Effacer Fukushima Les faits présentés ci-dessous sont réels. Ils ont servi et servent à atténuer l'impact d'informations dramatiques sur l'industrie nucléaire, voire à faire oublier aux hommes qu'une catastrophe de grande ampleur a lieu sur la Terre, celle qui a commencé il y a un an à Fukushima. Toutes les astuces utilisées pour cacher les données, pour minimiser les dangers, pour éviter de reconnaître les responsabilités seront évidemment réutilisables pour la prochaine catastrophe qui ne manquera pas d'arriver bientôt, selon les lois statistiques, à l'un des 440 réacteurs répartis tout autour de la planète. Alors voyons, quelles sont ces astuces ? 1) Effacer les données Au Japon, les données de contamination obtenues via Speedi entre le 11 mars et le 15 mars ont été effacées « par mégarde ». 2) Etre frappé d'amnésie « Je n'ai pas dormi pendant plus d'une semaine, et je ne me souviens de presque rien », a déclaré M. 3) Ne pas communiquer les informations sensibles 8) Diffuser des cartes truquées
Stéphane Hessel : "D'abord, réguler les marchés, ensuite réinstaurer une véritable démocratie sociale" “Il faut réapprendre à s'indigner. Mais pas n'importe comment ni contre n'importe quoi. Tout ne mérite pas l'indignation. Je crains toujours ceux qui s'en prennent aux institutions sans proposer d'alternative. A lire : Indignez-Vous : éditions Indigènes, (3 euros). L'école de Chicago est un groupe d'économistes ultra libéraux qui a imposé sa vision monétariste aux dirigeants dans les années 1980. Cour des comptes : la filière nucléaire française a coûté 228 milliards d'euros Le Parisien | D'après ce rapport de près de 400 pages, qui avait été commandé l'an dernier par le gouvernement après la catastrophe de Fukushima, les investissements publics et privés réalisés depuis le début dans la filière française d'électricité nucléaire, d'un montant colossal, sont néanmoins bien «identifiés», avec une addition «toutes dépenses confondues» évaluée à 228 milliards. Le montant total de la construction des installations nécessaires à la production d'électricité nucléaire est chiffré à 121 milliards d'euros (hors coût de Superphénix), et le parc actuel, composé de 58 réacteurs dont les plus anciens (Fessenheim 1 et 2) sont entrés en service en 1978, a coûté à lui seul 96 milliards. Les dépenses de recherche publiques et privées depuis les années 1950 sont de leur côté évaluées à 55 milliards, soit environ un milliard par an. Les charges futures très incertaines
Communauté européenne de l'énergie atomique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir CEEA. L'Euratom (ou CEEA, Communauté européenne de l'énergie atomique) est un organisme public européen chargé de coordonner les programmes de recherche sur l'énergie nucléaire. Il a été institué pour une durée « illimitée » par le traité Euratom, signé le par les six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), et est entré en vigueur le . Il vise notamment la « formation et la croissance rapide des industries nucléaires » au sein des pays signataires, lesquels cherchaient alors à limiter grâce au nucléaire civil leur dépendance énergétique – notamment après la crise de Suez en 1956 qui avait posé des problèmes d'approvisionnement en pétrole au moment où cette énergie remplaçait le charbon dans l'industrie électrique. Histoire[modifier | modifier le code] Origine et création[modifier | modifier le code] Fusion des exécutifs communautaires[modifier | modifier le code]
Une vidéo géniale sur les dangers d'Internet Nous ne cessons d'en parler, Internet peut s'avérer dangereux, surtout pour les plus jeunes d'ailleurs, pour leur vie future. Aujourd'hui on peut tout trouver sur Internet, via les réseaux sociaux mais aussi via les moteurs de recherche. Facebook, pour ne pas le citer, qui vient d'essuyer un énorme bug qui a eu tendance à faire remonter sur la Timeline des messages privé ou anciens qui n'auraient pas dû apparaître, est évidemment une grosse source d'ennuis si on ne fait pas attention (et beaucoup de gens racontent un peu tout et n'importe quoi sur leur mur) La vidéo ci-dessous est une campagne de sensibilisation aux dangers d'Internet, vous verrez qu'avec seulement un nom, et quelques bras, on peut tout apprendre de vous en quelques instants. Qu'ils soient acteurs ou réels, ce qui arrive à ces gens peut facilement vous arriver si vous ne maitrisez pas votre image un minimum. source Nous vous proposons de lire aussi
Installation nucléaire de base Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir INB. Une installation nucléaire de base (INB) est une dénomination réglementaire française pour une installation nucléaire fixe (par opposition à une installation nucléaire mobile, comme un navire à propulsion nucléaire). Ces installations sont relatives à celles basées en France. Ces installations doivent être autorisées par décret pris après avis de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et après enquête publique. Leur conception, construction, exploitation (en fonctionnement et à l'arrêt) et démantèlement sont réglementés. Définition réglementaire[modifier | modifier le code] Les INB ont été initialement définies en 1963, par le décret no 63-1228[1]. Régime général[modifier | modifier le code] Sont considérés comme des INB : INB intéressant la défense[modifier | modifier le code] Limites de la définition[modifier | modifier le code] Liste et nombre d’INB[modifier | modifier le code]
Japon : Déni atomique L’accident nucléaire de Fukushima a-t-il vraiment eu lieu le 11 mars dernier ? Qui séjourne quelques semaines au Japon, huit mois après la catastrophe, peut franchement en douter. Partout, les mêmes gestes quotidiens, les mêmes sons tintinnabulants dans les transports en commun, la même surface d’indifférence à l’autre et au monde, les mêmes regards qui se dérobent. Comme avant. Les amis laissent juste transparaître de temps à autre une nervosité ne leur ressemblant guère et paraissent soulagés quand les prévisions météo n’annoncent pas de pluie pour le lendemain : pas d’intempéries, donc moins de radioactivité se déposant dans les sols de Tokyo. Les chaînes de télévision n’évoquent que rarement Fukushima et ses conséquences dramatiques, leur préférant – comme d’habitude – ces émissions de préparations culinaires en tous genres, qui convergent inlassablement vers la proclamation tapageuse du « oishiiiiii », autrement dit « délicieux ». C’est que la contestation est loin d’être massive.
Les enseignants sont payés 10 mois divisés par 12..... info ou intox : grosse intox. - Sgen-CFDT MP Hautes-Pyrénées L’idée que les enseignants ne sont payés que dix mois, répartis sur l’année, est très répandue dans le milieu enseignant, et à tous les niveaux. Comme ils ont des vacances plus importantes, leurs traitements seraient fixés au 10/12 de celui des autres fonctionnaires de grade équivalent... Depuis des années, internet propage cette rumeur…. Les services juridiques des syndicats Sgen et Unsa dénoncent cette affirmation qui tourne depuis des années sur internet…. -Le décret du 10 juillet 1948 fixe le montant de la rémunération des fonctionnaires de l’État. -Les professeurs ( des écoles, certifiés, PLP…) font partie · de la catégorie A de la fonction publique de l’État -Les professeurs agrégés font partie · de la catégorie A+. -En application de l’article 20 de la loi 83-634, le montant du traitement est fixé en fonction du grade de l’agent et de l’échelon auquel il est parvenu ou de l’emploi auquel il a été nommé. Conclusion · « Le législateur a tout prévu ».
L'inventaire national des sites miniers d'uranium Désireuse de disposer d’une source d’information complète sur la situation et de mettre celle-ci à la disposition du public, la Direction Générale de la Prévention des Risques (DGPR) du Ministère de l'Ecologie, du Développement Durable et de l’énergie (MEDDE) a demandé à l’IRSN d’effectuer un recensement exhaustif de l’ensemble des anciens sites d’exploration, d’exploitation et de traitement de minerai d’uranium, dans le cadre d’un programme intitulé MIMAUSA (Mémoire et Impact des Mines d’urAniUm : Synthèse et Archives). Ce programme, engagé en 2003, permet de traiter de manière unifiée l’ensemble des aspects associés aux sites miniers, qu’ils relèvent de la réglementation minière (réaménagement de sites, gestion des stériles) ou de la réglementation relatives aux installations classées pour la protection de l’environnement (stockages de résidus). La mise en œuvre du programme MIMAUSA s’articule ainsi autour de deux volets : En savoir plus sur la base de données MIMAUSA. Poser une question