La start-up Azendoo veut révolutionner le travail en équipe La start-up lancée en 2010, qui édite une solution de travail collaboratif en mode Saas, avait levé 1,3 millions d’euros en juillet dernier. Concrètement, Azendoo synchronise les messages, les to-do-listes, les documents et les suivis des actions, sur une interface qui optimise la gestion des taches. Depuis cette date, Azendoo revendique près de 6000 clients, un chiffre qui s’accélère à une bonne cadence. La solution vient d’être intégré à Google Drive pour se fondre dans le quotidien des utilisateurs de Google, qui peuvent désormais créer un compte via Google. La jeune équipe veut plus largement, à l’instar d’un Yammer, bousculer les habitudes de travail en équipe, et palier à la perte de temps causée par la gestion des outils. Les détails avec Grégory Lefort et Benoît Droulin, co-fondateurs d’Azendoo [Publireportage]
Faire de la France le pays pionnier du financement participatif Pierre Moscovici, ministre de l’économie et des finances et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique ont annoncé, vendredi 14 février, le nouveau cadre juridique assoupli qui s’appliquera au financement participatif. Développer l'économie participative Fleur Pellerin a présenté cette réforme à l’occasion d’une après-midi de rencontres et de débats intitulée « Faire de la France le pays pionnier du financement participatif ». Fleur Pellerin « Je suis convaincue que les Français veulent être des acteurs de notre économie et nous devons leur permettre de financer les projets auxquels ils croient ». En 2013, la collecte mondiale par des plateformes de financement participatif a dépassé les 3 milliards de dollars, et les montants levés doublent tous les ans. Faire de la France la « start-up république de l’Europe » « Les valeurs qui fondent cette réforme, l’innovation, la confiance, l’inclusion, sont essentielles.
L'homme qui réinvente le management Vineet Nayar est PDG de HCL Technologies, grosse SSSI indienne qu’il a remise sur les rails de la croissance en changeant totalement le mode de management. à travers un travail collaboratif réinventé et une pyramide inversée. Une vraie innovation dans le management. Certains le comparent déjà à un nouveau Peter Drucker. Il raconte tout cela dans un livre étonnant : "Les employés d’abord, les clients ensuite : Comment renverser les règles du management" (Diateino). Ce qui est d'emblée intéressant c'est d'avoir la vision d'un opérationnel, qui a mis en place un nouveau management, non pas sous l’emprise d’une idéologie quelconque mais en observant les dysfonctionnements de l’organisation et en essayant à chaque fois de trouver une solution concrète qui implique un maximum de collaborateurs. Résumé de la méthode de changement - Un « portail de valeur » permet les échanges entre clients et employés d’HCL sur des idées créatrices de valeur. La métaphore de l’araignée et de l’étoile de mer 1. 2.
Et si la Start-up République devenait une réalité ? A l’occasion de son voyage officiel aux Etats-Unis, François Hollande a promu un concept destiné à redonner vigueur à notre croissance : lancer une Start-up République. L’objectif est d’orienter l’économie française vers l’innovation et d’offrir à l’entrepreneur, en particulier dans l’économie numérique, un écosystème - financier, fiscal, administratif - le plus accueillant possible. Et si c’était un gouvernement de gauche qui installait une véritable politique entrepreneuriale en France ? Le début du quinquennat fût tendu, il aura fallu du temps pour problématiser correctement les enjeux fiscaux, ou la remise en cause de statuts comme l’auto-entrepreneur, qui bien qu’utile contenait des arrière-pensées dé-régulatrices. C’était sans compter sur la mobilisation d’entrepreneurs, corps intermédiaires d’un nouveau type : aussi attachés à la compétitivité que des patrons classiques, aussi attentifs au bien-être des salariés que des syndicalistes.
5 conseils pour bien gérer une équipe de marketing web Alors que les entreprises dédient de plus en plus de gros budgets vers le monde numérique, la plupart des gestionnaires d’entreprises envisagent principalement de faire affaire avec une firme de marketing Internet pour gérer leurs stratégies de marketing en ligne et assurer une présence plus dynamique de leur entreprise sur la toile. Mais est-ce possible de faire ce travail à l’interne ? Au cours des dix dernières années, personne ne s’attendait à la montée aussi fulgurante du marketing numérique, mais le temps passe vite et il est devenu une nécessité évidente pour les entreprises d’assurer une présence performante en ligne. Ainsi, la création d’une équipe de marketing web au sein de votre entreprise est inévitable, peu importe sa taille, et peu importe si vous décidez d’externaliser ou non la réalisation de votre stratégie numérique. Si vous êtes en charge de la gestion d’une équipe de marketing Internet, voici cinq conseils pour vous assurer que votre équipe fonctionne efficacement :
Bâtir la 'start-up République' (Fleur Pellerin) Le high-tech Made in France doit devenir une référence mondiale. C'est ce qu'a expliqué la ministre de l'Économie numérique Fleur Pellerin, dans une interview parue dans le magazine Challenges. "Nous essayons de bâtir une dynamique et une marque. Fleur Pellerin est également revenu sur le caractère insolite de la visite de François Hollande dans la Silicon Valley, une visite officielle qui n'était pas survenue depuis celle de François Mitterrand, il y a 30 ans. Un danger pointé du doigt : la marginalisation de la France dans ce domaine.
Hollande veut attirer les start-up étrangères en France avec une subvention de 25 000 euros En marge du conseil stratégique de l'attractivité qui se déroule ce 17 février entre l'exécutif et les investisseurs étrangers, le président de la République a évoqué de nouvelles mesures en faveur de l'implantation en France de start-up étrangères. Si les grands groupes étrangers (Nestlé, Siemens, Volvo, Bosch, Siemens, Samsung, Intel, General Electric) ont les faveurs du conseil stratégique de l'attractivité organisé ce 17 février par le président de la République, François Hollande n'en oublie pas les moteurs de l'innovation : les start-up. Dans son discours prononcé à l'issue de la session de travail avec des dirigeants de 30 entreprises internationales, le chef de l'Etat a annoncé une série de mesures à l'égard des start-up étrangères, notamment la création d'un interlocuteur unique et d'une aide de 25 000 euros pour leur implantation dans l'Hexagone. La fusion de l'Afii et d'Ubifrance actée
Comment le crowdfunding français veut booster le financement des start-up Nouvel acte en faveur de «l’économie de demain», pour reprendre les mots du président. Après l’offensive de charme dans la Silicon Valley, jeudi, François Hollande, qui a promis «une nouvelle impulsion» au «financement participatif» avec l'adoption en mars d'une ordonnance pour que ce dispositif devienne en France «aussi incitatif qu'aux Etats-Unis», Fleur Pellerin prend le relais. La ministre déléguée aux PME a présenté ce vendredi la nouvelle version du cadre réglementaire du financement participatif. En France, le poids de ce mode de financement en plein essor reste encore marginal, avec 50 à 70 millions d'euros levés en 2013, contre trois milliards d'euros collectés dans le monde. «Nous voulons créer un cercle vertueux positif pour les start-up et contribuer de manière positive au retour de la croissance», affirme la ministre. Un besoin de financement précoce «Les entreprises se heurtent généralement au stade du financement initial, insistent la ministre déléguée aux PME.