La Zone 51. Base Spatiale ou Projets Noirs ? En Images . Video L’histoire de la zone 51 Bien avant que les médias et les ufologues parlent d’ovnis, la zone 51 était réservée aux essais nucléaires. Elle servait également de site pour les essais de l’armée américaine, les fameux « projets noirs ». Cette zone n’intéresse pas que les ufologues. Ce qui frappe surtout quand on observe les photos, c’est l’absence totale d’activité en surface. La base a été construite par la CIA et n’est utilisée que dans le cadre de projets gouvernementaux. Zone interdite L’endroit est particulièrement aride et désert. Les mesures de surveillance sont impressionnantes : missiles SOL AIR, détecteurs de mouvements enfouis dans le sol, caméras de surveillance… L’espace aérien au-dessus de cette zone est interdit, y compris aux pilotes militaires en manœuvre d’entraînement. Nul ne peut approcher de la zone sans être aussitôt pris en chasse par un hélicoptère et des voitures de surveillance. Alors dans ce cas, pourquoi cette zone fait-elle l’objet d’une telle controverse ?
Pulsar | Astro2009 Un pulsar est une étoile à neutrons tournant rapidement ; c’est tout ce qui reste d’une étoile massive ayant explosé en supernova. Le pulsar émet un rayonnement radio comme le faisceau d’un phare qui balaie l’espace. A partir de ce rayonnement les astronomes tentent de déduire l’âge, la masse et les paramètres orbitaux du pulsar. Des pulsars ordinaires tournent plusieurs fois par seconde et ils ralentissent progressivement avec l’âge, devenant finalement trop faibles pour être détectés. Des astronomes de l’Université de Santa Cruz en Californie ont développé une nouvelle technique pour déterminer les âges de pulsars milliseconde, ces objets dont la rotation est la plus rapide de l’Univers. Pour estimer l’âge d’un pulsar, on s’appuyait jusqu’à présent sur deux paramètres : la période entre deux impulsions et son taux de ralentissement. Les deux chercheurs ont ainsi remarqué que certains pulsars milliseconde qui semblaient être jeunes ont en fait plusieurs milliards d’années.
Interactive modèle 3D des planètes du système solaire et Night Sky Extrêmophile Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Beaucoup d'extrêmophiles appartiennent au taxon des Archaea ou des Bactéries, bien qu'il existe aussi des extrêmophiles eucaryotes unicellulaires et métazoaires, (insectes, crustacés, poissons…). On réserve toutefois le terme aux organismes unicellulaires. Des organismes extrêmophiles peuvent par exemple être isolés de sources chaudes sulfureuses, de cheminées hydrothermales sous-marines, de sédiments, dans les glaces de l'Antarctique ou de l'Arctique, dans des eaux saturées en sel (lac ou Mer Morte), dans des gisements pétroliers… Quelques êtres vivants, appelés polyextrémophiles, cumulent même plusieurs de ces résistances (exemple de Deinococcus radiodurans, Kineococcus radiotolerans, ou de Sulfolobus acidocaldarius). Parfaitement adaptés à ces conditions très spéciales, les extrêmophiles sont rares dans les conditions plus ordinaires. Différents types d'extrêmophiles[modifier | modifier le code] Recherche[modifier | modifier le code] 2007.
Une planète à quatre soleils découverte par des astronomes amateurs Des astronomes amateurs ont aidé à découvrir une nouvelle planète pour le moins inhabituelle. Baptisée PH1, elle orbite autour de deux soleils mais cet ensemble est encerclé par deux autres étoiles. Un système à quatre étoiles qui est le premier de ce type à être découvert. En septembre 2011, des astronomes ont annoncé avoir découvert une planète orbitant autour de deux soleils et rappelant immanquablement Tatooine, la planète imaginée par George Lucas das le film la Guerre des étoiles. Sans surprise, la nouvelle avait alors fait grand bruit avant que d'autres scientifiques ne révèlent quelques mois plus tard, que ce type de planètes était en fait loin d'être rare. Mais des astronomes amateurs viennent de faire encore plus fort. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Baptisée PH1, la planète a été dénichée à quelque 5.000 années-lumière de nous et ferait à peu près six fois la taille de la Terre, soit à peu près celle de Neptune.
Spitzer découvre une planète potentielle plus petite que la Terre Les astronomes de la NASA ont annoncé avoir détecté une nouvelle exoplanète potentielle grâce au télescope spatial Spitzer. Baptisée UCF-1.01, celle-ci est localisée à quelque 33 années-lumière de notre Terre, ce qui pourrait faire d'elle la planète, plus petite que la nôtre, la plus proche de notre système solaire. C'est une découverte inédite qui vient d'être réalisée à l'aide du télescope spatial Spitzer. En effet, au cours des dernières années, de nombreuses planètes orbitant autour d'autres étoiles ont été identifiées. Néanmoins, peu d'entre elles se sont avérées plus petites que la Terre. Or, le télescope spatial qui n'avait jusqu'ici servi qu'à étudier les exoplanètes déjà connues, vient peut-être de permettre d'en découvrir une nouvelle. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Si l'on en croit les premiers calculs des scientifiques, cette exoplanète potentielle, baptisée UCF-1.01, serait située à environ 33 années-lumière de nous.
Photos - Satellite MetOp-B : dans les coulisses du décollage - Maxisciences Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Lundi, à 18H28 heure française, le satellite météo européen MetOp-B a décollé avec succès du cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan. Un évènement que Maxisciences a pu suivre en direct depuis le siège allemand d'Eumetsat qui participe au projet. Reportage. À en croire Philippe Goudy, directeur des programmes d'observation de la Terre à l'Agence spatiale européenne (ESA), le décollage d'un satellite est toujours un moment excitant. Il fait nuit noire à Baïkonour, au Kazakhstan, lorsque MetOp-B, propulsé par une fusée Soyouz, quitte le sol pour se diriger à 28.000 km/h vers son orbite d'arrivée, entre 800 et 850 km d'altitude. Au siège allemand d'Eumetsat, l'organisation européenne qui exploite et distribue ces données satellitaires à travers le monde (dont Météo France), le vacarme assourdissant des moteurs a envahi le hall principal où partenaires et journalistes ont été conviés pour assister au décollage.
Vidéo : la fusée Ariane 5 met deux nouveaux satellites en orbite Vendredi soir, la fusée Ariane 5 a décollé avec succès depuis la base de Kourou en Guyane. Retransmis en direct, le lancement visait à mettre en orbite deux satellites de télécommunications, ASTRA 2F et GSAT-10. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'est un nouveau succès pour Ariane 5. Le premier, construit par Astrium, est destiné à offrir des services de télévision directe au Moyen-Orient, en Afrique et en Europe, et ceci pour une durée de 15 ans. Au total, il a fallu 27 minutes et 44 secondes à Ariane 5 pour qu’elle se sépare des deux satellites de télécommunications et qu'elle les place à des orbites de 28,2° pour ASTRA 2F et 83° pour GSAT-10. Il s'agissait du 209e lancement d'une fusée Ariane.