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AXA_GUIDE_BSN.pdf (Objet application/pdf)

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Axa France publie son « Guide du bon sens numérique » pour aider à l’usage sécurisé des nouvelles technologies Internet guide vie privée La filière française du groupe d’assurance Axa vient de rendre publique les résultats d’un projet initié avec ces collaborateurs visant à exprimer le bon usage des médias numériques et des réseaux sociaux au travers d’un guide complet distillant 20 conseils indispensables pour prévenir les risques numériques. Cela a notamment permis de sensibiliser les équipes françaises d’Axa France aux nouvelles technologies ainsi qu’à leurs bons usages aussi bien en tant qu’activité professionnelle que personnelle. Le guide Axa France du bon sens numérique est le fruit de témoignages et d’expériences recueillies sur une plateforme collaborative auprès du personnel d’Axa France. Parce que de bons conseils avisés ne sont jamais de trop, le Guide du bon sens numérique est disponible et accessible à tous.

Dedipix Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dedipix est une dédicace par l'image (mot-valise créé par contraction de « dédicace » et « picture », soit « image » en anglais, ou bien encore pixel), un phénomène constaté dans le milieu des adolescents blogueurs[1]. Un phénomène adolescent[modifier | modifier le code] Le blogueur réalise une photographie de lui, avec un pseudonyme marqué au feutre sur une partie de son corps ou sur une feuille . En contrepartie d'une telle dédicace, les autres blogueurs postent des commentaires sur le blog de l'auteur. Il peut y avoir surenchère, le nombre de commentaires étant généralement d'autant plus élevé que la photographie est coquine[1],[2]. Risques[modifier | modifier le code] Cette pratique inquiète les spécialistes de la cybercriminalité car elle est susceptible d'attirer les pédophiles prédateurs : il leur est parfois possible de découvrir d'où viennent les photographies, et ainsi de contacter l'auteur via son blog[3].

Les entreprises doivent former leurs salariés aux risques des réseaux sociaux Une large majorité des firmes empêchent leurs employés d'accéder aux sites collaboratifs, pour des questions de sécurité et de productivité. Mais le dialogue et la formation sont souvent plus efficaces. Alors que les réseaux sociaux prennent une place de plus en plus importante dans le quotidien des internautes, les entreprises tentent d'en limiter l'utilisation sur le lieu de travail. Ainsi, près des trois quarts des firmes dans le monde bloquent totalement l'accès à ces plates-formes, selon une étude de Kaspersky. En France, les compagnies seraient un peu plus permissives : 64 % "seulement" empêcheraient leurs salariés de naviguer sur Facebook et autres Twitter. Le but avoué serait d'éviter que les employés n'y dilapident une partie de leur temps de travail mais surtout de protéger la sécurité de l'entreprise. Une sécurité souvent compromise Certaines entreprises ne peuvent s'en passer dans leur stratégie de communication. Des actes simples pour pallier aux principales attaques

Sexting, plan cam, dedipix, sextape Sexting, plan cam, dedipix, sextape Avec Internet, on vit dans un monde d’images où l’on se met en scène. On a envie de montrer qu’on est une « vraie femme »/un « vrai mec » ? On se met alors en scène de manière un peu coquine, et même plus. On a envie de s’afficher comme quelqu’un qui n’a pas froid aux yeux ? Privé/public : quelles sont les frontières ? Toutes ces images, ces vidéos sont échangées de manière strictement privée entre deux personnes qui ont une relation épisodique ou durable… Mais voilà, une dispute, une rupture, une trahison, une envie de se venger, et ces images se mettent à circuler à la vitesse grand V, sur le Web et les téléphones. Des moteurs de recherche de plus en plus futés Il faut savoir que sur Internet, rien ne se perd. Avant d’agir, se poser des questions Avant d’envoyer une photo, même à quelqu’un de très, très proche, il vaut mieux se poser quelques questions. Les mauvaises excuses Et la loi dans tout ça ? Check list de ta vie en ligne

Les salariés privés de réseaux sociaux ? L’information a été déjà beaucoup reprise, par exemple ici et là, mais impossible de trouver en ligne la méthodologie de réalisation de l’étude en question. Quoi qu’il en soit, le fait que cette information soit reprise est intéressant en soi et en particulier les motifs évoqués pour interdire l’accès à ces plateformes. En premier lieu vient le risque que les salariés dilapident leur temps de travail à discuter avec leurs "amis" sur Facebook de toute autre chose que de travail… ou à twitter à tout bout de champ ce qu’ils font à l’instant "t". Viennent ensuite les questions de sécurité (introduction de virus et diffusion volontaire ou involontaire d’informations confidentielles). Mais, les divers commentateurs du chiffre de Kaspersky s’intéressent surtout à la question de la confiance : en agissant de la sorte, les employeurs ne feraient pas confiance à leurs employés et à leur capacité à limiter de leur propre chef leurs activités extraprofessionnelles sur le lieu de travail.

La sexualité des jeunes passe par le web A 15 ans, 55% des jeunes ont déjà vu un film X. PHILIPPE JUSTE © Maxppp Rencontres via Internet, sites, vidéos et pratiques X : les nouvelles technologies qui rendent accessible le porno font partie intégrante de la sexualité des 15-24 ans. C'est en tout cas les résultats tirés d'une enquête Ifop sur le sujet, qui note également une tendance à la bissexualité chez les jeunes filles. "Génération YouPorn : mythe ou réalité ?". C'est le titre de l'enquête Ifop réalisée entre le 3 et le 9 septembre 2013, sur Internet. Des résultats à relativiser : l'ensemble de l'enquête a été réalisée... sur Internet. Les sites de rencontres sont à la mode Les jeunes se rencontrent beaucoup sur Internet : du moins, plus que leurs aînés, et plus que par le passé. ► ► ► A ECOUTER | Le succès des sites de rencontres, sur France Inter La consultation des sites porno en hausse Une évolution encore plus frappante : celle de la consultation des sites pornographiques. ► ► ► Le rapport complet de l'IFOP :

Réseaux sociaux : sensibilisez vos salariés aux risques Parmi les 72,3% de Français qui se connectent à Internet, 78% sont membres d'au moins un réseau social - Facebook, Viadeo, Twitter... - (*) et 30% posteraient des informations d'ordre professionnel (**). Autant dire que les entreprises doivent rester vigilantes sur ce qui circule sur la Toile. Des commentaires désobligeants dans un cas sur cinq 15% des salariés du privé avouent parler de leur entreprise sur des réseaux sociaux, révèle une enquête menée par Hopscotch, société de relations publiques, et l'institut de sondage Viavoice. Si le chiffre peut paraître faible, il représente tout de même 2,5 millions de personnes dans le secteur privé, souligne l'étude. Mais que les entreprises se rassurent : les deux tiers en parlent positivement. La judiciarisation, une solution insuffisante 86% des salariés ont conscience qu'ils prennent des risques en parlant de leur entreprise sur les réseaux sociaux. Sensibiliser les salariés à la question

Snapchat: Cette photo s'autodétruira dans 3, 2, 1... Les adolescents américains en raffolent. L’application iOS et Android Snapchat, permettant d’envoyer des photos capables de s’autodétruire au bout de quelques secondes, fait un tabac depuis quelques mois. Classée au top 10 des applis à télécharger sur l’App Store, elle a même attiré l’attention de Facebook, qui, flairant le succès, a créé une copie, baptisée Poke. Il faut dire que la promesse de Snapchat est séduisante: pouvoir envoyer une photo de tout et n’importe quoi sans risquer de la retrouver en ligne par la suite et de salir son e-reputation. L’outil est ainsi idéal pour le «sexting», l’envoi de photographies sexuellement explicites. Captures et failles Mais toutes les traces disparaissent-elles vraiment pour de bon? Par ailleurs, une importante faille a été découverte en décembre: Buzzfeed s’est rendu compte que les clichés échangés étaient récupérables sur iOS par leur destinataire. Anaëlle Grondin

Clash ta boîte sur Facebook Brisant jusqu'à l'omerta traditionnelle du secteur bancaire, les réseaux sociaux deviennent un nouveau moyen pour les salariés de se faire justice face à leurs employeurs... lesquels sont loin d'avoir réalisé la nécessaire adaptation des relations en entreprise à ces outils. L’histoire a surgi sans crier gare au détour d’un blog publié le 8 novembre 2011 sur la plateforme de micro-blogging Tumblr. Intitulé « The real story – histoire d’un licenciement abusif », le site émane de l’ancien directeur de BNP Paribas Securities Services (BP2S), Jacques-Philippe Marson. Le fait pourrait sembler anecdotique et relever uniquement d’un conflit privé qui tourne au vinaigre entre un employeur intraitable et un ex-salarié évincé brutalement. Coup de canif dans l’omerta bancaire La démarche de Jacques-Philippe Marson a de quoi surprendre tellement la discrétion des lambris capitonnés de la banque s’applique en toutes circonstances, y compris lorsque les conflits les plus violents s’y produisent. .

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