Captures Anna Malagrida, artiste photographe qui questionne le passage entre l'intérieur et l'extérieur. - 27 janvier 2012 - Un regard certain 27/01/2012 par Typhaine Anna Malagrida est une artiste contemporaine qui travaille la photographie. Elle est née à Barcelone en 1970, elle vit et travaille à Paris et Barcelone. Elle est diplômée de l’École Nationale de la Photographie d’Arles en 1996. Elle est connue pour ses différentes séries « Intérieurs », « Paysages », etc… Elle utilise comme médium la photographie. Dans les oeuvres d’Anna Malagrida, nous retrouvons souvent la fenêtre, comme ouverture sur le monde, qui donne à voir un point de vue. « Point de vue signifie à la fois l’endroit où se situent la vision et son absence, une idée et son contraire. Une autre série de photographies utilise la fenêtre comme sujet. « D’une certaine manière, le travail d’Anna Malagrida évoque l’état d’oscillation fragile et permanente de notre société contemporaine : entre le réel et le virtuel, le naturel et l’artificiel, entre moi et l’autre. » Site de l’artiste :
Arles Ma voiture s’appelle Picasso Ceux qui naissent aujourd’hui de par le monde ont sans doute plus de chance d’entendre, pour la première fois, prononcer le nom de « Picasso » à propos d’une voiture que de l’un des peintres les plus influents du XX e siècle. C’est là le signe de l’extrême porosité actuelle entre l’art et la culture populaire. C’est aussi le résultat d’une longue partie de yo-yo entre High and Low entamée il y a près d’un siècle. On fêtera, en effet, bientôt le centenaire de l’invention du ready-made par Marcel Duchamp. Depuis, le principe qui consiste à s’emparer d’un objet de consommation courante pour l’introduire dans la sphère de l’art a fait florès. Eau, gaz et images à tous les étages Appropriationnisme digital Banalisation de l’appropriation d’une part, hyperaccessibilité aux images de l’autre, la conjonction de ces deux facteurs est particulièrement féconde. Pour une écologie des images Le suicide simulé de l’auteur La petite monnaie de l’art Clément Chéroux
Maurice Benayoun's art installations virtual reality and interactive art works Long time no dig… Seventeen years after the first virtual tunnel: The Tunnel under the Atlantic (1995), linking the Pompidou Centre in Paris and the Museum of Contemporary Art in Montreal, and fifteen years after the Paris New Delhi Tunnel, now is the moment when it is technically possible to think about creating the whole project as it was conceived and imagined by its author Maurice Benayoun. Tunnels Around the World (TAW) telematically connect Media city Seoul 2012, with San Jose, CA, during and after Zero1 biennial, school of Creative Media, City University of Hong Kong, and numerous other sites around the world. New Tunnels, New Digging Tunnels Around the World doesn't mimic the original "digging" tool. It remains a spectacular way to dig into a cultural material. Meeting through Tunnels The original Tunnels constituted ways to meet people after reducing the cultural obstacle made of pictures. The space as and virtual footprint of the diggers mind There is no pre-existing space.
Dreamlands L'universo d'uso - Installazioni - Fabio Mauri L’universo d’uso,2008, è allestita in occasione del Festival della Filosofia all’Auditorium Parco della Musica di Roma. In questa mostra compare un universo intatto nelle sue qualità espressive, come nelle sue profonde incertezze. In sostanza un universo usato, più che indagato. Il problema cosmico e teologico di frequente sembra coincidere. L’artista non risponde, ma non demorde dalla sua attenzione. Come un cacciatore punta gli estremi, cercando di non confondere il bersaglio, con mira e vivo senso del significato di essere esistito. Una mostra che si occupa della morte affrontata a furia di riflessione su la vita. Data e luogo di esposizione 2008 – L’universo d’uso, Festival della Filosofia,Auditorium Parco della Musica, Roma
Installations | Mavideoz blog 36 Ventilators, 4.7m3 Packing ChipsZimoun 2014 Zimoun est un artiste contemporain suisse qui vit et travaille à Bern. Il est principalement connu pour ses sculptures sonores et vient de nous dévoiler une nouvelle installation au sein du Musée d’Art de Lugano en Suisse visible du 26 avril au 11 juillet 2014. Text (excerpt) by Guido Comis and Cristina Sonderegger, published in the catalogue «36 Ventilators, 4.7m3 Packing Chips, 956 Prepared DC-Motors, 691 Cardboard Boxes,…» «[…] Even though the swirling of the polystyrene in the depth of each of the windows is actually limited to that space, we have the impression that the movement is propagating to the whole length of the Limonaia. To the visual effect adds the ticking of chips on the window panes, which could remind a thin but insistent rain. The whirling of the flakes is in fact the product of the of thirty-six ventilators, four in each window.
photos anodines mille fois répétées réunies en une seule by agnesdelmotte Dec 19