advantages over the non-traditional digital retailer, which are again shared with the traditional digital retailer. Apps like Dropbox and Evernote are good examples of freemium businesses.

Related: