J’ai le pouvoir de refuser d’être victime! | J'Arrête de Râler Quand nous nous sentons victime de notre patron, de notre emploi (ou de notre manque d’emploi), de la crise, de la politique, de notre conjoint, de notre famille, vous remarquerez que nous nous sommes bien souvent mis nous-mêmes dans cette position de victime dans nos conversations. Nous mettons souvent en effet beaucoup d’énergie à dire que ce n’est pas notre faute et que c’est la faute de l’autre si nous sommes dans cette galère ( la faute de notre conjoint, de nos enfants, de notre patron, de notre collègue, du Président, de l’administration, des fournisseurs de services). J’ai moi-même découvert que j’étais parvenue à développer un réel talent pour pointer du doigt les coupables de ma vie. En quelque sorte c’est plaisant d’être victime car si l’autre à tord alors j’ai forcément raison. Si l’autre est coupable alors c’est à lui de trouver une solution au problème, pas à moi. C’est hallucinant je trouve de prendre conscience qu’on peut choisir de faire autrement ! Like this:
8 étapes pour gérer les périodes de doute La vie professionnelle, qu’on soit en poste, en recherche d’emploi, en reconversion, ou en création d’entreprise, nous réserve suffisamment de hauts et de bas pour que, de temps à autres, le doute insidieux s’immisce par les plus petites fissures de la confiance en soi. Et il se peut même qu’alors on se décourage, qu’on ait plus envie de rester sous la couette en mode hibernation que de prendre la moindre décision ou de poser la moindre action. Voici comment sortir du marécage en 8 étapes. Parce que le futur n’est jamais sûr, toujours en mouvement comme on dit chez les grands sages intergalactiques, aussi il est parfois moins facile de lui (de nous) faire confiance que de se mettre quelquefois à nous interroger sur le bien-fondé de ce que nous entreprenons. Et lorsque le doute s’installe, c’est toute la machine qui ralentit: on en vient à questionner chaque décision, chaque stratégie, à ressasser en boucle nos appréhensions. 1- Admettre que les tripes ont toujours raison… Aller plus loin
13 choses dont vous devez absolument vous souvenir quand tout va mal. La n° 9 vaut de l'or... Nous sommes tous passés par des moments difficiles, au moins une fois dans notre vie. Et nous arrivons tous, tôt ou tard, à surmonter ces difficultés. Cependant, certaines personnes arrivent mieux que d'autres à franchir les obstacles de la vie. Alors, quel est leur secret ? 1. "C'est notre résistance à ce qui est -- et à ce que nous ne pouvons pas changer, qui cause la souffrance" disait Bouddha. 2. Très souvent, nous sommes nous-mêmes notre propre pire ennemi. 3. Nous percevons le monde extérieur comme une projection de notre monde intérieur. 4. Il faut supprimer le mot "échec" de notre vocabulaire. 5. Oui, c'est très dur à croire parfois... 6. C'est un moment unique, que vous ne connaîtrez qu'une seule fois dans votre vie... La plupart des gens vivent avec "l'esprit attaché". 8. Elles peuvent vous enseigner beaucoup. 9. Croyez le ou non, de nombreuses personnes ne se permettent pas à eux-mêmes de s'amuser. 10. 11 Vous n'êtes pas une victime. Vous devez suivre votre propre chemin.
Communication: la dictature de l’obligation Le choix des mots que nous employons n’est pas le fruit du hasard: nous les utilisons par opposition aux autres, parce qu’ils nous semblent appropriés… et moins consciemment parce qu’ils reflètent notre perception de monde. Ainsi, l’excès d’expressions de l’obligation révèle un monde de contraintes imposées à soi-même… et aux autres. Nous ne nous rendons pas compte de ce choix car notre logiciel de communication est ultra-rapide et correspond à une compétence inconsciente: tellement acquise et maîtrisée qu’elle est un automatisme, un mécanisme naturel. Si nous prenons l’exemple des expressions de l’obligation, celui dont le discours en est constellé se soumet à la dictature de la contrainte et l’impose à son entourage avec un totalitarisme affirmé. La dictature des expressions d’obligation “Je ne peux pas te voir samedi: il faut que j’aille voir Mémé Huguette”. Auto coaching: de la fausse obligation à la volonté personnelle Articles relatifs Aller plus loin
10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres Une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes clients, qu’ils soient salariés, indépendants, managers ou chefs d’entreprise c’est d’affronter sereinement le regard des autres. Voici 10 excellentes raisons de ne plus nous préoccuper d’un juge qui existe avant tout dans nos têtes. Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d’entité autonome – les Autres – dont l’œil impitoyable serait à l’affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société. Et comme – curieusement? Du coup, nous passons beaucoup de temps à passer nos comportements au moulin à jugement avant d’agir et l’écart entre ce que nous sommes, ce que nous voudrions bien pouvoir être et l’image que nous nous efforçons de donner se creuse jusqu’à atteindre des proportions dignes du Grand Canyon. Voici donc dix bonnes raisons de se moquer de ce regard fatigant. Voir aussi
La lecture émotionnelle au service de la reconversion professionnelle Nous opposons souvent les émotions, le ressenti, au concret, au tangible. Pourtant, les émotions sont bien plus ancrées dans le concret qu’on ne l’imagine et dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle, elles peuvent être à la fois une source d’information et un critère précieux. Ou un frein, lorsqu’elles sont méconnues. Bref, la lecture émotionnelle est un outil précieux pour arriver à bon port dans nos projets professionnels. Les émotions sont souvent perçues comme des empêcheuses d’agir en rond et beaucoup d’entre nous, nourris à un cartésianisme qui les pousse à chercher leurs réponses dans le concret, le tangible, pensent que les ressentis sont du domaine de l’irrationnel. Pourtant le rôle des émotions est bien de nous fournir des messages concrets sur ce qui est bon pour nous, sur notre bien-être: ce qui le favorise et ce qui le menace (voir: la lecture émotionnelle au service du bien-être). 1- Le plaisir 2- Les états de défense aux émotions Voir aussi
Timidité : l'hormone de la confiance en soi existe Timidité : l'hormone de la confiance en soi existe © Ingram Publishing Des scientifiques canadiens viennent de découvrir que l'hormone naturelle ocytocine permettrait d'aider à combattre la timidité. Vous avez les jambes qui tremblent, des palpitations et des bouffées de chaleur à chaque fois que vous prenez la parole en public ou devant des gens que vous ne connaissez pas ? Pour parvenir à ces résultats surprenants, les chercheurs ont réalisé des tests sur 100 volontaires, hommes et femmes, âgés de 18 à 35 ans sans antécédents médicaux et ne consommant pas de tabac ni de drogues. Alexandre Roux (Source : lexpress.fr)Crédit photo : Ingram Publishing L'Ocytocine, hormone de l'orgasme, de l'amour et du bien-êtreHormones de croissance : pourvoi en cassation des familles« Chaque année la France compte 8 000 enfants autistes de plus »Autisme : les enfants atteints produisent trop de neurones
3 clés pour renforcer la confiance en soi La confiance en soi n’est pas un don du ciel, nous en sommes les artisans. De même, nous avons construit un manque de confiance chronique ou temporaire suite un événement malheureux ou des comportements malencontreux de la part d’autrui. Dans tous les cas, il n’est pas une fatalité, alors sortons nos truelles et marteaux: Martine Teillac, psychanaliste, nous livre trois clés pour renforcer les fondations de notre confiance en nous. Selon Direct 8, 75% des gens manqueraient de confiance en eux. Qui ne s’est jamais senti mal à l’aise face à une situation donnée, le plus souvent sans oser le dire et dont les projets professionnels se sont retrouvés entravés? En ces temps ou la norme nous dicte d’être extravertis et dynamiques, on associe un peu trop vite le manque de confiance en soi avec la timidité. Le malaise qui découle du manque de confiance peut générer une maladresse relationnelle bien pénalisante: 1- le discours intérieur Arrêtons d’exacerber nos défauts et d’oublier nos qualités.
Le langage du corps, selon Birdwhistell Ray Birdwhistell est un anthropologue américain , qui a étudié et formalisé la kinésique, ou le langage du corps. Comme pour les phonèmes ( éléments sonores distinctifs et atomiques ), dans le langage verbal, il propose les "kinèmes", relatifs aux gestes du corps. Il formalisera 50 kinèmes, ou positions du corps. Il est devenu courant de considérer que le langage ne passe pas que par la parole. Mais par tous les gestes autour, ou intonation de la voix, mimiques.. Les formations en communication relèvent ce point. Albert Mehrabian établit d’ailleurs une règle des 7 % – 38 % – 55 % : 7 % de la communication est verbale, 38 % de la communication est vocale, et 55 % de la communication est visuelle. Au delà du langage du corps, Birdwhistell : la séparation du corps et de l’esprit. La communication, comme elle est souvent apprise et enseignée, est celle du modèle du télégraphe : le sujet envoie un message vers son destinataire. Qu’est ce que la communication ? Où l’on peut laisser trace.
Les valeurs: l’énergie renouvelable de la motivation Il fallait sans doute au coaching son jargon obscur aux oreilles du néophyte, aussi un certain nombre de termes ambigus existent, comme les valeurs. Levons cette ambiguïté car si les valeurs morales contraignent, les valeurs motrices, elles nous donnent des ailes! Les valeurs qui nous intéressent ici ne sont pas les principes moraux, intellectuels ou religieux auxquels nous adhérons (ou pas) par choix, par héritage familial et/ou par conviction. Les valeurs sont des forces motrices inhérentes à la personnalité de chacun, des forces au sens physique du terme puisqu’elles nous mettent en mouvement. Elles sont les critères qui déterminent notre propre système de référence de ce qui est bon pour nous, de ce qui nous plaît, de ce qui nous donne envie d’agir. Les valeurs morales Voici une liste non exhaustive de concepts qui peuvent être des valeurs, vous pouvez bien entendu en choisir d’autres. Voir aussi Et vous, où aimeriez-vous vous réveiller? Aller plus loin
Faire monter son taux d'ocytocine pour avoir meilleure mine ? Comment faire monter mon taux d’ocytocine ? C’est que, voyez-vous, j’ai l’impression que mon humeur pourrait bénéficier d’un petit coup de pouce, et, selon plusieurs études, augmenter la quantité d’ocytocine en circulation dans mon sang pourrait faire le travail… Intéressant ! En effet, l’ocytocine (ou oxytocine) est une hormone qui joue un rôle clé sur l’humeur, étant liée entre autres au sentiment d’attachement, mais aussi au bien-être en général. Et la bonne nouvelle, c’est qu’il existe plusieurs petits trucs pour déclencher son relâchement dans le sang ! Les effets de l’ocytocine L’ocytocine est une hormone qui joue de multiples rôles. En plus de ses effets purement physiologiques, cette hormone puissante intervient aussi de façon importante dans le développement d’une relation d’attachement, d’abord entre une mère et son enfant, mais aussi entre individus en général, qu’on soit amoureux, amis, ou parents. Quelques façons de faire monter son taux d’ocytocine L’amour, toujours l’amour