untitled Faire garder son enfant n’est pas chose facile. Les places en crèche sont de plus en plus rares, les assistantes maternelles de plus en plus chères et l’offre disponible de plus en plus inadaptée aux contraintes professionnelles des parents. Il est aujourd’hui pratiquement impossible de trouver une solution de garde après 17h00 pour nos quelques compatriotes qui n’ont pas les moyens d’avoir une fille au pair, le tout sans compter les défaillances multiples de l’institution, à commencer par les mouvements de protestation qui agitent régulièrement le milieu ultra-gauchiste de l’éducation nationale contre le redressement général de la Patrie. Heureusement, il existe une alternative qui suscite un vif intérêt chez les braves parents : la garde à vue. « L’annuaire téléphonique est le fondement de notre projet pédagogique », déclare un éducateur. La méthode est exclusivement basée sur le principe du volontariat. Kévin, 14 ans, sort de garde à vue.
3e : Musique et Arts du langage (Chansons engagées) Dernière séquence avant l'épreuve orale d'Histoire des arts au Brevet. Mes élèves étant très irréguliers face à la préparation de cette épreuve, j'essaie de booster les âmes égarées avec un cours présenté sous une forme moins académique (du moins je l'espère). J'ai préparé une présentation PowerPoint que je projette au tableau, sur laquelle ils ont le cours, les fichiers sons, l'iconographie, les paroles, l'analyse et des consignes d'exposé oral réunies. Elles ont été postées dans le cahier de textes numérique. C'est que je suis de jury au Bac option facultative toute la semaine précédente. Je me propose de faire écouter 4 chansons du XXème siècle, dites "engagées". Pour l'étude approfondie de ces chansons, il faut aborder le contexte de composition, la portée, les transformations qu'elle a pu subir ultérieurement, et passer à l'analyse complète du rapport texte-musique. 1ère écoute : Bella Ciao, interprétée par Zebda (groupe français engagé né dans les années 90).
"Roué de coups par des policiers à une fête chez moi" Des confettis sur des pavés (David Sifry/Flickr) La soirée était organisée chez moi, dans le quartier de la Goutte d’or, boulevard Barbès à Paris. Nous étions une trentaine. Vers trois heures du matin, une de mes colocs vient me voir en me disant que des policiers lui ont hurlé dessus, alors qu’elle avait ouvert une des fenêtres, en lui demandant de « grouiller son cul » (sic) pour lui ouvrir la porte du bas, qui nécessite des codes. On éteint la musique et on entend en bas les policiers qui frappent violemment à la porte. Etrange. lls n’ont pas un passe ? Je répète aux policiers que je vais leur présenter les cartes d’identité Ils nous poussent et montent au premier étage au pas de course. Nous arrivons, nous leurs disons que c’est nous qui habitons là. Un policier veut rentrer dans l’appartement, on lui dit qu’il n’en a pas le droit. Roué de coups, menotté au sol Vu la violence de leur propos, on leur demande leur matricule, leur nom et toujours la raison de leur intervention.
Les classiques de la pub - Les airs de musique classique dans la publicité 14 ans, en garde à vue en pyjama France Info, décidément à la pointe sur la question de la garde à vue (c’est le chef de son service police-justice, Matthieu Aron, qui a révélé que les statistiques officielles étaient grossièrement maquillées à la baisse en ignorant les gardes à vue pour délits routiers, au nombre de 200.000), sort une nouvelle info aujourd’hui. C’est une info anecdotique, un cas individuel, mais qui selon les responsables de la radio d’information est révélateur de la dérive actuelle. Son récit peut être entendu sur cette page (cliquez sur “Récit d’une garde à vue en pyjama à 14 ans Par Grégory Philipps”, Flash® nécessaire). Un responsable syndical de Synergie, interviewé sur l’antenne (toujours sur cette page, cliquez sur ” La version de Anne, démentie par Mohammed Douhane, commandant de police et membre du syndicat d’officiers de police Synergie”) il y a une heure environ a démenti les propos de la jeune fille. Tout cela appelle un commentaire de ma part. Et pour finir, une réflexion plus générale.
Barbarie française Le Père peinard, n°45, 12 janvier 1890 Y a des types qui sont fiers d'être français. C'est pas moi, nom de Dieu ! Quand je vois les crimes que nous, le populo de France, nous laissons commettre par la sale bande de capitalistes et de gouvernants qui nous grugent — eh bien, là franchement, ça me coupe tout orgueil ! Au Tonkin par exemple, dans ce bondieu de pays qu'on fume avec les carcasses de nos pauvres troubades, il se passe des atrocités. Chacun sait que les Français sont allés là-bas pour civiliser les Tonkinois : les pauvres types se seraient bougrement bien passés de notre visite ! Ah nom de dieu, il est chouette le système qu'emploient les Français pour civiliser des peuples qui ne nous ont jamais cherché des poux dans la tête ! Primo, on pille et chaparde le plus possible ; deuxiémo, on fout le feu un peu partout ; troisiémo, on se paie de force, pas mal de gonzesses tonkinoises — toujours histoire de civiliser ce populo barbare, qui en bien des points pourrait nous en remontrer.
La police intervient dans un cinéma pour 1 canette de soda - OZA La police est intervenue à l'UGC Opéra à Paris. Les interventions des forces de l'ordre dans les cinéma commenceraient-elles à devenir monnaie courante ? Après avoir délogé d'un cinéma une famille et son enfant de moins de trois ans au cinéma UGC Ciné-Cité des Halles à Paris il y a quelques jours, la police a une nouvelle fois été contrainte d'intervenir dans une salle de cinéma. Et encore une fois, le motif de l'intervention est sujet à polémiques. Trois policiers se sont en effet présentés dans une salle parce qu'un spectateur était entré dans le cinéma... avec un canette de soda achetée à l'extérieur du complexe ! C'est une spectatrice assistant à la projection en question qui a témoigné de la scène sur le site Rue 89. Face à la disproportion des moyens déployés au vue du délit commis, les spectateurs de la salle auraient alors pris le parti du couple en question et sifflé copieusement la police et le directeur.
La justice am ricaine autorise la torture des "non-personnes" - suite Un petit rappel historique pour mémoire, source wikipédia. L’influence du mouvement eugéniste sur la législation s’est traduite dans trois domaines principaux : la mise en place de programmes de stérilisations contraintes, le durcissement de l’encadrement juridique du mariage et la restriction de l’immigration qui constitue un de ses principaux champs d’intervention aux États-Unis. Le premier pays à adopter une législation eugéniste fut les États-Unis où ce type de dispositions relève de la compétence des états. En 1907, l’État d’Indiana autorise la stérilisation de certains types de criminels et de malades. Pendant l’entre-deux-guerres, plusieurs États européens votent à leur tour des textes similaires : la Suisse en 1928, le Danemark en 1929, la Norvège et L’Allemagne en 1934, la Finlande et la Suède en 1935, l’Estonie en 1937. Le comte Georges Vacher de Lapouge, né le 12 décembre 1854 à Neuville de poitou et mort le 20 février 1936 est un antropologue français.
LOPPSI : une loi martiale pour Internet La loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI) va finalement être discutée _en urgence_ à partir du 27 janvier… ou comment s’entêter dans la stratégie de l’échec. Il faut reconnaitre une certaine opiniâtreté à Nicolas Sarkozy… notre président a le don de faire des boulettes, et de les faire vite … c’est un don inné chez lui. LOPPSI dans de telles conditions entérine définitivement l’idée que le Gouvernement déclare la guerre à nos libertés fondamentales. Il y a bien évidemment derrière cet empressement une stratégie politique d’asphyxie du débat parlementaire. Échaudé par l’échec cuisant d’HADOPI 1, le gouvernement a donc fait le choix de prendre les parlementaires pour des cons de vitesse en leur laissant un délai très sensiblement réduit pour déposer des amendements, la limite de dépôt est donc fixée au samedi 23 janvier. Si vous pensez que j’exagère, je vais vous expliquer ce que prévoit LOPPSI avec des mots très simples :