SENGAGER > Devenir enquêteur bénévole Comment devenir enquêteur bénévole ? La première démarche est d'adhérer à l’association. Ensuite, il faut déposer votre candidature, auprès de l’association Stéphane Lamart. Si vous bénéficiez d'une décision favorable, vous recevrez une carte d’enquêteur que vous pourrez présenter lors de vos activités. Vous aurez également accès à de multiples informations : le journal de l’association tous les trimestres, un manuel destiné à vous guider dans votre vie de tous les jours. Cet ouvrage répond aux multiples questions que les enquêteurs peuvent être amenés à se poser sur la législation, l'organisation de l'association, sur ses principes et sur l'attitude à adopter face à différentes situations. L’association Stéphane Lamart compte aujourd'hui 70 enquêteurs qui œuvrent quotidiennement pour améliorer les conditions de vie des animaux. - Les contrôles de placement (vérification que les animaux placés par l'association sont bien traités par leur nouveau propriétaire).
Sea Shepherd Conservation Society :: The Japanese Industrialization of Ocean Destruction June 18, 2013 Commentary by Gary Stokes, Director, Sea Shepherd Hong Kong Sanriku Kakou Corporation harvests sharks on an industrial scalePhoto: Kim McCoy / Sea ShepherdClick to enlargeRecently Japan announced that despite the decision to protect five shark species at the CITES CoP16 meeting held in Bangkok this past March, it is entering a “reservation” (i.e., it will be ignoring the ruling) as it does not recognize the United Nations CITES as a body that should be managing species from the sea. I was at the CITES CoP16 meeting in Bangkok representing Sea Shepherd, and as I reported earlier I was astounded at the way business was being conducted by several member nations. The Chinese delegation, whilst obviously against the shark proposals, was dignified and passive in their lobbying. Strangely at CITES, signatory countries can enter what’s known as a ‘reservation’ if a vote doesn’t go their way! So why is Japan so concerned about any protection for the sharks?
Field Liberation Movement | civil action against GMOs in Belgium Newsflash: 03.06 patatistas at court of appeal //17.04 – access-to-land-potato-action-day! 03.06.2014 PATATISTAS AT COURT OF APPEAL, GHENT On tuesday June 3d 2014, the patatistas will gather at the Court of Appeal in Ghent. Currently, they are all 11 convicted of a suspended sentence between 3 and 6 months of prision, and a fine of about 25.000 euro. The 11 will go on appeal, not only... Spring Newsletter 2014: the Gentech future that never was, solidarity beer, GM poplars approved,… News on the trial and solidarity beer available! 27.03.2014 – Scientists on the origins and consequences of GMOs in agriculture It is not easy to have serious scientifical debate in Belgium about the origins and consequences of GMOs in agriculture. 12.11.2013 GMO Protest party : Let’s all go there! It’s not very often that we have Monsantos vice president around. Keep Monsanto out of our universities! There is some serious evidence that a criminal gang may be gathering in Ghent on November 12th.
Stop aux Animaux dans les Labos - Abolissons l'expérimentation animale ! 2012 : en route vers la révolution énergétique ? La transition énergétique, on en parle beaucoup, certains la font. Un canton 100% énergies renouvelables : c’est le pari lancé par des élus, des habitants et des entreprises. À Barnim, au nord de Berlin, centrales solaires, parcs éoliens, centrales à bois ou de biogaz se comptent par centaines. La production d’électricité non nucléaire et sans hydrocarbures dépasse déjà les besoins des 180 000 habitants. Tout en créant des emplois locaux et en rapportant de l’argent aux collectivités locales qui ont investi. Ici, la transition énergétique n’est plus une utopie. Des panneaux solaires posés sur les barres de logements sociaux, le toit de la mairie et les parcmètres. 700 installations d’énergies renouvelables Dans l’ensemble du canton, la production d’énergies renouvelables couvrait 150 % des besoins en électricité en 2009. « Nous avons constaté que les 180 000 habitants du canton dépensaient des millions chaque année pour l’énergie (environ 139 millions d’euros en 2008, NDLR). Résultat ?
Kokopelli en Belgique Isabelle Quand en septembre 2002, Dominique nous a proposé de lancer l’antenne de Kokopelli en Belgique, nous étions loin de nous imaginer l’ampleur que prendrait l’association aujourd’hui ! Donc, en avril 2003, avec l’assistance et l’expérience de la France, nous donnons naissance à Kokopelli Belgique. Des bénévoles nous rejoignent, dont Marianne engagée depuis, pour s’occuper de la campagne “Semences sans Frontières” puisque nous avons adopté depuis 2006 toutes les dynamiques de Kokopelli. Chaque automne, les dons de semences nous arrivent tant sur les foires qu’au magasin et nous permettent d’honorer les nombreuses demandes pour le Sud. En Belgique, ce sont surtout des demandes pour l’Afrique qui nous parviennent. Quand au parrainage, il se porte bien : Jean envoie les variétés chez nos marraines et parrains qui offrent un petit coin de leur jardin comme refuge. Cerise et Arianne Dans ces deux campagnes, il est primordial de reproduire la semence. Cerise et Roland Chez nous aussi !
Marinaleda : un modèle d’auto-gestion unique en Europe Depuis l’alerte google Alternatives au capitalisme j’ai récemment découvert l’existence de MARINALEDA, une commune de 2645 habitants en Andalousie « où Marx vivrait s’il était encore en vie, avec zéro chômage, zéro policier et des habitations à 15 euros par mois » (1). Une alternative au capitalisme réalisée à moins de 2000 km de chez nous et qui fonctionne depuis plus de 30 ans sans que je n’en aie jamais entendu parler ? A la première occasion, c’est donc sac à dos, train, bus et autostop que j’irai pour vérifier si cette belle utopie existe vraiment… Comme c’est Pâques, je tombe en pleine Semana Santa. J’apprends que la fête de la paix qui tombe durant la Semaine Sainte y est effectivement une tradition depuis plusieurs années et beaucoup de jeunes de Sevilla, Granada ou Madrid ont rejoint les villageois. Le droit à la terre et au travail A la ferme de la coopérative, EL HUMOSO, les associés travaillent 6.5h par jour, du lundi au samedi, ce qui donne des semaines de 39 h. S’organiser
Fabriquer soi-même une remorque vélo monoroue - blog velo urbain Angers Bienvenue à l'atelier. Ce premier billet mécanique sur Vélo² énumère les principales étapes d'une fabrication de remorque monoroue. La première étape du projet : la récup. Un cadre de vélo (pour les haubans et une fourche avant complète), une autre fourche, une planche en bois et une petite roue. L'outillage : une bonne perceuse (avec forets bois et métaux), une scie à bois (ou scie sauteuse), une scie à métaux (ou disqueuse) et quelques clés plates pour la visserie. Deux mécanismes sont essentiels pour qu'une remorque monoroue fonctionne pleinement :En premier, la fixation de la remorque sur l'arrière du vélo doit être articulée afin que l'ensemble épouse le relief du terrain.Pour ceci, je perce un trou à chaque extrémité d'un profilé alu (2mm ep.) puis je le fixe solidement au cadre. Ensuite je découpe les deux haubans (bras arrières) du cadre du vélo récupéré. Je loge une vis avec une partie lisse et deux rondelles caoutchouc . Etape suivante.
L'alimentation des végétariens est plus proche du régime méditerranéen Par rapport aux omnivores, l’alimentation des végétariens est plus proche du régime méditerranéen et des recommandations américaines. Des chercheurs belges et français ont comparé les profils nutritionnels globaux de personnes végétariennes et omnivores. Ils ont montré que l’alimentation des végétariens respecte mieux les recommandations nutritionnelles pour vivre en bonne santé que celles des non-végétariens. Les végétariens ne mangent ni viande, ni poisson, mais des œufs et du lait pour les lacto-ovo-végétariens, contrairement aux végétaliens qui n’acceptent aucun produit dérivé animal. Récemment, il a été suggéré que l’espérance de vie des végétariens était plus élevée que celle des non-végétariens. Leur régime diminuerait notamment le risque de maladies cardio-vasculaires. Lire : Les végétariens vivraient plus longtemps Cette petite étude publiée dans Nutrition Journal a porté sur 69 végétariens et 69 personnes omnivores. L'analyse de LaNutrition.fr. Source