Réduction des coûts : des leviers pour agir maintenant
En période de crise, la réduction des coûts est le levier le plus efficace pour améliorer la rentabilité de l'entreprise. En phase de reprise, elle dope les marges. Voici quatre pistes pour traquer les gisements d'économie. Administrateur NetPME , mise à jour le Chasser le gaspi. Des achats de fonctionnement réduits de 15 à 40 % Selon une étude réalisée en 2010 par le Syncost, le Syndicat des conseils opérationnels en optimisation des coûts, si les grands groupes ont naturellement recours aux cabinets spécialisés, les PME se montrent plus frileuses. Attention cependant. Eliminer les frais généraux superflus Les frais généraux représentent généralement 15 à 25 % du CA d'une entreprise. Éplucher les factures est le premier levier à actionner. Rationaliser vos achats Les PME manquent souvent de visibilité sur leurs achats de fonctionnement. Dans une PME, les intervenants dans les achats hors production sont multiples et rendent difficile une vue globale des dépenses.
La boite à outils Marketing
Contribution Développement Durable réalisée par Hélène-Claire Leboutet-Barrell Les actions de communication quelles qu'elles soient (tous supports imprimés ou nouvelles technologies de l'information) ont un impact environnemental significatif : consommation de papiers, d'emballages, d'énergie, utilisation de produits toxiques ou dangereux, production de déchets, pollutions liées au transport… Pour être en cohérence avec vos engagements en matière de développement durable et notamment de respect de l'environnement, il y a lieu de mettre en œuvre des actions nouvelles visant à réduire dans toute la mesure du possible les impacts de vos opérations de communication sur l'environnement. " Il est possible de communiquer efficacement en réduisant les impacts. Eco-communiquer, c’est laisser son empreinte dans les esprits, pas sur l’environnement !" Toute activité économique a des impacts sur l'environnement et la communication n'est pas en marge de ces problématiques. Les mailings postaux.
Maîtrise des coûts : repenser son organisation
Dirigeante de Boomerang Consultants, conseil en amélioration des performances et maîtrise des coûts des TPE-PME La crise perdurant, de nombreuses entreprises rencontrent des difficultés. Si elles pensent spontanément à développer leur chiffre d'affaires ou à fidéliser leurs clients, elles oublient que maîtriser ses coûts et les mettre en adéquation avec ses prix de vente est un facteur différenciant très important. Quelles pratiques courantes? Le modèle le plus répandu repose sur des méthodes utilisées dans le commerce. Notre modèle économique a besoin de changement et il ne faut plus attendre les «solutions» apportées par les politiques économiques successives pour se développer.C'est encore plus vrai quand on constate le nombre croissant de défaillances d'entreprises. Quelle réalité du marché ? Aujourd'hui, le dirigeant subit une pression plus forte des clients qui cherchent à obtenir de meilleurs prix. Comment procéder autrement ? Se poser les bonnes questions pour assurer sa rentabilité
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Calculer un coût de revient : les points clés à retenir
Le coût de revient est un élément très important pour la gestion d’une entreprise, qu’elle ait une activité de production, de négoce ou de service. Toutefois, calculer un coût de revient n’est pas forcément facile à faire. Cet article a donc pour objectif de vous faire comprendre à quoi correspond exactement le prix de revient et de vous donner des conseils pour le calculer correctement. Qu’est-ce qu’un coût de revient ? Le coût de revient correspond à l’ensemble des coûts directs et indirects, fixes et variables, de production et de distribution pour une unité de bien ou de service vendue. Ainsi, pour une opération donnée, la différence entre votre chiffre d’affaires et votre coût de revient correspond à votre bénéfice. L’utilité du coût de revient La connaissance de votre coût de revient est quasiment indispensable pour que vous puissiez chiffrer correctement les devis que vous émettez à vos clients et prospects. Le calcul du coût de revient A. B. C. D. Conclusions sur le coût de revient
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Définition et calcul du coût d'achat
Pour former le coût correspondant à un produit (selon la méthode des coûts complets) on doit regrouper les diverses charges concernant le produit depuis son entrée à l’entreprise sous forme de matière première, jusqu’à sa vente sous forme de produit fini. Le produit va subir un certain nombre d’opérations : approvisionnement, stockage, transformation, et distribution. Le calcul du coût d’achat est la première partie dans le calcul du coût de revient complet, qui comporte en plus du coût d’achat les coûts de production et les coûts hors production. Coût de revient complet = Coût d’achat + coûts de production + coûts hors production Les coûts d’achat représentent tous ce qu’a coûté l’acquisition de marchandise et les matières achetées jusqu’au moment de leurs mise en stock. Le coût d’achat comporte : Le prix d’achat : Prix d’achat hors taxes récupérables, les taxes non récupérables sont à la charge de l’entreprise donc ils font partie du coût d’achat. Les frais autres que le prix d’achat :
Les programmes de fidélité en quête de renouveau - Enquête
Les Français raffolent des programmes de fidélité. Selon une étude publiée en 2005 par ACNielsen, ils n'étaient pas moins de 90 % à déclarer posséder au moins une carte de fidélité au sein de leur foyer. C'est dire si la manne est importante pour les marques. Jusqu'alors cantonnés à un aspect purement technique et opérationnel, les programmes de fidélisation ont subi depuis un ou deux ans un véritable lifting de la part des entreprises émettrices qui vont audelà du simple aspect transactionnel pour s'ouvrir de plus en plus au relationnel. Un phénomène qui touche l'ensemble des stratégies de relation client et qui tend à se généraliser dans les programmes de fidélisation des marques et enseignes, quel que soit le secteur dans lequel elles évoluent. De l'aveu même des principaux opérateurs, le programme à points est adaptable à – presque – tous les secteurs. Pour autant, ce type de programme, bien ancré dans les habitudes des consommateurs, peut-il encore être innovant ?