background preloader

Marchés financiers, informatique et finance de marché

La COFIDES - Coopérative Financière pour le Développement de l’Economie Solidaire Nord Sud | COFIDES Nord Sud La Nef .: Accueil :. Votre partenaire financier pour une ?conomie plus humaine Toutes les Bières - Guide des bières Beezik - téléchargement de musique gratuit et légal Musique (1/4) : le CD, pas encore mort, déjà collector A l'occasion de l'ouverture du 43e Midem , Rue89 et Les Inrockuptibles s'associent pour une grande enquête en quatre volets sur l'industrie musicale française. Une semaine après la promesse d'iTunes de supprimer ses DRM , le point sur la mort annoncée du CD, le combat des majors pour survivre, les nouveaux acteurs et la musique bientôt gratuite. Le refrain passe en boucle : « L'industrie musicale française est sinistrée. » Depuis cinq ans, les majors ont vu leur chiffre d'affaires s'écrouler, divisé par deux. Leurs effectifs et leurs budgets, diminuer comme peau de chagrin. Selon le Syndicat national de l'édition musicale (SNEP), le nombre de salariés permanents du secteur a été réduit de moitié depuis 2003. Les ventes de CD ont chuté de 14% en 2008 selon l'institut statistique GFK, qui calcule les chiffres de l'industrie de la musique. Le single, victime du téléchargement illégal La crise est bien réelle, et pourtant, la musique n'a jamais autant été consommée. Lire aussi :

Musique (2/4) : le réveil des majors A l'occasion de l'ouverture du 43e Midem , Rue89 et Les Inrockuptibles s'associent pour une grande enquête en quatre volets sur l'industrie musicale française. Une semaine après la promesse d'iTunes de supprimer ses DRM , le point sur la mort annoncée du CD , le combat des majors pour survivre, les nouveaux acteurs et la musique bientôt gratuite. Internet a profondément déstabilisé l'industrie de la musique. « Les majors ont vraiment manqué de vision, elles n'ont pas du tout compris ce qui était en train de se passer », juge Vincent Demarthe, manager de Rohff et ancien d'EMI : « Les maisons de disque ont très vite considéré Internet comme un ennemi, ce qui leur a fait prendre 7-8 ans de retard. » Mais depuis quelques années, l'industrie s'est réveillée et multiplie les initiatives pour sortir la tête de l'eau : « Nous ne sommes pas endormis. Sus aux pirates, encourageons le téléchargement légal Déjà, en encourageant le vote du projet de loi Création et Internet, ou loi Olivennes .

Musique (3/4) : des nouveaux acteurs tout terrain A l'occasion du 43e Midem , Rue89 et Les Inrockuptibles s'associent pour une grande enquête en quatre volets sur l'industrie musicale française. Une semaine après la promesse d'iTunes de supprimer ses DRM , le point sur la mort annoncée du CD , le combat des majors pour survivre , les nouveaux acteurs et la musique bientôt gratuite. Un peu de Facebook, une pincée d'Itunes et un zeste de Fnac Spectacle. Les nouveaux acteurs de l'industrie musicale, présents sur le Web, jonglent avec les outils et, sans en avoir l'air, occupent de plus en plus de place sur le marché de la musique. Les marques vendent, produisent de la musique et séduisent les fans, avec du 2.0. « C'est la conquête de l'Ouest, les nouveaux acteurs ( FAI , Nokia, SFR) arrivent et veulent faire tous les métiers. En septembre dernier, Myspace music a été lancé aux Etats-Unis. « Nous avons signé un accord avec les majors et des indépendants, on finira par avoir tout le monde », assure Olivier Hascoat, DG de Myspace France.

Musique (4/4) : à quand la gratuité légale ? A l'occasion du 43e Midem , Rue89 et Les Inrockuptibles s'associent pour une grande enquête en quatre volets sur l'industrie musicale française. Une semaine après la promesse d'iTunes de supprimer ses DRM , nous avons fait le point sur la mort annoncée du CD , le combat des majors pour survivre , les nouveaux acteurs . Aujourd'hui se pose la question de la musique gratuite. Ecouter de la musique, comme on respire, gratuitement et sans limite. C'est le rêve de tout mélomane, aussi celui de Borey Sok, blogueur et auteur du livre « Musique 2.0 » : « Je ne comprends pas pourquoi nous devrions payer pour de la musique, alors qu'on ne paye pas pour regarder Julie Lescaut, la pub paye pour nous ». Sur Internet, deux modèles financés par la publicité existent. Le « streaming » permet d'écouter de la musique en ligne, gratuitement, sans télécharger. Mais, sur le premier semestre 2008, le site n'a rapporté à la Sacem que 70 000 euros de recette, soit quelques centimes par ayant-droit.

Related: