Putin a lancé un mandat international contre G. Soros pour terrorisme international « Société Civile février 7, 2012 par Dornach Il finançait les opposants russes qui dénoncent les soi-disantes manipulations des dernières élections russes et qui essaient de renverser le régime en poussant une partie de la population incrédule à manifester dans les rues ! Georges Soros, milliardaire juif-américain d’origine hongroise à la tête de plusisieurs hedge funds, a maintenant peu de chance de poursuivre ses jeux sales avec la spéculation qui mis à genoux l’ensemble du système financier mondial et toujours en collaboration avec Rothschild, les Rockefeller et autres chacals. Soros utilisait les produits dérivés danois avec d’autres devises étrangères pour commencer à attaquer les actions de la monnaie russe sur le marché ! Notez que Soros a utilisé ces dérivés avec l’aide de banques de Luxembourg, ce qui est strictement interdit après que le contrat fait par les États de l’UE appelé Bâle II. Poutine commence donc à chasser ces criminels et leurs complices de banquiers : Rothschild, Rockefeller.
Quelles priorités, tâches et ambitions pour l’audit citoyen de la dette publique en Europe aux temps de la Troïka ? Au moment où la Campagne grecque pour l’audit de la dette publique fait des émules un peu partout en Europe, un premier bilan de son activité s’impose afin de tirer des leçons utiles pour tout le monde. En effet, étant donné que cette campagne grecque a fait ses premiers pas, il y a exactement un an, et qu’elle a été la première à tenter cette expérience jusqu’alors totalement inédite au Nord planétaire, il est plus que normal qu’on se penche sur ses acquis et ses dilemmes, ses succès et ses impasses pour lancer, enfin (!), le débat non plus sur la dette elle-même, mais plutôt sur les dimensions politique, sociale et surtout movimentiste et émancipatrice du combat pour son audit indépendant et « par en bas ». Cette première constatation est riche d’enseignements très pratiques. Cependant, les difficultés des audits européens de la dette ne se résument pas à la seule obstruction active des autorités du pays en question. L’audit, affaire de seuls experts ?
Quelques fondements juridiques de l’annulation de la dette Plusieurs fondements juridiques justifient l’annulation (ou répudiation) de la dette. Sont résumées dans cet article, les notions de “dette odieuse”, “force majeure” et “état de nécessité ”. D’autres arguments juridiques peuvent être également invoqués mais ils ne seront pas abordés ici. Joseph Stiglitz, Au lieu de fonder un refus de reconnaissance de dette sur le droit national et international, les nouveaux gouvernants préférèrent négocier des rééchelonnements et des allégements cosmétiques avec les créanciers. La doctrine de la “dette odieuse” a été évoquée régulièrement par différents mouvements citoyens favorables à l’annulation des dettes mais les régimes post-dictature et, bien sûr, les créanciers ont fait la sourde oreille. La réalisation d’audits avec pour fonction de déterminer le caractère odieux ou non de tout ou partie des dettes d’un pays constitue un enjeu de toute première importance. Pays Régime dictatorial Période de la dictature Dette odieuse (dictature) Indonésie Suharto
Autogestion Sur cette page, avec le lien ci-dessous, vous pouvez accéder directement aux différents articles publiés sur l'Autogestion Le samedi 18 juin 2011, l'"association pour l'autogestion" a été constituée. Cette initiative avait été impulsée par le collectif Lucien Collonges à la suite de la publication de "Autogestion – Hier, aujourd'hui, demain" lors d'une réunion le 26 mars dernier. Le siège social est fixé chez les Editions Syllepse, 69 rue des Rigoles, 75020 Paris. L'autogestion est à la fois un but et un chemin. Comme but, l’autogestion constitue la forme d’organisation et le mode de fonctionnement d’une société fondée sur la participation de toutes et de tous à l’ensemble des décisions dans les champs économique et politique, à tous les niveaux de la sphère collective pour l’émancipation de chacun et de chacune. L'Association a pour ambition de promouvoir la réflexion et l'éducation populaire sur la thématique de l’autogestion. En écho à "AUTOGESTION, hier, aujourd’hui, demain", (Ed. I.
Stratégie de choc : démo en temps réel en Grèce Depuis la mise en place de la Troïka, les nouvelles mesures tombent quotidiennement : nous apprenons de mauvaises nouvelles tous les jours et nous subissons une mithridatisation certaine. D’où notre mutation. Déjà dans le vocabulaire, « CDS », « spreads », « PSI », « FMI », « Debt », « Agences de notation », « triple A », « double C », termes relevant déjà de la sémantique du désastre. Nos neurones explosent, nous devenons incapables d’aller au-delà, nous sombrons dans les psychotropes (le gouvernement Papadémien vient tout juste de dépénaliser l’usage de la drogue dite « légère »), nous sombrons aussi dans l’alcool et le suicide. Ainsi, leur stratégie est digne du meilleur interrogatoire des temps totalitaires. Notre sociabilité se trouve grièvement blessée. Croyez-moi, chers amis, cette stratégie du choc n’est pas une illusion. Nous sentant déjà ancrés à la solution finale bancocrate, nous tenterons sans aucun doute autre chose.
148 – AJ Holbecq: Plusieurs alternatives au remboursement de la dette publique Imaginons qu’en 2012, le nouveau Président décide de rembourser, autant que faire se peut, la dette publique. Bien évidement il se rendra compte que les administrations publiques, ne pouvant déjà pas payer plus de 50 milliards d’intérêt par an sur une dette qui sera à fin 2011 de plus de 1700 Md€, ne peuvent non plus absolument pas rembourser un centime du capital formant la dette, même en diminuant d’une façon considérable le nombre de leurs fonctionnaires et en réduisant de toute part les dépenses (car la réduction des revenus de tous, c’est en même temps la réduction de leurs dépenses, donc une baisse du PIB, donc une baisse des recettes fiscales), même en augmentant les impôts des classes moyennes déjà exsangues (avec également la conséquence sur l’activité), et que donc il ne reste qu’une seule solution : la monétisation directe par la Banque de France. Las, c’est interdit… doublement interdit. D’abord par une loi française, l’article L141-3 du code monétaire et financier. Like this:
Pour l'abandon de la dette et la nationalisation des banques Comment la dette publique s'est-elle creusée ? Nous voyons bien que ce problème de la dette des Etats empoisonne l'Europe, même les Etats Unis sont atteint par ce mal et bien évidemment les pays en voie de développement même s'il s'agit là d'un problème encore plus complèxe ...lié à l'histoire... Aujourd'hui nombre de pays sont au bord de l'implosion : Grèce, Irlande, Portugal, Espagne, Italie et maintenant la France pour ne parler que de ceux qui se trouvent sous le feu de la rampe. Cela provoque des mouvements sociaux de plus en plus importants dont il est difficile de mesurer les conséquences à terme.. . Jusqu'en 1973, notre pays, ainsi que d'autres en Europe, a connu une période de développement sans précédent, appelée les "trente glorieuses". C'est à ce moment que le président Pompidou a proposé...et obtenu...que les pays européens ne puissent plus se financer qu'en empruntant aux banques privées.
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