FADBEN
De nouveaux défis attendent notre profession. Un accès égal à l’information et à la communication nécessaire pour se former, se réaliser et s’insérer socialement et professionnellement, accès à la fois technique, intellectuel et éthique. L’adaptation des politiques éducatives aux besoins des élèves. La fascination pour les outils accorde une place démesurée et coûteuse à la technologie au détriment des savoirs scolaires info-documentaires qui permettent la construction des connaissances et de l’esprit critique. Une formation garantie pour tous les élèves à la culture de l’information et des médias dans l’enseignement secondaire. Adhérer, c’est penser le métier de professeur documentaliste pour gagner ensemble tous ces défis. Adhérer, c’est aussi un engagement local dans les ADBEN, associations académiques. Adhérer, c’est encore soutenir une fédération active dans ses actions nationales et internationales. Rejoignez les lieux de discussion associatifs.
Digital Natives
“If we hope to head towards a bright future in the digital age, then, it begins with preparing Digital Natives and other young kids to help lead the way.” To be sure, the term “Digital Native” is misleading, because no two Digital Natives are created equal. Each of them has varying degrees of access to digital technologies, literacy skills, and participation within their peer culture. What’s more alarming is the “divide” opening up between those that have access to the network and those without. But that in itself isn’t the whole problem, because having access alone isn’t the solution. While access speaks of the stark contrast amongst the haves and have-nots, digital literacy reveals the difference in those who have the skills to navigate this new landscape and those that don’t. Like many other crucial skills, digital literacy needs to be taught and learned through constant practice. “For these Digital Natives it will only have taken them five years.” 2. 3. 10,000 Hours References:
Savoirs CDI, des ressources professionnelles pour les enseignants documentalistes » Débat sur la profession : ressources
Ajouts du 6 janvier 2012, le débat et la réflexion se poursuivent et s’enrichissent : Gildas DIMIER. « Compétence informationnelle, information literacy, culture informationnelle : un débat actuel aux enjeux éducatifs majeurs » Extrait : Dans le cadre du « Congrès des milieux documentaires » qui s’est tenu à Montréal fin novembre début décembre 2011, l’un des colloques avait pour thématique « Le développement des compétences informationnelles dans l’espace universitaire ». L’occasion de nous intéresser à la notion de compétence informationnelle telle que Vicky Gagnon, une intervenante, nous la présente sur le blog la « Tribune compétences informationnelles » et d’entrevoir les difficultés à dégager un consensus sur sa définition ainsi qu’à en délimiter les contenus. Dimier Gildas. Duplessis Pascal. Le Deuff Olivier. FADBEN.
La bibliothèque apprivoisée
Culture de l’information et politique documentaire : au milieu du gué ?
Les activités principales recensées dans la fiche «enseignant» du Répertoire des métiers de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur[1] comptent deux activités corrélées à la fonction de professeur documentaliste. Elles sont ainsi libellées : ◗ « Contribuer à faire acquérir la maîtrise et la culture de l’information (professeur documentaliste) ◗ Mettre en œuvre la politique documentaire de l’établissement (professeur documentaliste) » On observera qu’en novembre 2011 le professeur documentaliste (re)trouve dans le REME sa fonction de professeur, fonction qui n’apparaît pas dans l’arrêté du 12 mai 2010 définissant « les compétences à acquérir par les professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation pour l’exercice de leur métier ». On n’épiloguera pas sur l’absence de trait d’union entre professeur et documentaliste, susceptible de susciter des débats passionnés dans certains cénacles. Contribuer… avec qui ? Mettre en œuvre… seul ? Des avancées ou du surplace ?
Dossier : Les 50 Twitter à suivre pour une bonne veille pédagogique
Avec la rentrée scolaire, arrive pour les enseignants l’heure des bonnes résolutions ou de la remise en question. Cette année beaucoup ont décidés de commencer à utiliser le pas forcément inutile Twitter , cet outil de communication social qui déchire les passions. Malgré la simplicité « de façade » de l’application beaucoup ne savent pas encore comment l’exploiter au mieux. Pour utiliser au mieux l’outil, vous devez à tout moment vous rappeler que Twitter est un outil de communication sociale et non un outil de communication personnelle (personnal branding). Pour ce faire, plus vous aurez d’amis actifs et « de qualité », plus votre veille et votre flux d’informations sera intéressant. A cet effet, en guise de boite à outil du débutant, nous avons sélectionnés un panel de ce qui se fait de mieux en français pour le monde de l’éducation. Nous imaginons aussi que certains veilleur, pédagogues, enseignants ou institutions vont se sentir lésés par le choix effectués.
- Les Trois Couronnes - Didactique de l'Information Documentation - Pascal Duplessis
La FADBEN a publié le 14 novembre dernier une lettre ouverte adressée aux signataires de deux circulaires récentes pour dénoncer l’utilisation répétée du terme « documentaliste » à la place de « professeur documentaliste » au nom de l’identité enseignante de celui-ci. La circulaire du 14 septembre dernier relative à la professionnalisation des formations pour les étudiants se destinant aux métiers de l’enseignement, fait à 21 reprises la distinction entre enseignant et documentaliste, appuyant ainsi l’idée que les professeurs-documentalistes ne seraient pas des enseignants. Le second texte montré du doigt est l'arrêté du 12-5-2010. Son titre : "Définition des compétences à acquérir par les professeurs, documentalistes et conseillers principaux d'éducation pour l'exercice de leur métier".
Développer la médiation documentaire numérique
Professeur-documentaliste ou professeur documentaliste ?
Nous sommes à un moment crucial où une question essentielle se pose : ne devons-nous pas être détachés du lieu que nous gérons pour ne plus être assimilés à lui ? Nous sommes aux abois face au gâchis qui risque de se produire si nous ne disons pas notre désaccord avec ce qui se profile, au début sournoisement, désormais ouvertement, mais avec tant de mépris. Sous couvert d’une pseudo reconnaissance de notre professionnalisme, on veut nier notre circulaire de 1986 pourtant bien en vigueur et faire de nous des maîtres du temps hors classe et des maîtres de l’espace (celui que financent les collectivités territoriales). L’ambigüité de cette dualité dont joue l’Institution n’est plus tenable. Nous sommes à un point de rupture donc où cette bivalence, qui pouvait auparavant être source de créativité, est devenue un frein à notre mission pédagogique. Quel camp choisir ? A chacun de se positionner, mais ne nous trompons pas de choix. N’ayons pas peur de cette émancipation du lieu. Alors ?
Pour tout savoir sur la curation...
Cela fait déjà plusieurs mois déjà que la « curation », ce nouveau terme à la mode, est l’objet de discussions souvent passionnées entre amateurs et détracteurs. Preuve que le thème est dans l’air du temps, la revue « Documentaliste – Sciences de l’information » de l’ADBS offre dans son dernier numéro un dossier complet sur la question, intitulé : « La curation : entre usages individuels et pratiques professionnelles ». Pour autant, de nombreux internautes n’ont pas encore eu le temps de se faire leur propre idée sur le sujet, ni de tester tous les outils qui existent. Nous avons donc jugé utile de rassembler dans ce billet quelques sites et ressources, qui permettront à leurs lecteurs de mieux connaître les outils et les usages de la curation, mais aussi les polémiques qui existent à son sujet. Pour démarrer : une vidéo pour bien appréhender le sujet Mais pour Christophe, un élément essentiel manque dans cette définition. Deux articles pour découvrir des exemples d’usages de la curation