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Ketum : Un médicament dangereux à nouveau commercialisé... pour

Ketum : Un médicament dangereux à nouveau commercialisé... pour

Vide de merde, bouffe de merde, corps de pauvres Une des théories en vogue dans le Nord de l’Europe est que l’obésité est une maladie mentale. Ce serait une sorte d’anorexie à l’envers, mixée à des comportements d’addiction, de faiblesse morale et de dérèglements comportementaux. Au lieu de laisser les laboratoires nous mener en bateau et nous concocter des pilules magiques qui font maigrir sans aucun effet secondaire, les médecins et psychologues se voient en grands prêtres du contrôle de soi, à mettre en place des thérapies pour empêcher les gens de se bâfrer comme des cochons. Un truc de paresseux C’est vrai que je me sens mal à l’aise quand je vois à Amsterdam ces touristes américaines obèses qui se remplissent de mégamenus XL de frites, de hamburgers et de wraps (contenant au moins une demi-feuille de laitue) mais qui font une crise d’asthme si la serveuse leur sert un coca normal au lieu du coca light qu’elles ont demandé. Les psy ont beau essayer de nous vendre leur thérapie anti-morfales, je n’y crois pas. Un truc de classe

Rosenthal et la Bibliophilie aux Etats-Unis - le bibliofil Tout bibliophile curieux se doit de lire la retranscription d'une courte intervention du libraire américain Bernard M. Rosenthal dont nous donnons le lien ici. Nous ne résumons ici que quelques passages clefs replacés dans le contexte des échanges bibliophiles entre américains et européens. Mais le texte original vaut amplement les quelques minutes que vous lui consacrerez. Si le français a toujours été la langue des catalogues de bibliophilie jusqu'à la fin de la Première guerre mondiale, l'anglais vient remplacer notre langue à cause de l'accroissement du marché américain. Aussi, la pénurie de livres anciens attira d'abord l'appétit des collectionneurs et la rareté des contenus fit grimper les prix. William Gowans par exemple stockait des centaines de milliers de livres sur plusieurs étages de son building à New-York et même au sous-sol sans éclairage. Rosenthal nous livre de pertinentes pistes pour appréhender cette bibliophilie américaine. Bernard M.

Vers 1880 surgirent des barrières douanières, par Serge Halimi ( Pourquoi des pays optent-ils pour le protectionnisme ? Dans quelles circonstances préfèrent-ils au contraire le libre-échange, y compris en période de récession ? La réponse ne tient guère au jugement d’un cénacle d’experts, fussent-ils presque unanimes. Les mille vingt-huit économistes qui, en 1930, se mobilisèrent contre les lois protectionnistes Smoot-Hawley votées par le Congrès américain n’empêchèrent en rien leur mise en œuvre. Pour chaque crise économique, plusieurs « réponses » sont envisageables : protectionnisme, monétarisme, nationalisations, dévaluation, révolution, etc. Deviner celle qui sera préférée et qui dépend rarement de l’arbitraire d’un homme oblige à examiner l’interaction entre cinq éléments d’une « boîte noire ». A ce niveau de généralité, et avec cinq variables — économique, politique, institutionnelle, idéologique, stratégique — difficiles à circonscrire, on pourrait s’estimer moyennement avancé. Taille de l’article complet : 2 321 mots. Vous êtes abonné(e) ?

Exposition de manuscrits de la Mer Morte la Bibliothèque nationale de France accueillera une exposition entièrement consacrée aux manuscrits de la Mer Morte. Intitulée Qumrân, le secret des manuscrits de la Mer Morte, elle se tiendra du 13 avril au 11 juillet 2010. C'est une première française. Le visiteur pourra observer des fragments des manuscrits âgés de 2000 ans mais aussi se replonger dans la richesse des recherches archéologiques, leur histoire et leur influence sur l’imaginaire scientifique et populaire de notre temps. Nous évoquions hier sur Actualitté une affaire cocasse qui liait le Canada et la Jordanie. Sources : , , , Pour approfondir

Les mille démantèlements de l’Etat Le mardi 7 septembre, à l’heure où des millions de manifestants battaient le pavé un peu partout en France, M. Eric Woerth, ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique, martelait à la tribune de l’Assemblée nationale : « Notre réforme apporte des solutions raisonnables, efficaces et justes pour sauver le système de retraite par répartition de notre pays. » La réforme ou le chaos, en somme. Pour les retraites comme pour un nombre croissant des missions des Etats-providence, cet impératif « réformateur » est devenu le point de ralliement d’élites politiques (de droite comme de gauche), de hauts fonctionnaires nationaux et internationaux, mais aussi des intellectuels les plus en vue, de journalistes, voire de certains syndicalistes. Que recouvre cette « réforme de l’Etat » ? Comment a-t-elle été mise en œuvre depuis vingt ans ? Quelles conséquences pour le service public et les usagers ? Révolution silencieuse ?

Page d'accueil de la Bibliothèque numérique mondiale Le FMI, DSK, la réforme des retraites et le gel des salaires - Austérité Discrètement, le FMI distille ses conseils à la France en matière de politique économique et sociale. À lire sa prose, on se croirait revenu trente ans en arrière, à la grande époque des plans d’ajustement structurel qui ont saigné à blanc nombre de pays « en développement ». Suppression des systèmes de protection sociale, baisse du salaire minimum, privatisation des services (encore) publics… Telle serait la potion magique pour sortir la France et l’Europe de la crise. Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, candidat virtuel à l’élection présidentielle de 2012, soutient-il l’actuelle réforme des retraites ? Souhaite-t-il une baisse du Smic, un gel des salaires et des prestations sociales ? Travailler plus, se soigner moins Pour remettre la France sur les rails de la reprise, des efforts doivent être consentis… par ceux qui bossent. Salaires et fonctionnaires : toujours trop chers Le « jeune » : une entrave à l’efficience du marché Terminé ?

NiqueTonBoss : un étrange site de dénonciation du piratage - Numerama On s'est d'abord demandé s'il s'agissait d'une mauvaise blague, avant de voir que les auteurs de ce site prennent en fait la chose tellement au sérieux qu'ils ont débloqué un budget Google Adwords pour en faire la promotion. "Hais-tu ton patron ? Contre-attaque maintenant ! Reporte le piratage de logiciels", dit ainsi la publicité contextuelle qui s'affiche sur le moteur de recherche, pour faire connaître le site NiqueTonBoss.com. Le site propose aux internautes de dénoncer leur entreprise si elle utilise, installe ou revend des logiciels piratés. "Ce programme est soutenu à la fois par les institutions gouvernementales et les associations professionnelles anti-piratage locales et internationales", affirme un texte présent sur la page d'accueil. Tout peut faire croire qu'il s'agit d'une déclinaison du programme de dénonciation opéré par la Business Software Alliance (BSA), l'organisme de lutte contre le piratage de logiciels professionnels.

L’obsession de la flexibilité ? Un court-termisme économique dangereux » Article » Ownipolitics, Bilan, débats et enjeux

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