L’Épée Flamboyante et le Sentier du Serpent dans l’Arbre de Vie « Les Sephiroth « Kabbale
Article publié le 18 sept 2008 Par Spartakus FreeMann & Prospéro On décompose ce rituel en deux parties distinctes : la descente de l’Épée Flamboyante (Kether-Malkhuth) et la Remontée (ou Voie) du Serpent (Malkhuth-Kether). KETHER-MALKHUTH (Épée Flamboyante) Ce premier mouvement est considéré dans la tradition kabbalistique comme véhiculant les secrets de la Création. Ce mouvement se rapporte au macrocosme – à l’univers qui nous entoure. L’Épée Flamboyante a encore une autre signification dans la Kabbale : la Tradition veut que chaque Sephiroth prenne la forme d’un centre d’énergie déséquilibré et sans harmonie. L’Épée et le Psaume 18 La tradition kabbalistique relie la descente de l’Épée dans ses phases successives avec les mots du Psaume 18, versets 8 à 16. « 8 Il s’élevait de la fumée dans ses narines, Et un feu dévorant sortait de sa bouche : Il en jaillissait des charbons embrasés. 9 Il abaissa les cieux, et il descendit : Il y avait une épaisse nuée sous ses pieds. Appendices Malkhuth
Symboles clés: signification des colonnes du temple - LOTUS
Le Temple du Roi Salomon Construit à partir de la géométrie sacrée, le Temple était divisé en trois lieux essentiels en relation aussi bien avec le macrocosme (ou monde cosmique) que le microcosme (ou monde individuel): Le Vestibule (“Oulam”), relié à la Terre dans le macrocosme et au corps dans le microcosme, humain et inondé par la lumière du jour.Le Saint lieu (“Hikal”), associé à l'Atmosphère dans le macrocosme et l'âme humaine dans le microcosme, reçoit la lumière du jour réfléchie.Le Saint des Saints (“Debhir”), représentant le Ciel dans le macrocosme ou l'Esprit dans le microcosme, est plongé dans l'obscurité. Sur les deux côtés du Vestibule, se tenaient deux colonnes appelées Jakin et Boaz, disposées le long d'un axe “vertical” qui a son équivalent tant dans le macrocosme que le microcosme. La vidéo du Temple de Salomon donne une bonne idée de sa splendeur, mises à part quelques étrangetés architecturales. L'axe du microcosme L'axe du macrocosme Les colonnes du Temple du Roi Salomon
Le symbolisme Maçonnique de l'Etoile Flamboyante
Puisque pour accéder au grade de Compagnon, le Maçon encore Apprenti doit effecteur cinq voyages, que pour mieux se comprendre et pour mieux appréhender le monde qui l’entoure le Compagnon Franc-Maçon doit voyager et que tout voyage doit commencer au début du chemin, tournons nos yeux vers l’Etoile Flamboyante et suivons la voie qu’elle nous trace sur le chemin de la Connaissance et de la vraie Lumière. L’Etoile Flamboyante, pentagramme à cinq branches, nous rappelle tout d’abord que le grade de Compagnon est intimement lié au nombre cinq et que ce nombre cinq est lui-même intimement lié à l’Etoile. Dès la cérémonie d’augmentation de salaire, le futur Compagnon fait cinq voyages, il est sensibilisé à l’ouverture des cinq sens et prend connaissance des cinq ordres d’architecture. Il est également consacré Compagnon Franc-Maçon par cinq coups de maillet sur l’Epée Flamboyante du Vénérable Maître. Cette Etoile est donc semblable à l’homme. Il est encore dit dans la Bible (Exode 34,29) :
Fulcanelli, la Rue de l'Alchimie, ou l'illustration de ses livres
vierges noires
Le Puy DECOUVERTE Vacances : thèmes de découvertes. – 1988 : églises romanes. - LE PUY. Fantastique panorama. Merveilleuse et curieuse basilique. Et une Vierge noire ! Copie de celle qui a été brûlée en 1794 à la Révolution, c’était, dit le petit guide, la plus célèbre, la plus mystérieuse : peut-être apportée de Croisade par saint Louis. Le haut de la robe est d’un vert-bleu particulier, la jupe d’un rouge ocreux, mais la robe est grossièrement taillée dans le bois, sans plis (destinée à être recouverte d’un manteau). Elles étaient nombreuses, ces statues de V.N. : Saillens, sur base d’un document de 1550, en avait recensé 205 en France ; mais il en restait seulement 90, dont plus de la moitié sont des copies postérieures. Déesse celtique Collin de Plancy (1866), dans la « Légende de la Vierge », parle d’un bocage des environs du Puy où les druides vénéraient une « virgo futura Dei nascitur » : une vierge devant donner naissance à un dieu. CE MERVEILLEUX MOYEN AGE. St Chervasy - Cantal
L'alchimie
ClaireKönig Enseignante Sciences Naturelles Commençons par Aristote. (384 - 322 av. Au IVe siècle avant Jésus-Christ, Empédocle propose : « l'Univers est formé de quatre éléments: la terre, l'eau, l'air et le feu ». Aristote Nous savons qu'Aristote fut considéré comme le plus grand philosophe et le détenteur de la vérité en Occident durant plusieurs siècles. Il aura fallu attendre plus de 2 000 ans avant de sortir de l'impérialisme de la pensée d'Aristote. En résumé, voici la conception de la matière selon Aristote : - La matière est continue et uniforme - La matière est composée de quatre éléments: terre, air, eau, feu. - Les quatre caractéristiques fondamentales sont : froid, sec, chaud, humide. - Le vide n'existe pas. Ces affirmations constituèrent les bases de l'alchimie…. Symbole alchimie L'alchimie naît, en fait, à Alexandrie vers le IXe siècle avant J.C. : en arabe, "Al-Kimiya", signifie "pierre philosophale". Fontaine mercurielle Quatrième page de l'alchimie de Flamel Paracelse
Table d'émeraude
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Planche représentant une version latine de la Table d’émeraude gravée sur un rocher dans une édition de l’Amphitheatrum Sapientiae Eternae (1610) de l’alchimiste allemand Heinrich Khunrath. La Table d’émeraude (Tabula Smaragdina en latin) est un des textes les plus célèbres de la littérature alchimique et hermétique. Malgré le discrédit scientifique de l'alchimie et le développement de la chimie moderne au XVIIIe siècle, elle a continué à fasciner occultistes et ésotéristes. Historique[modifier | modifier le code] En 640, l'Égypte, devenue entre temps chrétienne et byzantine, est conquise par les Arabes qui vont perpétuer la tradition hermétique et alchimique dans laquelle s'inscrit la Table d'émeraude. Jusqu'au début du XXe siècle, on ne connaissait que des versions latines de la Table d’émeraude, les plus anciennes remontant au XIIe siècle. Les manuscrits arabes[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]