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Chronologie de l’affaire Dreyfus : faits et débats parlementaires – Assemblée nationale

Chronologie de l’affaire Dreyfus : faits et débats parlementaires – Assemblée nationale
Coll. part. 1859 : naissance d'Alfred Dreyfus à Mulhouse 1870 : occupation de l'Alsace-Lorraine 1894 : arrestation et condamnation d'Alfred Dreyfus 1895 : dégradation du capitaine Dreyfus à l'École militaire à Paris et déportation à l'île du Diable 1898 : publication dans l'Aurore de « J’accuse !... 1899 : procès de Rennes 1903 : relance de la révision par Jean Jaurès 1906 : réhabilitation d'Alfred Dreyfus 1914-1918 : première guerre mondiale ; mobilisation d'Alfred Dreyfus 1935 : mort d'Alfred Dreyfus à Paris 6 octobre 1894 : La Section de statistique (service de renseignements de l'armée soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit non signé adressé à l'attaché militaire de l'ambassade d'Allemagne en France Maximilian von Schwartzkoppen et relatif à l'envoi de documents secrets. Maximilian von Schwartzkoppen 15 octobre 1894 : Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier . Auguste Mercier Photographie Marius Neyroud © Ordre des avocats de Paris

ZOLA DREYFUS, vidéo ZOLA DREYFUS, vidéo Economie et société Justice et faits divers - Archives vidéos Economie et société Justice et faits divers La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 à Paris - Jalons pour l'histoire du temps présent La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 constitue l'une des crises politiques majeures de la IIIe République. Depuis les débuts de la crise économique en France, les différents gouvernements de la IIIe République (la droite libérale de 1930 à 1932 ; les radicaux depuis 1932) doivent faire face à la montée d'une importante contestation politique. Les mouvements antiparlementaires, notamment les ligues d'extrême-droite, connaissent en effet un essor spectaculaire. Au début de l'année 1934, se saisissant de l'affaire Stavisky, l'Action française lance une grande campagne contre le gouvernement des "voleurs et des assassins". Daladier devant être investi le 6 février 1934 par la Chambre des députés, plusieurs associations et organisations appellent à manifester au cours de cette journée. Rassemblés place de la Concorde, les ligueurs, dont certains sont armés, se fixent pour but de marcher sur le Palais Bourbon et d'envahir l'Assemblée nationale.

Le pouvoir de la presse dans l'Affaire dreyfus. - TPE 601 AFFAIRE DREYFUS Durant toute l'Affaire Dreyfus, la presse était dotée d'une grande influence. Le pouvoir qu'elle possède était plus fort que le pouvoir de ceux dans une position traditionnelle du pouvoir politique, comme les membres de la Chambre des Députés par exemple. En fait, les hommes comme Clemenceau, Drumont et Jaurès excerçaient plus d'influence comme journalistes qu'un simple élu. Pourquoi la presse est-elle devenue si importante ? La nature de cette affaire est centrée sur l'opinion publique. La presse a joué un grand rôle dès le début de l'affaire, elle a débuté avec l'arrestation du Colonel Dreyfus jusqu'à son premier procès. Les quotidiens rivalisent d'annonces sensationnelles sur la personnalité de l'ennemi publique numéro un: Dreyfus. Les journaux antisémites ont utilisé l'affaire Dreyfus comme une occasion d'attaquer les Juifs dans l'armée, ainsi que les politiciens Juifs, qui étaient accusés de protéger Dreyfus, tels les Rothschilds.

L'antisémitisme au cœur de l'Affaire Dreyfus L’Affaire Dreyfus, la cristallisation de la haine antisémite en France Au moment de la réalisation de ces documents, la France est marquée depuis 1894 par l’Affaire Dreyfus. D’une simple accusation d’espionnage à l’encontre d’un capitaine de l’armée française, la situation a dégénéré en un scandale politique et judiciaire. « Les monstres » qui soutiennent la cause de Dreyfus. Ces documents appartiennent à une série de caricatures datant des années 1899/1900 et visant à prouver l’immoralité de la cause dreyfusarde. La peur du complot, une base de l’antisémitisme Dans les ouvrages antisémites, comme La France Juive de Drumont, les Juifs sont considérés comme apatrides. Auteur : Vincent DOUMERC 6 février 1934 - Manifestation sanglante à Paris Le 6 février 1934, le radical Édouard Daladier présente à la Chambre des députés son nouveau gouvernement. C'est le prétexte à une violente manifestation antiparlementaire qui va faire trembler la République et susciter en définitive l'union des socialistes et des communistes, jusque-là refusée par ces derniers. André Larané Quatre-vingts ans plus tard... Nous relevons des similitudes entre le 6 février 1934 et le «Jour de colère» du 26 janvier 2014, à Paris aussi : hostilité à un gouvernement de centre-gauche impuissant à juguler la crise économique et affaibli par des affaires de corruption, manifestants majoritairement issus de la droite traditionnelle, mais avec une frange violente venue des extrêmes... Mais gardons-nous toutefois d'en tirer des conclusions. Fracture politique Édouard Daladier a été pressenti le 30 janvier par le président de la République Albert Lebrun pour présider le Conseil des ministres. Les Croix-de-Feu constituent le groupe le plus nombreux de la manifestation.

L'Affaire Dreyfus par Fabrice CAIN Ce texte a paru dans RAK REKA, publication du Département Jeunesse et Hehaloutz de l'O.S.M. en mars 1994 La convocation Le samedi 13 octobre, en début de matinée, le capitaine Dreyfus reçoit à son domicile de l'avenue du Trocadéro une convocation l'invitant à se rendre le lundi à 9 heures, au Ministère de la Guerre : "Paris, le 13 octobre 1894. Cette convocation étonne le capitaine : l'heure est matinale pour une "inspection général", qui d'ordinaire a lieu le soir. Dès son arrivée, il est reçu par le commandant Picquart, de l'Etat Major de l'Armée, qui le fait entrer dans son propre bureau. La dictée La surprise de Dreyfus s'accroît : le général est absent, il il est reçu par un officier étrange et solennel, en uniforme, qui se présente comme "commandant du Paty de Clam". C'est alors que le commandant du Paty, penché sur le capitaine Dreyfus, lui dicte un texte soigneusement élaboré : Paris, 15 octobre 1894. Du Paty poursuit lentement sa dictée : Le bordereau

L'antisémitisme au cœur de l'Affaire Dreyfus Contexte historique L’Affaire Dreyfus, la cristallisation de la haine antisémite en France Au moment de la réalisation de ces documents, la France est marquée depuis 1894 par l’Affaire Dreyfus. D’une simple accusation d’espionnage à l’encontre d’un capitaine de l’armée française, la situation a dégénéré en un scandale politique et judiciaire. En effet, lors de la condamnation à perpétuité de Dreyfus en 1895, peu de français doutent de sa culpabilité et de sa trahison aux profits de l’Allemagne. Analyse des images « Les monstres » qui soutiennent la cause de Dreyfus. Ces documents appartiennent à une série de caricatures datant des années 1899/1900 et visant à prouver l’immoralité de la cause dreyfusarde. Interprétation La peur du complot, une base de l’antisémitisme Dans les ouvrages antisémites, comme La France Juive de Drumont, les Juifs sont considérés comme apatrides.

13 mai 1958 - Alger se révolte Le 13 mai 1958, les Algérois d'origine européenne en appellent au général de Gaulle pour maintenir la souveraineté de la France sur l'Algérie. L'insurrection va avoir raison de la IVe République... et inutilement prolonger la guerre d'Algérie en mettant fin aux espoirs nés quelques mois plus tôt. Sabotage d'une solution politique Au début de l'année 1958, Pierre Pflimlin, député MRP (chrétien-démocrate) de Strasbourg, est pressenti pour la présidence du Conseil. Les gaullistes qui militent corps et âme pour le retour du général de Gaulle au pouvoir encouragent les Pieds-noirs à la sédition. Le 10 mai 1958, Alain de Sérigny, directeur de l'Écho d'Alger, publie un éditorial où il en appelle à de Gaulle pour sauver l'Algérie française que les partis traditionnels et le prochain gouvernement s'apprêtent à lâcher : «Je vous en conjure, parlez, parlez vite, mon général...» Le 13 mai 1958 est le jour de l'investiture de Pierre Pflimlin. Le général Jacques Massu en prend la présidence.

Alfred Dreyfus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dreyfus. Alfred Dreyfus, né le à Mulhouse, mort le à Paris, est un officier français d'ascendance alsacienne et de confession juive, victime en 1894 d'une erreur judiciaire qui est à l'origine d'une crise politique majeure des débuts de la IIIe République, l'affaire Dreyfus (1894–1906), au cours de laquelle l'opinion française s'est divisée en deux clans ennemis : les dreyfusards et les antidreyfusards[1],[2],[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Origines et débuts professionnels[modifier | modifier le code] Après l'annexion de l'Alsace-Lorraine par l'Allemagne en 1871, Lorrains et Alsaciens ont la possibilité de partir pour la France s'ils ne veulent pas devenir citoyens allemands. La même année, il épouse Lucie Hadamard (-), issue d'une famille aisée de diamantaires. Le Deuxième Bureau et le bordereau[modifier | modifier le code] Le procès de 1894[modifier | modifier le code]

Journaux dreyfusards et anti-dreyfusards - Ac. Poitiers Journaux Dreyfusards et anti-dreyfusards L'écrasante majorité des journaux de Paris ou de province est antidreyfusarde : à 96% en 1898, 85% en 1899. Les grands quotidiens nationaux : Le Petit Journal, Le Petit Parisien, Le Journal, Le Matin: Quotidiens à grand tirage, s'adressant à un large public, ils restent dans une prudente réserve au début de l'Affaire sans toutefois toujours résister à la tentation antisémite (Le petit Journal). Cependant, après le procès tous deviennent antidreyfusards. jugées abominables par Zola.

13 mai 1958 naissance de la Cinquième République, vidéo 13 mai 1958 naissance de la Cinquième République, vidéo Histoire et conflits Epoques - Archives vidéos Histoire et conflits Epoques Affaire Dreyfus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette affaire est souvent considérée comme le symbole moderne et universel de l’iniquité[3] au nom de la raison d’État, et reste l’un des exemples les plus marquants d’une erreur judiciaire difficilement réparée, avec un rôle majeur joué par la presse et l’opinion publique. Résumé de l'affaire Dreyfus[modifier | modifier le code] Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy. L'état-major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Confusions possibles[modifier | modifier le code] Il ne faut pas confondre dreyfusards, dreyfusiens et dreyfusistes. Contextes de l'affaire Dreyfus[modifier | modifier le code] Témoignages

La formation de l'opinion publique Des centaines de titres Grâce à la loi sur la presse du 29 juillet 1881, très libérale, et aux progrès techniques (impressions rotatives à partir de 1872, composition mécanique par linotype française en 1887), les lecteurs disposent d'une centaine de journaux quotidiens à Paris et de 257 titres en province. Le Petit Journal se vend à un million d'exemplaires ; son supplément hebdomadaire illustré est vendu 5 centimes, avec une couverture en couleurs dès 1890. Les grands titres ont presque tous des suppléments où le ton moralisateur et la théâtralité des illustrations sont en continuité avec la littérature de colportage et inculquent le respect de valeurs modérées (P. Ory). Une affaire d'opinion publique Par la presse, l'affaire Dreyfus se développe essentiellement comme une affaire d'opinion publique ce que souhaite le déporté et ce que met en œuvre son frère Mathieu. La presse antidreyfusarde suivant >>Les brochures et les chansons

» Le 13 Mai 1958 : la journée qui fit tomber la IVème République - Réussir en Histoire et Géographie Le mois de Mai 2008 aura été celui des anniversaires. Après les 40 ans de Mai 68, déjà évoqué dans des articles précédents, voici les 50 ans de la Vème République Voici un lien vers les vidéos de l’INA : Alors qu’en 1958 la Tunisie et le Maroc étaient déjà indépendants, la situation en Algérie s’était gravement détériorée: le Front de libération nationale (FLN) avait lancé une insurrection en novembre 1954, entraînant une escalade militaire. En 1957, quelque 400 000 soldats français étaient présents en Algérie pour y maintenir l’ordre. D’après le site de l’université laval au Québec.

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