PETITS EXERCICES POUR PRATIQUER UNE COMMUNICATION NON VIOLENTE | RelationAide
1er exercice : Observer cette photo => Décrivez là et notez ce que vous voyez : Avez-vous juste décris ce que vous voyez ou avez vous évalué ou interprété cette photo ? Cocher la « bonne » réponse !* « Homme paraissant en colère, avec une chemise bleue » « Homme dégouté en chemise bleue » « Homme brun en chemise bleue très énervé » « Homme cheveux brun portant une chemise bleue » Attention ! – Emploi de verbes à connotation évaluative : semble, paraît… – Emploi d’adverbes : souvent, sans raison, très… – Emploi de mots exprimant l’aptitude ou l’inaptitude à agir : bon, mauvais.. Ce premier exercice vous permet de réaliser combien il est difficile d’observer sans évaluer la situation, sans interpréter ! * « Homme cheveux brun portant une chemise bleue 2ème exercice : Essayer maintenant d’analyser le sentiment qui vous habite juste à l’instant ! Écrivez le : (Amusé, abattu, apeuré, agacé, abandonné, enjoué, cafardeux, déconcerté, ouvert, rejeté, reconnaissant…) mieux être.
Le bonheur, c’est les autres!
Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux? L’étude a plus longue de l’histoire rapportée par le psychiatre chercheur Robert Waldinger dans une conférence TED, est catégorique, il n’y a qu’une seule chose qui garantit et entretient le sentiment d’être heureux. Ce n’est ni la méditation ni l’argent: ce sont les relations sociales réjouissantes. Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux dans la vie ? Si nous devions investir aujourd’hui dans un nous-même de demain le plus heureux possible, à quel domaine consacrerions-nous le plus de temps et d’énergie ? Voir : Produire vs induire le sentiment d’être heureux En voici deux exemples : Richesse et célébrité: Selon Robert Waldinger, une étude américaine récente a demandé à des jeunes adultes de la génération Z quels étaient leurs objectifs dans la vie. 80% ont répondu « devenir riche » et 50% « devenir célèbre ». Le besoin de reconnaissance Ce n’est pas une surprise. Les bonnes relations nous entretiennent Les bonnes relations préservent le cerveau
1 . L’affirmation de soi « J’ai le droit…
7 clés pour s'affirmer tranquillement | Le Blog de l'Efficacité professionnelle
7 clés pour s’affirmer tranquillement Par Jean-Pierre Testa le 12 décembre 2016 Développement personnel 0 Commenter Se connaître soi-même et comprendre les mécanismes essentiels des relations humaines est indispensable pour s’affirmer et agir mieux avec les autres en milieu professionnel. 1. Aborder la relation avec un a priori de confiance.Prendre l’initiative de dire bonjour et au revoir.Penser à établir le contact et à le maintenir. 2. Se détendre et choisir une position d’ouverture.Regarder dans les yeux son interlocuteur.Exprimer son humour. 3. Clarifier ses objectifs et ses besoins. 4. Chercher à connaître chacun en échangeant avec lui.Penser aux qualités de ses interlocuteurs.Écouter les opinions des autres sans jugement. 5. S’engager personnellement en prenant position.Répondre de façon directe à la question posée.Exprimer plus souvent ce que l’on ressent pour être plus proche et chaleureux. 6. 7. Et vous quelles clés aimeriez-vous plus particulièrement mettre en œuvre ? Commenter 0
12 bonnes pratiques pour que l’on vous écoute vraiment.
Vous êtes à fond dans votre présentation et pourtant vous sentez que votre auditoire décroche. Ou bien quand vous partagez une idée importante avec un contact, celui vous paraît distrait, peu impliqué. Notre expert Pascal Le Guern vous dévoile les trucs et astuces pour être sûr que le courant passe. Quand vous prenez la parole, vos interlocuteurs sont exposés plus ou moins consciemment à 3 niveaux de communication. Le verbal : ce que vous dites effectivement, le para-verbal : la façon dont vous le dites, sans oublier le non-verbal : vos postures et mouvements. Découvrez à présent comment mettre votre gestuelle au service de vos propos.
Du triangle de Karpman à l’équilibre relationnel: la triplette prosociale
Il semble que la toxicité des relations professionnelles soit directement proportionnelle aux difficultés rencontrées par l’ensemble des salariés, managers et collaborateurs dans un même bateau qui prend, en ces temps difficiles, une eau fangeuse un peu trop vite étiquetée « crise ». Parce que c’est un enjeu collaboratif de taille, voici une triplette prosociale pour rouler de concert vers un minimum d’élégance relationnelle. Pris entre des assortiments glauques de marteaux et d’enclumes en tous genres, qui génèrent de nombreuses peurs, managers et collaborateurs ont vite recours aux rôles relationnels, refuge facile et ordinaire lorsque nous ne savons plus comment obtenir ce dont nous avons besoin. Nous sommes alors gouvernés par des craintes inébranlables qui ont vite fait de se transformer en croyances limitantes exprimées dans toute la palette trop-bon-trop-con: Triangle de Karpman Chassez le naturel, il revient au galop? La vulnérabilitéL’affirmation de soiLa bienveillance empathique
2- 10 moyens surprenants d’améliorer la…
Affirmation de soi et proactivité
S’affirmer sans crainte ni agressivité dans ses relations professionnelles est essentiel pour réussir avec les autres. Si les outils aident pour s’affirmer positivement dans ses relations, une clé importante pour développer cette attitude réside dans ce que l’on appelle « la proactivité ». Comment définir la proactivité ? Ce terme est attribué au Docteur Viktor Frankl (1905-1997) professeur autrichien de neurologie et de psychiatrie. Sa terrible expérience de prisonnier dans les camps de concentration est à l’origine de sa théorie du sens de la vie. Frankl y souligne l’importance du courage, de la volonté et de la responsabilité individuelle, de reconnaître la liberté de choix et d’agir quelles que soient les épreuves de la vie. « Lorsqu’on ne peut plus changer une situation, reste le défi de se changer soi-même »[1]. La « proactivité » renvoie donc à la capacité de choisir librement en fonction de ses différents intérêts, de ses valeurs et de ses relations. Réactivité versus Proactivité
Méthode des six chapeaux
La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3]. Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4]. Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'ordre d'adoption des chapeaux varie en fonction du type de problème. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]). Portail du management
Guide de survie aux abrutis: la chenille et le brocoli
Où je vous propose une histoire de chenilles dans le brocoli comme métaphore potagère de la place que prennent nos abrutis personnels dans nos cafetières… et comment s’en débarrasser ! Nous sommes 8 en vacances ensemble et, les jours de marché, la maison ressemble à une corne d’abondance : les fruits et légumes qui ne trouvent pas leur place au frigo s’amoncellent en plusieurs catégories : ceux pour aujourd’hui, ceux pour demain, ceux pour jeudi etc. Mais voilà, les barbecues estivaux étant organisés en fonction de la météo, ceux pour aujourd’hui, pour demain etc. peuvent changer de statut à tout instant. Je ne sais pas comment, mais ça m’a fait penser à nos relations. Et puis, le brocoli est une représentation somme toute assez fidèle d’un encéphale en costume de légume. Certes, de vers dans le fruit en limace dans la salade, j’ai la métaphore potagère facile. Nous sommes parfois prompts à étiqueter abrutis tous les quidams qui nous horripilent sans discrimination. Fixer une limite