L’ancrage : une excellente technique pour ceux qui pensent trop Attention : la technique que vous allez découvrir peut à elle seule changer beaucoup de choses dans votre vie ! Ce ne sont pas des promesses en l’air, et vous seriez bien bête de passer à côté. D’ailleurs, je me demande bien pourquoi je ne vous en ai pas parlé avant sur ce site… Peut-être que cette technique est si puissante que si je vous en parle, vous n’aurez plus besoin de venir sur ce site… sniff :) Bon aller je prends quand même le risque ! Pour qui est l’ancrage ? Alors déjà, quand je dis que c’est «une technique pour ceux qui pensent trop», en fait je pense qu’elle sera utile pour à peu près tout le monde ! Si vous venez sur ce site pour trouver plus de sérénité, alors vous avez sûrement un grand besoin d’apprendre et surtout de pratiquer cette technique de l’ancrage. «Ancrage», «être ancré», « s’enraciner »… ça veut dire quoi tout ça?? Être ancré, c’est être connecté à la terre. C’est habiter complètement ce corps qui est le nôtre et accepter de vivre notre vie ici sur terre.
L'écoute active L'écoute active Comment pratiquer l’écoute active? Pour simplifier, considérons qu’il s’agit de savoir écouter et de savoir activer l’expression de l’interlocuteur. bien écouter, c’est d’abord être en EMPATHIE, ce qui revient à isoler soigneusement ce qu’exprime votre interlocuteur de ce que nous ressentons nous-mêmes en l’écoutant (en particulier sympathie ou antipathie). Il ne faut pas pour autant chercher à effacer ses sentiments (apathie). C’est d’abord se taire lorsque votre interlocuteur parle ou lorsqu’il cherche la suite de ses idées: la première technique d’écoute active est donc LE SILENCE. Ainsi votre interlocuteur reconnaîtra comme dans un miroir l’image de ce qu’il a dit ; cette image l’aidera à clarifier son point de vue et à l’approfondir (la reformulation a un effet de “rebond”) : ainsi, il se sentira compris et encouragé à s’exprimer. La reformulation est un outil privilégié de l’interview “en profondeur”. Source:www.inh.fr
Conscience : les chiffres répétitifs Extrait d’une séance dans un atelier animé par Joéliah : Question: Je vois souvent des chiffres répétitifs sur des plaques minéralogiques (555 – 7777), ou souvent les heures doubles comme 10h10, 11h11 ou 14h14… quel en est le sens ? Réponse : Je suis l’énergie conscience de Philolaos, un être que vous ne connaissez pas et l’une des extensions d’âme de celle qui transmet ce message, élève de l’école de Pythagore. Il est vrai que de plus en plus vous avez des informations qui vous sont données par la science et par les chiffres. Vous voyez des heures qui se répètent, des chiffres multiples. Ceci se fait naturellement chez des millions de personnes qui regardent, qui lisent et qui n’en ont pas toujours conscience. Qu’ils aient conscience ou non, l’information pénètre dans leur ADN et libère. Ceci est voulu par La Source. Le 3 rappelle la trinité, le fait que vous êtes constitués toujours d’une partie invisible, d’une partie visible et d’une partie qui unit les deux.
Lâcher prise, c’est accepter ses limites A force de vouloir contrôler tout ce qui nous entoure, nous gaspillons notre énergie et perdons notre sérénité. D’où le fameux “lâcher-prise” ! Une attitude intérieure d’ouverture à la vie et aux autres dont l’écrivain Gilles Farcet nous livre quelques clés. Pascale Senk Comment lâcher prise ? A découvrir Gilles Farcet Auteur, entre autres ouvrages, de Regards sages sur un monde fou (La Table ronde, 1997), un livre d’entretiens avec Arnaud Desjardins dont il est l’un des collaborateurs à l’ashram d’Hauteville, en Ardèche. Il faut, paraît-il « lâcher prise ». Quelle est donc cette « prise » qu’il conviendrait de desserrer ? Entretien avec l'écrivain Gilles Farcet. Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous "tenons" ? Au commencement de toute "prise" se trouve l’ego, une conviction, un ressenti dont tout découle. Ce lâcher-prise ne sous-entend en rien une négation de l’individualité. Voilà pour la métaphysique, qu’en est-il de la pratique au quotidien ?
Soin naturel contre les rides et les ridules Les ingrédients nécessaires pour la conception de l’huile Pour fabriquer ce soin du visage, vous avez besoin : — D’une bouteille propre — De l’huile d’olive — De l’huile essentielle de citron — De l’huile essentielle de romarin — De l’huile essentielle de géranium. Comment élaborer le produit ? Versez 15 cl d’huile végétale dans la bouteille. Vous pouvez remplacer l’huile d’olive par de l’huile de bourrache ou de tournesol. Ajoutez 5 gouttes d’huile essentielle de citron et 5 gouttes d’huile essentielle de romarin. Finissez par mettre 3 gouttes d’huile essentielle de géranium. Le mode d’emploi Avant chaque utilisation, secouez bien la bouteille.
Dialectique du moi et de l'inconscient (CG Jung). Dialectique du moi et de l'inconscient La confrontation avec l'inconscient passe par l'étude des rêves et des fantasmes. Ceux-ci nous renseignent sur l'attitude de notre "moi" mais également sur la dynamique de l'inconscient. Jung distingue l'inconscient personnel (matériaux refoulés, éléments qui appartiennent à la vie du sujet mais qui sont passés provisoirement en dessous du seuil de la conscience) et l'inconscient collectif, commun à l'ensemble des hommes. Les archétypes qui sous tendent l'inconscient collectif ne sont pas des représentations héritées, mais des structures préformées de notre psychisme capables d'animer les matériaux qui composent la vie d'un individu. Au cours de la prise de conscience des matériaux inconscients deux attitudes contradictoires prévalent généralement : d'un côté il y a ceux qui prétendent tout connaître, de l'autre tous ceux qui se sentent écrasés par les contenus de l'inconscient (avec entre les deux toute une gamme de nuances).
Nos rêves : une fenêtre sur la mort Dans certaines traditions, le rêve est une pratique spirituelle. Pour le bouddhisme tibétain, qui comporte une pratique de yoga du rêve, apprendre à rêver, c’est apprendre à mourir. Lors de l’enquête sur les frontières de la mort que j’ai menée suite au décès accidentel de mon frère (1), je me suis intéressé au Livre des morts tibétain, le Bardo-Thodöl (2). En le lisant, puis en interrogeant des maitres tibétains à son sujet, j’ai été frappé par le rappel régulier qui est fait dans le bouddhisme de la similitude entre les états que l’on traverse dans les rêves et ce que l’on serait susceptible de au moment de la mort. D'autres ont aimé... Sur le même thème...
lacher prise Lâcher prise, c'est comme regarder un coucher de soleil en ressentant simplement ce que cela éveille en nous. Se placer en observateur sans commentaires intérieurs ni analyses. Se laisser totalement envahir par l'image qui vient à nous. Accueillir l'émotion ou la sensation sans faire intervenir le mental. Laisser cela être et l'accueillir en silence. Ressentir sans nourrir de pensées, laisser les pensées s'envoler d'elles-mêmes sans essayer de les chasser. Lâcher prise, c'est comme ce merveilleux instant lorsqu'on arrive dans la chambre d'hôtel pour les vacances et que l'on pose enfin les valises. On goûte simplement la joie de l'instant et on est totalement disponible à la nouveauté et à la découverte. Alors posons à chaque instant nos valises que l'on porte depuis si longtemps et apprécions cet instant. Si on a des choses à régler, prenons un moment pour réfléchir à la meilleure façon d'agir et passons à l'action lorsque le moment est venu. La vie se charge de nous mettre en situation lorsque
Lâcher prise: comment enfin réussir à se libérer ? (Psychologie) - Bonheur et lâcher prise - Magazine santé, nutrition, psycho, etc. - Portail L'art du bonheur On croit souvent que le lâcher prise consiste simplement à rester calme, à devenir zen. Mais le lâcher prise est beaucoup plus! Il s’agit d’une véritable vision de la vie qui cultive le courage d’accepter le changement et de nous abandonner face à ce que nous ne pouvons contrôler. Car c’est parfois en perdant quelque chose que nous trouvons beaucoup plus! Le lâcher prise consiste à être capable de modifier son regard sur le monde, à s’ouvrir à l’imprévu sans devoir se battre sans cesse. Le lâcher prise rime aussi avec acceptation, pardon, et demande parfois de faire le deuil de ce à quoi l’on tient. Il vous a probablement été donné de rencontrer des personnes qui dirigeaient continuellement leur colère contre des détails qui vous paraissaient futiles. Mais une attitude aussi extrême n’est pas nécessaire pour s’emprisonner dans des pensées et des émotions négatives. Pensez un moment à vos activités et à vos préoccupations. • Réalisez un objectif et dépassez vos limites personnelles. 1. 2.
Faire la différence entre le surmenage et la dépression Rien ne va plus au travail: déprime, manque de concentration, fatigue… Est-ce du surmenage? Fait-on une dépression? Camillo Zacchia, psychologue et conseiller principal au Bureau d’éducation en santé mentale de l’Institut Douglas à Montréal, nous aide à faire la différence. Faire un burnout, qu’est-ce que cela signifie? S’agit-il d’une forme de dépression? Les deux notions sont donc liées ? Comment définiriez-vous une dépression? Comment réagir face au surmenage? «Qu’on soit brûlé ou déprimé, il faut arriver à identifier les causes de son mal-être et, si nécessaire, ne pas hésiter à se faire aider.» – Camillo Zacchia, psychologue et conseiller principal au Bureau d’éducation en santé mentale de l’Institut Douglas à Montréal Quels sont les signes d’un épuisement professionnel? Au Canada, plus d’un travailleur sur quatre est victime de détresse psychologique au travail, comment l’expliquez-vous?
Faire le vide en soi pour se recentrer Pour certaines personnes, se retrouver seul représente une véritable source d’angoisse. Le psychanalyste Moussa Nabati vient de sortir « Comme un vide en soi – habiter son présent ». L’occasion d’expliquer les raisons de cette angoisse, et de trouver quelques clés pour apprendre à se réapproprier ce vide et le transformer en source d’énergie. © Min-inspiration L'hyperactivité et l'angoisse du vide que manifestent beaucoup de nos contemporains sont-elles selon vous uniquement liées au contexte sociétal ? Il y aurait donc de l'infantile dans l'incapacité à se recentrer ? La psychanalyse seule peut-elle libérer la personne d'un tel trouble ? Par exemple ? Et la pratique de la méditation dans un tel but, qu'en pensez-vous ? Lire l'article sur LeFigaro.fr D'autres ont aimé... Sur le même thème...
accords toltèques La maladie, LE MAL A DIT... Relation entre les émotions et les maladies Le ressentiment, les regrets, la haine, forment dans notre être une accumulation de nœuds, tout comme la petitesse, les envies, la jalousie. Nos peurs et nos sentiments négatifs forment des nœuds, des barrières, des kystes émotionnels… Ces nœuds, tout comme des détritus dans un ruisseau, forment des barrages, et empêchent la force de vie et le flux d’énergie de circuler harmonieusement. Cette stagnation d’énergie, comme des déchets au fond d’une poubelle, finissent par créer des maladies, le mal a dit….ce que nous ne disons pas…. Relation entre les émotions et les maladies « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! Bien sûr, il ne faut pas généraliser, ça peut être tout simplement un problème mécanique, faux mouvement, coup de froid….mais si vous ne trouvez pas d’explications, essayez de réfléchir à ce qui se passe dans votre ressenti. Ces articles en sont inspirés : - Origines émotionnelles possibles de la FIBROMYALGIE - Causes émotionnelles des maladies : LA GLANDE THYROÏDE Zen en soi