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Intelligence artificielle

Intelligence artificielle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] Le terme « intelligence artificielle », créé par John McCarthy, est souvent abrégé par le sigle « I.A. » (ou « A.I. » en anglais, pour Artificial Intelligence). Il est défini par l’un de ses créateurs, Marvin Lee Minsky, comme « la construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont, pour l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains car elles demandent des processus mentaux de haut niveau tels que : l’apprentissage perceptuel, l’organisation de la mémoire et le raisonnement critique »[1],[2]. On y trouve donc le côté « artificiel » atteint par l'usage des ordinateurs ou de processus électroniques élaborés et le côté « intelligence » associé à son but d'imiter le comportement. Même si elles respectent globalement la définition de Minsky, il existe un certain nombre de définitions différentes de l'IA qui varient sur deux points fondamentaux[3] :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_artificielle

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Cédric Villani : «Agir pour que l’intelligence artificielle soit utile à tous» Rebelote. A peine six mois après la remise du rapport «France IA» qui, à la fin du mandat de François Hollande, a dressé un premier tableau de l’intelligence artificielle (IA) en France, le gouvernement a choisi d’en faire un marqueur fort de sa politique d’innovation. Alors que plusieurs pays - Etats-Unis, Chine avec 13 milliards de dollars d’investissements annoncés pour les trois prochaines années, Corée du Sud, etc. - se sont dotés de plans stratégiques dans ce domaine, c’est le député Cédric Villani qui a été chargé d’un nouveau rapport qu’il doit remettre dès le mois de janvier au gouvernement.

Avec l'intelligence artificielle, l'usurpation d'identité en ligne prend une autre dimension En permettant de recréer des voix ou des visages avec précision, le deep learning rend les usurpations d'identité en ligne toujours plus crédibles, et en renouvelle le genre. Regarder une vidéo de soi peut s'avérer un exercice périlleux. D'autant plus lorsque sa propre image devient hors de contrôle. Lecture de la pensée humaine et lobby de l’intelligence artificielle La course à l’intelligence artificielle accélère entre scientifiques, avec pour but affiché désormais de constituer des algorithmes permettant une lecture de la pensée humaine. Et leurs travaux d’intrusion cérébrale avancent de façon inquiétante, rejoignant les fictions des années 1950-1960 dans lesquelles des savants fous parvenaient par leurs appareillages à percer le secret des cerveaux. Le site du Forum économique mondial (WEF) nous rapporte que des experts de l’intelligence artificielle (AI) en Chine, aux Etats-Unis et au Japon, ont publié des résultats de recherches montrant que des ordinateurs peuvent répliquer les pensées des personnes cobayes via l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), qui mesure l’activité cérébrale. Cet IRM est reliée à un réseau neuronal profond qui permet de répliquer les fonctions cérébrales humaines. De quoi ouvrir un futur marché pour le lobby de l’intelligence artificielle. Matthieu Lenoir

Jean-Gabriel Ganascia : « L'intelligence artificielle va transformer les valeurs humaines » L’homme supplanté par l’intelligence artificielle… selon vous, la singularité va-t-elle advenir ? La singularité est un concept qui vient des mathématiques désignant un point critique, un moment particulier dans une fonction, qui peut s’appréhender de façon tout à fait abstraite et théorique. Ce qu’on appelle la singularité technologique, c’est l’idée que la technologie se développant extrêmement rapidement, il y a un moment où elle va nous dépasser. Et cela a un caractère inéluctable. C’est assez proche des théories de l’apocalypse telles qu’elles ont pu exister autour de l’an mil. On pourrait parler d’une prophétie de l’e-apocalypse.

Sophia, le robot vivant (enfin presque) Un texte de Matthieu Dugal, animateur de La sphère Il y a quelques semaines, l’événement C2MTL a dévoilé la programmation de son grand rendez-vous printanier avec ce robot que l’on trouve de plus en plus dans l’actualité. C’est de bonne guerre. Dans un paysage médiatique surchargé, trouver une manière de faire parler de soi dans le déluge de gigaoctets mis en ligne chaque minute n’est pas chose facile. Lors de cette conférence, on a donc pu entendre Sophia, un androïde de type « femme-tronc » avec une tête ressemblant à l’héroïne du film Ex-Machina, réciter quelques lignes, puis répondre aux questions du public : des questions portant notamment sur la nature de l’amour ou sur une éventuelle guerre entre les robots et les humains.

Intelligence artificielle : le scénario catastrophe de 26 experts Et si l’intelligence artificielle tombait dans de mauvaises mains ? Dans un rapport, des experts internationaux alarment sur les risques d’une utilisation malveillante de l’intelligence artificielle. L’efficacité croissante de l’IA pourrait conduire, dans les dix prochaines années, à son détournement par « des États voyous, des criminels, des terroristes ». Masculin ou féminin : les robots doivent-ils avoir un sexe Les robots sont de plus en plus présents dans nos vies, mais vous êtes-vous déjà posé la question de savoir s’ils devaient avoir une apparence plutôt masculine ou féminine ? Cette question, qui peut paraitre anecdotique, des ingénieurs en robotique se la posent déjà, et ce qu’elle implique est loin d’être mineur. DGS vous en dit plus sur ces réflexions.

Comment sera le monde après la victoire des machines? (vidéo) Insolite URL courte Comment serait la Terre si les robots se révoltaient et prenaient le dessus sur les humains? Chacun peut y répondre dans la mesure de son imagination. NIXOLAS a présenté sa version sur YouTube. L'intelligence artificielle L’étymologie du mot intelligence n’est pourtant pas compliquée. On part du verbe latin legere qui signifie d’abord « cueillir », puis, parce qu’on ne cueille que ce qui en vaut la peine, legere prend le sens de « choisir ». Ce dernier sens est renforcé par le préfixe inter « entre, parmi » [inter + legere] devenant intellegere, presque un pléonasme car s’il y a un choix à faire, c’est bien parce qu’il y a plusieurs options possibles. Mais le rôle d’un préfixe est de diversifier les mots pour éviter des homonymies : ici, le verbe legere, poursuivant son évolution sémantique, a fini par signifier « lire » et devenir en français, lire. Et il était alors utile de distinguer legere « lire » et intellegere « choisir parmi des options » donc « discerner », « comprendre »… même si lire entre les lignes, ou lire sur le visage d’un interlocuteur, c’est plutôt du discernement que de la lecture.

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