https://www.businessinsider.com/these-6-corporations-control-90-of-the-media-in-america-2012-6
Related: Destroying Countries • US GOVERNMENTSociété anonyme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir SA. Une société anonyme (SA) est une société de capitaux, ainsi dénommée car sa dénomination sociale ne révèle pas le nom des actionnaires dont elle peut même ignorer l’identité lorsque les titres de la société sont au porteur. Son statut protège partiellement ses actionnaires en cas de faillite. Le statut de société anonyme en France[modifier | modifier le code] Les associés, ou actionnaires, ne sont responsables que dans la limite de leurs apports ;Elle est composée d'au moins 7 actionnaires (L.225-1 C. com.)
Observatoire des inégalités 18 juillet 2006 - L’abolition des droits de succession, qui favorise les rentiers au détriment du travail, est contraire à l’esprit même du capitalisme. Entretien avec Philippe Frémeaux, directeur d’Alternatives Economiques (extrait d’une chronique de France Musique). Warren Buffet, deuxième fortune mondiale, vient de décider, de donner 85 % de sa fortune, à des fondations caritatives, et notamment à la fondation Bill et Melinda Gates, qui finance la recherche médicale et la délivrance de médicaments au profit des populations du tiers monde. Jean de Maillard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Maillard. Jean de Maillard (né le à Saint-Germain-en-Laye) est un magistrat français.
Appel de Genève Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Appel de Genève est une demande émise par des grands magistrats anti-corruption pour un espace judiciaire européen dans le but de lutter contre les malversations financières. 1996 : L'appel de Genève[modifier | modifier le code] En 1996, Denis Robert réunit sept grands magistrats anti-corruption – Bernard Bertossa, Edmondo Bruti Liberati, Gherardo Colombo, Benoît Dejemeppe, Baltasar Garzon Real, Carlos Jimenez Villarejo, Renaud Van Ruymbeke – pour lancer l'Appel de Genève le 1er octobre pour un espace judiciaire européen. Cet appel fait l'objet d'un livre de Denis Robert 'La justice ou le chaos', paru en 1996 chez Stock.
L’économie trafiquante, paradigme de la mondialisation Dater — symboliquement — le coup d’envoi de la mondialisation économique et financière au 15 août 1971 n’est pas seulement un exercice de style. Le Président américain Richard Nixon n’avait certes pas conscience, ni personne d’autre à l’époque, des conséquences et des développements qu’entraînerait sa décision de suspendre la convertibilité du dollar en or. Il n’empêche que cette initiative a fait exploser l’ordre politique et juridique international d’après-guerre, qui reposait sur le contrôle des économies par l’encadrement des monnaies et de la finance. Cet ordre nécessitait l’intervention des États comme régulateurs économiques, sociaux et financiers, dans le cadre d’une coopération internationale destinée à préserver les équilibres mondiaux. Un monde remodelé
Le Groupe des 20 (ou G20), qui se réunit le 2 avril prochain à Londres, cherche à faire croire à l’opinion publique qu’il est sur le point d’assainir la finance internationale Le Groupe des 20 (ou G20), qui se réunit le 2 avril prochain à Londres, cherche à faire croire à l’opinion publique qu’il est sur le point d’assainir la finance internationale et que les paradis fiscaux vivent leurs derniers jours. En fait, les grandes puissances ne s’attaquent qu’aux petits fraudeurs du fisc, mais surtout pas aux magouilles des multinationales. Depuis quelques semaines, les médias du monde entier font leurs gros titres sur la mort des paradis fiscaux. Sous la pression des Américains, des Français et des Allemands, la Suisse, l’Autriche, le Luxembourg, l’Andorre ont promis de collaborer. C’est juré, ils n’accueilleront plus les horribles fraudeurs du fisc.
Les transnationales au centre de la grande évasion La lutte contre les paradis fiscaux est encalminée. Réuni fin juin à Toronto, le G20 a réitéré son intention d’appliquer des sanctions contre ces derniers, mais à partir d’une liste établie par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) qui ne cesse de s’étriquer. Celle-ci ne compte plus que quatorze Etats. « Et encore, les Iles Cook et le Sultanat de Brunei devraient en sortir prochainement. Ils ne restent que quelques confettis représentant 0,2% de la finance offshore alors que les multinationales représentent les deux tiers de la fraude fiscale globale », remarque Jean Merckaert, du Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD). « Pire, note Attac, les pays s’engagent à ouvrir encore davantage les marchés de biens et de services (dont les services financiers !)