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Confiance en soi: la raison et les tripes

Confiance en soi: la raison et les tripes
Nous apprenons à privilégier la raison sur les ressentis et à nous raisonner pour minimiser des émotions comme la peur ou la colère. A tort, car nos tripes sont porteuses de messages à ne surtout pas négliger pour développer la confiance en soi. Platitude N°24ter du Grand livre des évidences: nous sommes des êtres de raison. A l’autre bout de la ligne de notre mécanique interne, il y a nos tripes. Le trac avant un entretien d’embauche? Et pourtant, malgré l’expérience, nous nous acharnons, encore et encore, à remettre nos ressentis dans notre poche avec un mouchoir soigneusement plié par dessus, espérant que la raison l’emportera sur les tripes.100 fois sur le même métier nous remettons le même raisonnement, et 100 fois ce sont les tripes qui l’emportent. En d’autres termes croire qu’il vaut mieux se raisonner sur ses ressentis, c’est tellement peine perdue que j’ai du mal à comprendre pourquoi cette volonté dénuée de bon sens perdure. Et dans les faits, c’est totalement faux. Related:  facettespascalune

Une meilleur confiance en soi par la méditation Article invité rédigé par Edouard Louis du blog Le Coin Optimiste, dans le cadre de l’évènement le « Cham des invités ». La confiance en soi n’est pas quelque chose d’innée, elle s’acquiert suite à nos expériences de la vie mais elle peut également se perdre. La méditation nous apprend à être plus objectif par rapport à nos pensées, à nos jugements et nous aide à avoir une meilleure estime de nous mêmes. Qu’est-ce que le manque de confiance en soi ? Le manque de confiance en soi se traduit par une mauvaise estime de soi. Ce sont elles qui nous font souffrir mais qui nous apportent aussi du bonheur et du réconfort dans notre vie.Ce sont elles qui motivent nos actions et encouragent notre procrastination ! Et malheureusement, beaucoup de personnes s’identifient à ces phénomènes mentaux. Que nous apporte la méditation ? La méditation peut nous aider à solutionner en partie ou complètement le manque de confiance en soi. Vous pourriez également apprécier :

J’ai le pouvoir de refuser d’être victime! | J'Arrête de Râler Quand nous nous sentons victime de notre patron, de notre emploi (ou de notre manque d’emploi), de la crise, de la politique, de notre conjoint, de notre famille, vous remarquerez que nous nous sommes bien souvent mis nous-mêmes dans cette position de victime dans nos conversations. Nous mettons souvent en effet beaucoup d’énergie à dire que ce n’est pas notre faute et que c’est la faute de l’autre si nous sommes dans cette galère ( la faute de notre conjoint, de nos enfants, de notre patron, de notre collègue, du Président, de l’administration, des fournisseurs de services). J’ai moi-même découvert que j’étais parvenue à développer un réel talent pour pointer du doigt les coupables de ma vie. En quelque sorte c’est plaisant d’être victime car si l’autre à tord alors j’ai forcément raison. Si l’autre est coupable alors c’est à lui de trouver une solution au problème, pas à moi. C’est hallucinant je trouve de prendre conscience qu’on peut choisir de faire autrement ! Like this:

8 étapes pour gérer les périodes de doute La vie professionnelle, qu’on soit en poste, en recherche d’emploi, en reconversion, ou en création d’entreprise, nous réserve suffisamment de hauts et de bas pour que, de temps à autres, le doute insidieux s’immisce par les plus petites fissures de la confiance en soi. Et il se peut même qu’alors on se décourage, qu’on ait plus envie de rester sous la couette en mode hibernation que de prendre la moindre décision ou de poser la moindre action. Voici comment sortir du marécage en 8 étapes. Parce que le futur n’est jamais sûr, toujours en mouvement comme on dit chez les grands sages intergalactiques, aussi il est parfois moins facile de lui (de nous) faire confiance que de se mettre quelquefois à nous interroger sur le bien-fondé de ce que nous entreprenons. Et lorsque le doute s’installe, c’est toute la machine qui ralentit: on en vient à questionner chaque décision, chaque stratégie, à ressasser en boucle nos appréhensions. 1- Admettre que les tripes ont toujours raison… Aller plus loin

13 choses dont vous devez absolument vous souvenir quand tout va mal. La n° 9 vaut de l'or... Nous sommes tous passés par des moments difficiles, au moins une fois dans notre vie. Et nous arrivons tous, tôt ou tard, à surmonter ces difficultés. Cependant, certaines personnes arrivent mieux que d'autres à franchir les obstacles de la vie. Alors, quel est leur secret ? 1. "C'est notre résistance à ce qui est -- et à ce que nous ne pouvons pas changer, qui cause la souffrance" disait Bouddha. 2. Très souvent, nous sommes nous-mêmes notre propre pire ennemi. 3. Nous percevons le monde extérieur comme une projection de notre monde intérieur. 4. Il faut supprimer le mot "échec" de notre vocabulaire. 5. Oui, c'est très dur à croire parfois... 6. C'est un moment unique, que vous ne connaîtrez qu'une seule fois dans votre vie... La plupart des gens vivent avec "l'esprit attaché". 8. Elles peuvent vous enseigner beaucoup. 9. Croyez le ou non, de nombreuses personnes ne se permettent pas à eux-mêmes de s'amuser. 10. 11 Vous n'êtes pas une victime. Vous devez suivre votre propre chemin.

Communication: la dictature de l’obligation Le choix des mots que nous employons n’est pas le fruit du hasard: nous les utilisons par opposition aux autres, parce qu’ils nous semblent appropriés… et moins consciemment parce qu’ils reflètent notre perception de monde. Ainsi, l’excès d’expressions de l’obligation révèle un monde de contraintes imposées à soi-même… et aux autres. Nous ne nous rendons pas compte de ce choix car notre logiciel de communication est ultra-rapide et correspond à une compétence inconsciente: tellement acquise et maîtrisée qu’elle est un automatisme, un mécanisme naturel. Si nous prenons l’exemple des expressions de l’obligation, celui dont le discours en est constellé se soumet à la dictature de la contrainte et l’impose à son entourage avec un totalitarisme affirmé. La dictature des expressions d’obligation “Je ne peux pas te voir samedi: il faut que j’aille voir Mémé Huguette”. Auto coaching: de la fausse obligation à la volonté personnelle Articles relatifs Aller plus loin

Pourquoi la confiance en soi est indispensable à la réussite sociale L’estime de soi, c’est avoir une juste conscience de sa valeur, c’est faire preuve d’une lucidité bienveillante envers soi et les autres, c’est se montrer fier de ce que l’on a déjà accompli malgré les obstacles. Une bonne estime de soi accroît notre capacité à mobiliser nos ressources. Elle nous aide à nous relever plus facilement d’un mauvais pas. Votre maison vous paraît plus agréable que d’habitude, vos vêtements vous paraissent plus seyants… Tout semble se présenter sous de bons augures. Sarah , 15 ans, est en classe de seconde et rêve de devenir psychanalyste. Léa sait de quoi elle parle : les idées noires, elle connaît. Pouvoir se sentir légitime Pris par un sentiment d’imposture ou de doute, on s’est tous posé un jour la question : suis-je légitime pour postuler à ce poste ? C’est paradoxalement quand on s’attribue le moins de valeur qu’on s’attribue souvent le plus d’importance aux yeux des autres. C’est ce qui arrive à Sandra.

10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres Une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes clients, qu’ils soient salariés, indépendants, managers ou chefs d’entreprise c’est d’affronter sereinement le regard des autres. Voici 10 excellentes raisons de ne plus nous préoccuper d’un juge qui existe avant tout dans nos têtes. Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d’entité autonome – les Autres – dont l’œil impitoyable serait à l’affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société. Et comme – curieusement? Du coup, nous passons beaucoup de temps à passer nos comportements au moulin à jugement avant d’agir et l’écart entre ce que nous sommes, ce que nous voudrions bien pouvoir être et l’image que nous nous efforçons de donner se creuse jusqu’à atteindre des proportions dignes du Grand Canyon. Voici donc dix bonnes raisons de se moquer de ce regard fatigant. Voir aussi

La lecture émotionnelle au service de la reconversion professionnelle Nous opposons souvent les émotions, le ressenti, au concret, au tangible. Pourtant, les émotions sont bien plus ancrées dans le concret qu’on ne l’imagine et dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle, elles peuvent être à la fois une source d’information et un critère précieux. Ou un frein, lorsqu’elles sont méconnues. Bref, la lecture émotionnelle est un outil précieux pour arriver à bon port dans nos projets professionnels. Les émotions sont souvent perçues comme des empêcheuses d’agir en rond et beaucoup d’entre nous, nourris à un cartésianisme qui les pousse à chercher leurs réponses dans le concret, le tangible, pensent que les ressentis sont du domaine de l’irrationnel. Pourtant le rôle des émotions est bien de nous fournir des messages concrets sur ce qui est bon pour nous, sur notre bien-être: ce qui le favorise et ce qui le menace (voir: la lecture émotionnelle au service du bien-être). 1- Le plaisir 2- Les états de défense aux émotions Voir aussi

Timidité : l'hormone de la confiance en soi existe Timidité : l'hormone de la confiance en soi existe © Ingram Publishing Des scientifiques canadiens viennent de découvrir que l'hormone naturelle ocytocine permettrait d'aider à combattre la timidité. Vous avez les jambes qui tremblent, des palpitations et des bouffées de chaleur à chaque fois que vous prenez la parole en public ou devant des gens que vous ne connaissez pas ? Pour parvenir à ces résultats surprenants, les chercheurs ont réalisé des tests sur 100 volontaires, hommes et femmes, âgés de 18 à 35 ans sans antécédents médicaux et ne consommant pas de tabac ni de drogues. Alexandre Roux (Source : lexpress.fr)Crédit photo : Ingram Publishing L'Ocytocine, hormone de l'orgasme, de l'amour et du bien-êtreHormones de croissance : pourvoi en cassation des familles« Chaque année la France compte 8 000 enfants autistes de plus »Autisme : les enfants atteints produisent trop de neurones

3 clés pour renforcer la confiance en soi La confiance en soi n’est pas un don du ciel, nous en sommes les artisans. De même, nous avons construit un manque de confiance chronique ou temporaire suite un événement malheureux ou des comportements malencontreux de la part d’autrui. Dans tous les cas, il n’est pas une fatalité, alors sortons nos truelles et marteaux: Martine Teillac, psychanaliste, nous livre trois clés pour renforcer les fondations de notre confiance en nous. Selon Direct 8, 75% des gens manqueraient de confiance en eux. Qui ne s’est jamais senti mal à l’aise face à une situation donnée, le plus souvent sans oser le dire et dont les projets professionnels se sont retrouvés entravés? En ces temps ou la norme nous dicte d’être extravertis et dynamiques, on associe un peu trop vite le manque de confiance en soi avec la timidité. Le malaise qui découle du manque de confiance peut générer une maladresse relationnelle bien pénalisante: 1- le discours intérieur Arrêtons d’exacerber nos défauts et d’oublier nos qualités.

Quelques conseils pour doper sa confiance en soi La confiance en soi : qu’est-ce que c’est ? Est-ce l’estime de soi ? Comment vient-elle ? Comment la conserver ? Indispensable pour avancer dans la vie sereinement sans peur des préjugés, la confiance en soi se cultive, et s’embellit. Dans l’émission Grand bien vous fasse, Ali Rebeihi et ses invités Lionel Bellenger, auteur de La confiance en soi, et Christophe André, psychologue, auteurs de nombreux essais sur le mieux-être et chroniqueur sur France Inter, ont prodigué quelques conseils. D’où vient la confiance en soi ? La confiance en ses aptitudes prend racine dans l'enfance. La notion de confiance en soi est à relier avec la notion de progrès, comme dans nos vies d’adultes : dans l'entreprise ou dans le sport, c’est en progressant que l’on prend confiance en soi. L'adolescence est la deuxième phase consolidation de la confiance à travers la construction de l’identité. L'éducation, clé de la confiance en soi Dans l'enfance, c'est dans la prise de risque que l'on construit sa confiance.

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