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AXA_GUIDE_BSN.pdf (Objet application/pdf)

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Axa France publie son « Guide du bon sens numérique » pour aider à l’usage sécurisé des nouvelles technologies Internet guide vie privée La filière française du groupe d’assurance Axa vient de rendre publique les résultats d’un projet initié avec ces collaborateurs visant à exprimer le bon usage des médias numériques et des réseaux sociaux au travers d’un guide complet distillant 20 conseils indispensables pour prévenir les risques numériques. Cela a notamment permis de sensibiliser les équipes françaises d’Axa France aux nouvelles technologies ainsi qu’à leurs bons usages aussi bien en tant qu’activité professionnelle que personnelle. Le guide Axa France du bon sens numérique est le fruit de témoignages et d’expériences recueillies sur une plateforme collaborative auprès du personnel d’Axa France. Parce que de bons conseils avisés ne sont jamais de trop, le Guide du bon sens numérique est disponible et accessible à tous.

Les entreprises doivent former leurs salariés aux risques des réseaux sociaux Une large majorité des firmes empêchent leurs employés d'accéder aux sites collaboratifs, pour des questions de sécurité et de productivité. Mais le dialogue et la formation sont souvent plus efficaces. Alors que les réseaux sociaux prennent une place de plus en plus importante dans le quotidien des internautes, les entreprises tentent d'en limiter l'utilisation sur le lieu de travail. Ainsi, près des trois quarts des firmes dans le monde bloquent totalement l'accès à ces plates-formes, selon une étude de Kaspersky. En France, les compagnies seraient un peu plus permissives : 64 % "seulement" empêcheraient leurs salariés de naviguer sur Facebook et autres Twitter. Le but avoué serait d'éviter que les employés n'y dilapident une partie de leur temps de travail mais surtout de protéger la sécurité de l'entreprise. Une sécurité souvent compromise Certaines entreprises ne peuvent s'en passer dans leur stratégie de communication. Des actes simples pour pallier aux principales attaques

Les salariés privés de réseaux sociaux ? L’information a été déjà beaucoup reprise, par exemple ici et là, mais impossible de trouver en ligne la méthodologie de réalisation de l’étude en question. Quoi qu’il en soit, le fait que cette information soit reprise est intéressant en soi et en particulier les motifs évoqués pour interdire l’accès à ces plateformes. En premier lieu vient le risque que les salariés dilapident leur temps de travail à discuter avec leurs "amis" sur Facebook de toute autre chose que de travail… ou à twitter à tout bout de champ ce qu’ils font à l’instant "t". Viennent ensuite les questions de sécurité (introduction de virus et diffusion volontaire ou involontaire d’informations confidentielles). Mais, les divers commentateurs du chiffre de Kaspersky s’intéressent surtout à la question de la confiance : en agissant de la sorte, les employeurs ne feraient pas confiance à leurs employés et à leur capacité à limiter de leur propre chef leurs activités extraprofessionnelles sur le lieu de travail.

Réseaux sociaux : sensibilisez vos salariés aux risques Parmi les 72,3% de Français qui se connectent à Internet, 78% sont membres d'au moins un réseau social - Facebook, Viadeo, Twitter... - (*) et 30% posteraient des informations d'ordre professionnel (**). Autant dire que les entreprises doivent rester vigilantes sur ce qui circule sur la Toile. Des commentaires désobligeants dans un cas sur cinq 15% des salariés du privé avouent parler de leur entreprise sur des réseaux sociaux, révèle une enquête menée par Hopscotch, société de relations publiques, et l'institut de sondage Viavoice. Si le chiffre peut paraître faible, il représente tout de même 2,5 millions de personnes dans le secteur privé, souligne l'étude. Mais que les entreprises se rassurent : les deux tiers en parlent positivement. La judiciarisation, une solution insuffisante 86% des salariés ont conscience qu'ils prennent des risques en parlant de leur entreprise sur les réseaux sociaux. Sensibiliser les salariés à la question

Clash ta boîte sur Facebook Brisant jusqu'à l'omerta traditionnelle du secteur bancaire, les réseaux sociaux deviennent un nouveau moyen pour les salariés de se faire justice face à leurs employeurs... lesquels sont loin d'avoir réalisé la nécessaire adaptation des relations en entreprise à ces outils. L’histoire a surgi sans crier gare au détour d’un blog publié le 8 novembre 2011 sur la plateforme de micro-blogging Tumblr. Intitulé « The real story – histoire d’un licenciement abusif », le site émane de l’ancien directeur de BNP Paribas Securities Services (BP2S), Jacques-Philippe Marson. Le fait pourrait sembler anecdotique et relever uniquement d’un conflit privé qui tourne au vinaigre entre un employeur intraitable et un ex-salarié évincé brutalement. Coup de canif dans l’omerta bancaire La démarche de Jacques-Philippe Marson a de quoi surprendre tellement la discrétion des lambris capitonnés de la banque s’applique en toutes circonstances, y compris lorsque les conflits les plus violents s’y produisent. .

E-réputation : attention aux propos tenus par les salariés sur les réseaux sociaux ! par Gérard Haas - Chronique e-Business En matière d’e-réputation, les entreprises utilisent la veille pour savoir ce que leurs clients ou leurs concurrents pensent d’elles. Mais, il est tout aussi important de savoir ce que leurs salariés disent d’elles sur les réseaux sociaux. Décryptage en 5 cas. Une enquête Hopscotch-Viavoice, publiée en janvier 2011, soulignait que 15% des salariés, soit 2,5 millions de personnes, reconnaissaient qu’il leur arrivait d’évoquer leur entreprise sur les réseaux sociaux. - Cas 1 : Conseil de Prud’homme Boulogne Billancourt, 19 novembre 2010 (Affaire Alten, 1ère instance):Les conseillers prud’homaux estiment que les propos tenus sur Facebook sont constitutifs d’une faute grave et justifient le licenciement - Cas 2 : Cour d’appel de Besançon 15 novembre 2011 : Les propos violents et excessifs du salarié justifient le licenciement prononcé. En revanche : Enfin,

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