Issey Miyake - Technologie de la mode Né le 22 avril 1938 à Hiroshima, au Japon, Issey Miyake est connu pour créer un mélange éclectique de la culture orientale et de la technologie textile de l'Occident. Ce mélange découle de son exposition précoce à la culture occidentale au cours de la Première Guerre mondiale II d'occupation américaines au Japon, alors qu'il n'avait que 10 ans. Il est noté pour être l'un des créateurs de mode les plus novateurs et le premier Asiatique à être reconnu au niveau mondial en tant que telle. Il a étudié et est diplômé en design graphique à l'Université Tama Art à Tokyo. En 1978, il publia un livre intitulé "East Meets West" - un pittoresque collection de ses plus grands desseins. En 1992, le premier parfum Miyake, L'eau d'Issey (Issey française sur l'eau) pour les femmes a été lancée. Miyake a reçu de nombreuses reconnaissances pour son ingéniosité créative.
Mariano Fortuny | Le costume dans tous ses états Mariano Fortuny (1871-1949) est né à Grenade dans une famille d’artistes. Il était espagnol d’origine mais vécut la plus grande partie de sa vie à Venise. Mariano était un peintre mais surtout un autodidacte qui se passionna pour la photographie, la soierie et la couture. En collaboration avec sa femme Henriette, il mit au point dès 1906, la création et la production de vêtements. Robe "Delphos", 1910 En 1907 il conçut une de ses plus célèbres créations: la robe « Delphos ». Détail d'une robe "Delphos", 1910 La robe « Delphos » est une œuvre artistique dans la conception de sa pigmentation. Ensemble de robes "Delphos" Dans sa robe « Delphos » il n’y a pas d’accessoires superflus ni d’artifices. Velours bleu-vert avec impressions dorées au pochoir, 1930 Les créations de Fortuny sont à la fois singulières et révolutionnaires. Natasha Rambova portant une robe "Delphos", 1924 Les femmes ne s’y sont pas trompées, elles ont vite vu l’élégance de ses robes, leur confort et leur beauté.
Charles Koroly Bien souvent, on connaît le nom du réalisateur d’un film ou du metteur en scène d’une pièce de théâtre, mais jamais celui du décorateur ou du costumier. En 2012, le Museum Rolf de Maré de Stockholm organisait une rétrospective d’un de ses plus grands costumiers : Charles Koroly qui a œuvré pendant plus de 30 ans pour le théâtre, la danse et le cinéma. C’est à l’âge de 19 ans que ce jeune peintre américain s’installe à Londres pour étudier au Hornsey College of Art avant de s’établir en Suède pour apprendre la scénographie à l’Institut d’Art Dramatique de Stockholm, où il poursuivra toute sa carrière. Débutant comme décorateur au Théâtre d’Uppsala en 1982, il a par la suite participé à plus de 125 productions, y compris pour le Théâtre Royal de Stockholm avec des réalisateurs comme Ingmar Bergman, Lars Norén et Colin Nutley, ainsi que sur de nombreux autres projets en Europe.
Irving Penn Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Penn. Irving Penn, né le dans le New Jersey et mort le (à 92 ans) à New York[1] c'était un photographe américain, considéré comme un très grand photographe de mode, de beauté, et également célèbre pour ses portraits et ses natures mortes. Il est le frère du cinéaste Arthur Penn. Biographie[modifier | modifier le code] Il s'installe en 1938 à New York, où il se met à son compte. Recruté par Alexander Liberman pour intégrer l'équipe des photographes de Vogue[3], il fait sa première couverture du magazine, une nature morte, en 1943. Penn a publié de nombreux ouvrages. Il meurt à 92 ans dans son appartement new-yorkais de Manhattan. Œuvre et style[modifier | modifier le code] Irving Penn s'est rendu célèbre tout particulièrement pour son travail de photographe de mode, comme Richard Avedon. L'arrière-plan est la scène sur laquelle Penn fait évoluer ses modèles. Prix et récompenses[modifier | modifier le code]
Erwin Blumenfeld Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Erwin Blumenfeld, né le à Berlin et mort le à Rome, est un photographe allemand naturalisé américain. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir participé au mouvement Dada sous le pseudonyme de Jan Bloomfield, il commence une carrière dans la photographie professionnelle aux Pays-Bas au début des années 1930 ; il émigre en France en 1936 où il commence à travailler pour Verve et Vogue France, embauché par Michel de Brunhoff sur les conseils de Cecil Beaton[1] ; interné dans un camp, en France, en 1940 à cause de son origine allemande, il parvient à s'enfuir avec sa famille aux États-Unis en 1941. Blumenfeld devient célèbre pour ses photographies de mode des années 1940 et 1950, notamment pour les magazines américains Vogue et Harper's Bazaar[2]. Principales expositions rétrospectives[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Helen Adkins, Erwin Blumenfeld. Bibliographie connexe[modifier | modifier le code]
Révolution éco-technologique dans la mode éthique : le tissu dépolluant Pourquoi se contenter de réduire l’ empreinte carbone des vêtements lors de la phase de production alors qu’il est tout à fait possible de faire beaucoup plus pour qu’ils ménagent la planète ? L’information est difficile à croire tant elle est surprenante mais il semblerait qu’une incroyable innovation dans le secteur de la mode éthique permette aux habits… de purifier l’air pollué. C’est le Centre pour le stylisme durable, branche « verte » du London College of Fashion , et l’Université de Sheffield (Grande-Bretagne) qui sont à l’origine du projet « Vêtements catalytiques », lequel consiste à appliquer une nanotechnologie déjà existante – les photocatalyseurs – à l’industrie textile. Déjà utilisés dans plusieurs produits commercialisés – des peintures écolos par exemple -, les photocatalyseurs sont des éléments qui, à l’aide de la lumière, déclenchent et accélèrent une réaction sur les agents polluants. Au lieu de les consumer, ils les décomposent en produits chimiques non nuisibles.
La fibre de lait, nouvel ingrédient de la mode éthique Les robes fashions de la marque Mademoiselle Chi Chi sont confectionnées à partir de fibre de lait Loin des préjugés, il devient de plus en plus possible de concilier mode et respect de l’environnement. Les vêtements éthiques s’invitent désormais sur les podiums des capitales de la mode et les stylistes trouvent de nouveaux moyens pour apporter leur patte verte, entre robes capables de purifier l’air et accessoires de luxe conçus à partir de lances d’incendie recyclées. Il existe aussi, on le sait, tout un florilège de tissus écologiques, mais s’il était une matière encore plus eco-friendly que n’importe quel coton bio, chanvre ou bambou? La marque allemande Mademoiselle Chi Chi vient de faire sensation avec une collection très tendance de robes élaborées à partir… de lait ! L’idée peut paraître surprenante mais ne date pas d’hier… Fabriqués à base de fibres issues de caséine, la protéine du lait, ces tissus ont vu le jour dans les années 1930.
Coton, chanvre, bambou… Quel est le textile le plus écologique? Le chanvre reste le textile écologique par excellence. Il est toutefois de plus en plus souvent mélangé au coton et à la soie pour des raisons esthétiques La première matière qui vient à l’esprit lorsque l’on parle de tissus bio est généralement le chanvre. Cette plante possède en effet des vertus écologiques incontestables. Outre le fait qu’elle n’a pas beaucoup besoin d’eau pour pousser, elle est capable d’absorber des quantités non négligeables de dioxyde de carbone (CO2) et de chasser naturellement les mauvaises herbes. Problème : il est difficile de fabriquer des vêtements « décents » élaborés exclusivement à partir de chanvre. Il en résulte inévitablement une baisse de la valeur environnementale du textile, en particulier lorsque le chanvre est mêlé au coton, beaucoup moins écolo. Bien que tout aussi demandeur d’eau que le coton, le bambou a lui aussi la cote auprès des fabricants de mode éthique. Crédits photos : flickr - Dave O / Uncleweed
Des écailles de poissons pour remplacer le plastique Erik de Laurens a trouvé une bonne alternative au plastique : il confectionne des objets entièrement conçus à partir d'écailles de poissons Pléthore de produits naturels ont des caractéristiques insoupçonnées ou qui ont été oubliées avec le temps et le développement industriel. L’une des plus célèbres inventions de ce dernier est d’ailleurs devenue un véritable fléau : le plastique. Diplômé du Royal College of Art (Grande-Bretagne), Erik de Laurens semble avoir mis le doigt sur une idée de génie. Ont ensuite été confectionnés un distributeur d’eau et des gobelets à partir d’écailles de poissons. Une gabegie d’autant plus attristante qu’il n’est pas le premier à avoir démontré leurs propriétés exploitables. « Dans d’autres parties du monde, comme le Bangladesh, les Philippines et le Cameroun (NDLR : où elles servent notamment à produire du collagène, de la gélatine et des cosmétiques), les écailles de poissons sont vendues par tonnes », souligne-t-il.
Pour l'amour du denim français Bien que j’ai toujours porté des jeans, je ne me suis vraiment intéressé au denim que ces dernières années. Je suis loin d’être un expert et mes connaissances en la matière sont encore très limitées mais, au moins, je sais maintenant ce que j’aime et pourquoi, et je peux identifier un jean de qualité. Il faut bien démarrer quelque part, non ? J’ai eu l’occasion de travailler avec un grand nombre de marques qui font de très beaux jeans, et qui sont devenues mes références en la matière. Mais depuis mon retour en France, je suis parti à la recherche de la marque française de jeans. Et c’est comme ça que j’ai découvert Tuff’s, l’une des dernières maisons françaises de denim, basée en Lozère. Il s’agit d’une affaire de famille, tout comme Lafont Paris (dont je vous parlais en début de semaine), qui officie depuis plus de 120 ans dans le village de Florac -j’adore la photo du premier magasin ci-dessous. Aujourd’hui, Tuff’s propose deux collections. Que fais-tu et comment en es-tu arrivé là ?
Jeans Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'article concernant la toile de coton qui sert à fabriquer les blue-jeans, voir denim. Origines[modifier | modifier le code] Le brevet est accordé en mai 1873[4]. Ce qui garantit le succès de la collaboration Davis-Levi Strauss, c'est, outre le choix du denim (tissu exclusif à partir de 1860) et le renforcement par des rivets, le fait d'avoir privilégié le pantalon, et non, comme la concurrence, la salopette. Les jeans de production Levi Strauss & Co. des premiers temps conservent les attributs caractéristiques des vêtements de travail de la marque à destination des bûcherons et chercheurs d'or : Évolution et chronologie[modifier | modifier le code] Agencement des poches et des rivets en cuivre caractéristiques du jean La coupe des pantalons désignés par le terme « jeans » diffère initialement assez peu d'un fabricant à l'autre. Principales dates[modifier | modifier le code] 1950 : Le jeans symbolise la révolte de la jeune génération.
How to Turn a Scarf into a Vest in 2 Easy Steps... Fashion This genius idea {which I am in no way claiming to have originated but merely stumbled upon a youtube video of it a few months ago} is yet another way to make your scarves work for you. Light scarves, as we all know, are the perfect transitional accessory from Summer to Fall. They warm us up just enough while adding a little pop to our ensemble. This is a brilliant way to add a light layer on a chilly day without spending a dime or even pulling out a needle and thread. It’s genius I tell you… anyone can do it! Here’s What You’ll Need… Specifications: look for your longest scarves in your closet. Steps… * Fold your scarf or fabric in half lengthwise. * Now grab the top two corners of your folded scarf or fabric… * And tie them in a small knot with the least amount of fabric possible. * Open your folded scarf and you should see two arm holes… now go ahead and slip your arms right through those Voila! psst! Have Fun! Find all my DIYs here!