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Compétence relationnelle: l'affirmation de soi

Compétence relationnelle: l'affirmation de soi
Sylvaine Pascual – Publié dans Bien-être et estime de soi / Entretenir des relations saines Je suis tombée sur cette vidéo presque incroyable d’un chat qui explique clairement et avec un sacré aplomb aux deux crocodiles de son quartier que non, vraiment, là Marcel, là Maurice, vous passez les bornes. Et ce avec une décontraction qui en fait le champion de l’établissement des limites, Le seigneur de l’affirmation de soi. On pourrait croire le greffier capable d’un tel exploit arrogant ou présomptueux, d’une audace qui va bien finir pas lui coûter une patte, voire plus étant donné le gabarit et la nature de l’adversaire. Et pourtant, observez-le, pas un geste inutile, pas de colère superflue genre indignation vertueuse face à ses deux intrus et même pas d’agressivité: un geste ferme et affirmé, c’est tout. il agit avec le calme et la mesure de celui qui est en accord total avec ce qu’il fait, qui ne doute ni du bien-fondé des limites qu’il a fixé, ni de sa légitimité en les affirmant. Related:  CommunicationAssertiveness / Assertivité

PETITS EXERCICES POUR PRATIQUER UNE COMMUNICATION NON VIOLENTE | RelationAide 1er exercice : Observer cette photo => Décrivez là et notez ce que vous voyez : Avez-vous juste décris ce que vous voyez ou avez vous évalué ou interprété cette photo ? Cocher la « bonne » réponse !* « Homme paraissant en colère, avec une chemise bleue » « Homme dégouté en chemise bleue » « Homme brun en chemise bleue très énervé » « Homme cheveux brun portant une chemise bleue » Attention ! – Emploi de verbes à connotation évaluative : semble, paraît… – Emploi d’adverbes : souvent, sans raison, très… – Emploi de mots exprimant l’aptitude ou l’inaptitude à agir : bon, mauvais.. Ce premier exercice vous permet de réaliser combien il est difficile d’observer sans évaluer la situation, sans interpréter ! * « Homme cheveux brun portant une chemise bleue 2ème exercice : Essayer maintenant d’analyser le sentiment qui vous habite juste à l’instant ! Écrivez le : (Amusé, abattu, apeuré, agacé, abandonné, enjoué, cafardeux, déconcerté, ouvert, rejeté, reconnaissant…) mieux être.

Les ratés de la communication: non demandes et petites manipulations Sylvaine Pascual – Publié dans: Mieux communiquer Ha, les erreurs, bévues et boulettes de communication! Celles qui font qu’on reste tous déconfits, ayant obtenu au mieux rien du tout, au pire l’inverse de ce qu’on voulait. Nous voilà plongés dans un abîme de perplexité, car ce qu’on a demandé, c’était CLAIR, non? L’autre jour, je reçois un mail intitulé “votre blog” qui présente certaines caractéristiques d’une communication peu performante : “Bonjour Madame, J’ai lu avec intérêt votre blog Bravo, c’est très enrichissant et très bien. Je ne sais pas si vous allez pouvoir m’aider mais je tente ma chance de jeune créateur d’une pousse innovante. Voilà, j’ai créé Tartanpion, start-up qui développe des outils (…) de relaxation, prévention et gestion du stress, gestion des émotions. (…) Sinon, peut-être y trouvez-vous également un intérêt pour votre propre activité professionnelle ? Au plaisir de vous lire, X” 3 erreurs simples de communication Voir aussi:

Le bonheur, c’est les autres! Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux? L’étude a plus longue de l’histoire rapportée par le psychiatre chercheur Robert Waldinger dans une conférence TED, est catégorique, il n’y a qu’une seule chose qui garantit et entretient le sentiment d’être heureux. Ce n’est ni la méditation ni l’argent: ce sont les relations sociales réjouissantes. Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux dans la vie ? Si nous devions investir aujourd’hui dans un nous-même de demain le plus heureux possible, à quel domaine consacrerions-nous le plus de temps et d’énergie ? Voir : Produire vs induire le sentiment d’être heureux En voici deux exemples : Richesse et célébrité: Selon Robert Waldinger, une étude américaine récente a demandé à des jeunes adultes de la génération Z quels étaient leurs objectifs dans la vie. 80% ont répondu « devenir riche » et 50% « devenir célèbre ». Le besoin de reconnaissance Ce n’est pas une surprise. Les bonnes relations nous entretiennent Les bonnes relations préservent le cerveau

12 bonnes pratiques pour que l’on vous écoute vraiment. Vous êtes à fond dans votre présentation et pourtant vous sentez que votre auditoire décroche. Ou bien quand vous partagez une idée importante avec un contact, celui vous paraît distrait, peu impliqué. Notre expert Pascal Le Guern vous dévoile les trucs et astuces pour être sûr que le courant passe. Quand vous prenez la parole, vos interlocuteurs sont exposés plus ou moins consciemment à 3 niveaux de communication. Le verbal : ce que vous dites effectivement, le para-verbal : la façon dont vous le dites, sans oublier le non-verbal : vos postures et mouvements. Découvrez à présent comment mettre votre gestuelle au service de vos propos. Ebook gratuit: le triangle de Karpman J’ai le plaisir de vous présenter le second des dossiers d’Ithaque sous forme d’e-book. Après le guide d’auto coaching sur la reconversion professionnelle, celui-ci est consacré aux connaissances de base indispensables à l’amélioration de nos relations: le triangle de Karpman (ou triangle dramatique). Nous sommes tous inscrits, avec des combinaisons et des ampleurs différentes, dans la valse pénible des rôles relationnels. Victime, sauveur ou persécuteur, nous cherchons les moyens d’être entendus et reconnus au travers de ces comportements, plutôt inefficaces, parfois assez toxiques et franchement déplaisants. En dépit des connotations que nous pouvons mettre sur les dénominations de ses rôles, aucun n’est meilleur ou plus mauvais que les autres et ils sont l’expression des petites manipulations ordinaires du commun des mortels. Cet ebook a un triple objectif: Bonne lecture! L’ebook est disponible en lecture en ligne uniquement: Autres ebooks disponibles: Voir aussi Compétences relationnelles

Du triangle de Karpman à l’équilibre relationnel: la triplette prosociale Il semble que la toxicité des relations professionnelles soit directement proportionnelle aux difficultés rencontrées par l’ensemble des salariés, managers et collaborateurs dans un même bateau qui prend, en ces temps difficiles, une eau fangeuse un peu trop vite étiquetée « crise ». Parce que c’est un enjeu collaboratif de taille, voici une triplette prosociale pour rouler de concert vers un minimum d’élégance relationnelle. Pris entre des assortiments glauques de marteaux et d’enclumes en tous genres, qui génèrent de nombreuses peurs, managers et collaborateurs ont vite recours aux rôles relationnels, refuge facile et ordinaire lorsque nous ne savons plus comment obtenir ce dont nous avons besoin. Nous sommes alors gouvernés par des craintes inébranlables qui ont vite fait de se transformer en croyances limitantes exprimées dans toute la palette trop-bon-trop-con: Triangle de Karpman Chassez le naturel, il revient au galop? La vulnérabilitéL’affirmation de soiLa bienveillance empathique

Méthode des six chapeaux La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3]. Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4]. Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'ordre d'adoption des chapeaux varie en fonction du type de problème. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]). Portail du management

10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres Une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes clients, qu’ils soient salariés, indépendants, managers ou chefs d’entreprise c’est d’affronter sereinement le regard des autres. Voici 10 excellentes raisons de ne plus nous préoccuper d’un juge qui existe avant tout dans nos têtes. Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Et comme – curieusement? Du coup, nous passons beaucoup de temps à passer nos comportements au moulin à jugement avant d’agir et l’écart entre ce que nous sommes, ce que nous voudrions bien pouvoir être et l’image que nous nous efforçons de donner se creuse jusqu’à atteindre des proportions dignes du Grand Canyon. Voici donc dix bonnes raisons de se moquer de ce regard fatigant. D’autre part, parce que ce sont des raisons, ces affirmations sont raisonnées (ça, c’est de la révélation), elles sont le fruit d’un raisonnement logique. 1- Le jugement des Autres, c’est le nôtre Voir aussi Aller plus loin

Guide de survie aux abrutis: la chenille et le brocoli Où je vous propose une histoire de chenilles dans le brocoli comme métaphore potagère de la place que prennent nos abrutis personnels dans nos cafetières… et comment s’en débarrasser ! Nous sommes 8 en vacances ensemble et, les jours de marché, la maison ressemble à une corne d’abondance : les fruits et légumes qui ne trouvent pas leur place au frigo s’amoncellent en plusieurs catégories : ceux pour aujourd’hui, ceux pour demain, ceux pour jeudi etc. Mais voilà, les barbecues estivaux étant organisés en fonction de la météo, ceux pour aujourd’hui, pour demain etc. peuvent changer de statut à tout instant. Je ne sais pas comment, mais ça m’a fait penser à nos relations. Et puis, le brocoli est une représentation somme toute assez fidèle d’un encéphale en costume de légume. Certes, de vers dans le fruit en limace dans la salade, j’ai la métaphore potagère facile. Nous sommes parfois prompts à étiqueter abrutis tous les quidams qui nous horripilent sans discrimination. Fixer une limite

Réaliser une introduction mémorable | Adrien RIVIERRE

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