Radio et webradio (dossier du CLEMI : productions d'élèves, émissions pour les jeunes...) De nombreuses émissions sont sujets à être exploitées en classe. Elles peuvent soient expliquer des notions aux élèves de manière ludique soient servir de support original pour illustrer un cours. Voici une liste non exhaustive glânée ici et là : - FRANCE INFO JUNIOR (Gilles Halais, France Info, lundi et vendredi 12h35 et 16h45) : chaque jour un spécialiste répond aux questions sur l’actualité avec des mots d’enfants - Les p’tits bateaux (Noëlle Breha, France Inter, 19h30 à 19h55) : un répondeur téléphonique est mis à disposition pour les jeunes et moins jeunes. - Les petites voix (Esther Lenenam, Europe 1, Samedi de 15h à 16h) : des enfants de 9 à 12 ans interrogent une personnalité sur sa passion, son métier, ... - Radio Barbouillots, une webradio destiné aux primaires. - Education jeunesse sur France Info :
Les matinales de radio à la loupe Dans la deuxième partie de l’étude, nous avons analysé le profil des personnalités invitées dans les matinales, selon leur genre (hommes ou femmes) et leur secteur d’activité (politique, médias, art et culture, sciences, etc.) La classification des invités selon leur secteur d’activité s’est appuyée sur l’analyse du thésaurus Ina. Secteurs d'activités des invités des émissions matinales des radios généralistes en 2014, en semaine Sans surprise, ce sont les personnalités politiques qui dominent le classement des invités interviewés dans les matinales, totalisant la moitié du temps de parole des grilles de semaine, allant même jusqu’à 74 % de la durée d’antenne pour « Bourdin Direct ». Les politiques sont suivies par les personnalités du monde des médias, avec 15 % pour Europe 1 et 9 % pour RTL. Proportionnellement, cette dernière accorde cependant plus la parole aux personnalités du monde économique et de l’entreprise (11 %).
Quelle stratégie sur le web pour les radios généralistes La radio, qui a bâti son succès sur le flux, le multicanal, le mobile et le gratuit, est désormais concurrencée par de multiples prestataires d’information en ligne, qui adoptent majoritairement le même modèle. Il s’agit de la presse en ligne, qui connait un essor fulgurant, mais aussi des moteurs de recherche et des agrégateurs de contenu. L’un des points forts des radios généralistes face à la concurrence de la télévision et de la presse imprimée était l’aptitude à diffuser un flux de nouvelles mises à jour de façon quasi-continue. Elles doivent dorénavant rivaliser sur ce point avec les chaines télévisées d’information en continu[+] NoteLCI créée en 1994, I>Télé en 1999, BFM TV en 2005, France 24 en 2006, BFM Business en 2010. [7], ainsi qu’avec les matinales d’information télévisées dont la pratique commence à se développer. Equipement des modes de réception de la radio, premier semestre 2013
Les fictions radiophoniques de France Culture Comment devenir documentariste sonore ? L’Addor, association à but non lucratif (loi 1901) mise en place pour le développement du documentaire radiophonique, publie en ligne Le Guide du documentariste sonore 2015 réalisée avec le soutien du Syndicat national des auteurs et des compositeurs (Snac). Dans un bref rappel introductif, l'association précise qu'il n’existe pas de statut officiel pour les documentaristes radio, d'où l'utilité du présent fascicule qui permet de fournir des repères pour la profession. Plus précisément, le guide se compose de 7 grands chapitres dédiées successivement à la formation (initiale et continue),à la manière de proposer un projet (contexte, ligne éditoriale, conditions matérielles, rémunération),aux autres moyens de financer son documentaire (par exemple, le crowfunding),à la perception des droits d'auteur,aux rencontres avec les acteurs du documentaire radio età l’écriture sonore documentaire en équipe. Illustration : vicgmyr, Shutterstock Sources
Comment la radio tire-t-elle profit du web? Ces nouveaux usages de la radio amènent les professionnels à adapter l'offre de contenus qu'ils proposent. Cette thématique a fait l'objet de deux tables-rondes lors des Rencontres Radio 2.0, l'une articulée autour de la « social radio » et du transmédia, la seconde autour de la radio augmentée et du second écran. Depuis 1995 et les débuts de la radio sur Internet[+] NoteFrance Info a été la première radio en Europe à diffuser ses programmes en direct sur Internet. [2], les sites web des stations ont bien évolué et les radios réfléchissent de plus en plus à proposer une offre en ligne adaptée aux attentes des auditeurs et donc à ces nouveaux supports d'écoute. Si le son demeure bien sûr l'élément qui fait le cœur de ce média, le texte et l'image sous toutes leurs Près d’un tiers des internautes ont déjà regardé une vidéo d’émission radio. formes peuvent devenir une manière d'enrichir l'audio. Outre le transmédia, c'est aussi le concept de « second écran » qui fait son chemin.
La Social Radio, prolongement des stations sur les réseaux sociaux RTL va lancer lundi une nouvelle présentation de son site internet rtl.fr, "au carrefour de la radio, du web et du social". Concrètement, l'auditeur pourra désormais, à partir d'une même page internet, suivre en direct le flux audio ou vidéo de l'antenne et réagir sur Facebook, Twitter ou en s'inscrivant sur le site internet (270.000 comptes actifs). A côté de cette "conversation sociale", il aura également accès aux contenus (bonus éditoriaux, commentaires, coulisses...) postés depuis les comptes officiels de la radio qui dénombrent quelque 315.000 abonnés sur Twitter et 114.000 sur Facebook. Cette initiative de RTL, qui existe sous différentes formes chez d'autres stations, souligne la montée en puissance d'une pratique souvent évoquée pour la télévision mais qui est inscrite dans l'ADN de la radio, média très souvent en direct, à la différence du petit écran. "On parle de Social TV et on ne parle pas de Social radio parce que c'est un pléonasme. Chansons commandées via Twitter
Opinion : les matinales de la Social Radio Si les émissions de télévision sont de vrais catalyseurs de conversation sur le web social, la complémentarité est aussi puissante avec un média plus ancien : la radio. Sur le petit écran comme dans le poste, l’enjeu de la connexion online est majeur pour la publicité et le marketing. Il l’est aussi pour la construction de l’opinion et la réputation des entreprises. En moyenne, la répercussion Twitter des 5 principales matinales radio françaises (Europe 1, France Info, France Inter, RTL et RMC) touche plus de 40 millions d’internautes par semaine à travers près de 20 000 publications. Répartition de la conversation sur les matinales radio du 29/02 au 14/03 Prime aux antennes où s’expriment les opinions les plus tranchées ? Côté invités, ceux qui tirent leur épingle du jeu sur le web social sont aussi ceux au positionnement le plus polémique. Parmi les 5 hashtags les plus associés aux matinales radio sur la période, cinq font d’ailleurs référence à des débats majeurs dans l’Hexagone.
La radio a un réel impact social et offre un accès à l’information. Le droit des personnes à l’information doit être protégé. | World Radio Day 2016 La radio est un medium puissant en situation d’urgence et de catastrophes. La radio possède la capacité de sensibiliser l’opinion du plus grand nombre de personnes le plus rapidement possible. De leur côté, les réseaux sociaux jouent également un rôle important mais lorsque ces derniers sont associés à une institution de services radio fiables, leur effet est décuplé et ils deviennent ainsi bien plus efficaces. Ci-dessous des messages clés à explorer pendant et autour de la Journée Mondiale de la Radio, 16 février 2016 : La radio peut aider à la mobilisation rapide des personnes afin d’assurer une intervention d’urgence forte et coordonnée.
12% des Français écoutent chaque jour la radio sur un support digital - Lawebradio.com - Actualités des radios digitales Le pic d’audience de la radio sur les supports multimédia en journée se situe à 10 heures au lieu de 8h sur les récepteurs traditionnels. Les smartphones ou tablettes permettent de prolonger et de multiplier les occasions d’écouter la radio, notamment en mobilité. Cette audience, mesurée par Médiamétrie dans son étude 126 000 Radio qui prend en compte tous les supports d’écoute du public, révèle que 12% des Français de 13 ans et plus, soit 6,4 millions de personnes, écoutent chaque jour la radio sur un support digital. Cette proportion s’élève à 27% en janvier-mars 2016 pour les 13-19 ans, plus en affinité avec le multimédia. Le smartphone occupe, naturellement, la première place des supports numériques utilisés pour écouter la radio avec plus de 3,1 millions d’utilisateurs quotidiens, suivi de l’ordinateur (1,7 million), la télévision (1,2 million), la tablette (586 000) et le baladeur (238 000).
Les jeunes face à la radio, un média toujours aussi contemporain | IP Belgium La consommation des médias occupe une place centrale dans la vie des consommateurs qui y consacrent chaque jour plusieurs heures. Parmi les médias les plus consommés, on retrouve la radio, qui totalise à elle seule plus d’un tiers de l’activité médiatique1. Mais qu’en est-il des jeunes ? Sont-ils aussi assidus que leurs aînés ? Et si oui, comment consommentils le média radio ? Comment les jeunes et jeunes adultes consomment-ils le média radio ? Lorsqu’on se penche sur les chiffres, on constate que 69,8% des jeunes Belges âgés entre 12 et 34 ans écoutent quotidiennement la radio2. 69,8% des jeunes Belges âgés entre 12 et 34 ans écoutent quotidiennement la radio. Les jeunes se branchent sur la radio dès les petites heures du matin. Source : CIM Radio w.2012-3+2013-1+2013-2 - Belgium - Monday-Friday - 0500-2400 Rating (000) - 12-34 Cette consommation de la radio se calque parfaitement aux habitudes de vie des 12-34 ans. Quels moyens utilisent-ils pour écouter la radio ?